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"Pardonne à Ton peuple que Tu as racheté" (Choftim 21,8)

-> Nos Sages dans la Pessikta disent : "c'est une allusion aux morts qui peuvent être pardonnés grâce à l'aumône donnée par les vivants."

Nous apprenons de là que les morts tirent profit de l'argent que les vivants consacrent à la charité en leur faveur ...
Cela s'applique également à quelqu'un qui récite le kadich ou toute autre bénédiction en public, ...

[Rabbéou Bé'hayé - Choftim 21,6]

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-> Le Chla Hakadoch nous dit au nom de nos sages que celui qui fait un acte de Tsédaka entraîne une véritable délivrance pour le défunt et lui procure apaisement et réconfort. (cf. Choul’han Aroukh Yoré Déa fin du chap. 249)

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-> Nos sages n'ont décrété de dire le Kaddich qu’à cause des ignorants, mais le fait d’étudier la Torah, aura sept fois plus d’effet sur l’élévation de l’âme.
En particulier, si le fils fait des ‘hidouchim (interprétation originale des textes) dans la Torah, l’honneur dont bénéficiera son père, dans l’assemblée d’en haut (yéchiva chel ma’ala), sera incommensurable
[Séfer ‘Haïm va’héssèd (p.155)]

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