Pâtisserie spirituelle depuis 5771 - b'h
 

+ Une personne généreuse ne doit pas disperser plus de 20% de ses revenus pour la charité afin de ne pas s'appauvrir elle-même.
[selon la guémara Kétoubot 50a]

-> Le Chita Mékoubétset (s'appuyant sur le midrach Vayikra rabba 34,16) enseigne :
Ce quota de 20% ne s'applique qu'aux dons habituels qu'on fait aux pauvres.
En revanche, il n'est pas en vigueur lorsqu'il s'agit de soutenir ceux qui étudient la Torah. Cette forme de charité n'est pas considérée comme un don, mais comme un investissement dont les profits sont garantis.

Il est donc permis de disperser autant d'argent qu'on veut pour soutenir l'étude de la Torah, car le roi David a signé un certificat qui garantit ce dépôt : "Il est prodigue envers les [talmidé 'hakhamim] pauvres, sa bienfaisance dure à tout jamais" (Téhilim 112,9).

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.