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"Tu ne dois pas voir le bœuf ou la brebis de ton frère égarés et te dérober à eux : tu es tenu de les ramener à ton frère" (Ki Tétsé 22,1)

-> Le rav Ovadia Yossef y voit un appel pour agir.
Si on voit un animal perdu, nous devons le retourner. Et si nous voyons l'âme de notre frère [juif] perdu, qui est détachée de sa source spirituelle, comment nous est-il possible de l'ignorer? Comment peut-on y rester indifférent?

[Chaque juif est un enfant unique de Hachem. Ainsi, nous n'avons pas conscience de la joie que nous amenons à D. en Lui rapportant un de Ses enfants qui s'étaient éloignés de Lui.

De même que nous avons rapproché un juif par amour, Hachem va en retour nous rapprocher de Lui par amour, et nous combler de magnifiques bénédictions.]

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-> Bien qu'il soit vital d'attirer les gens à observer la Torah, il est d'égal importance de prendre soin de leur besoins matériels.

Nous voyons souvent des gens se tenant en dehors de la synagogue et criant : "Prière! Prière!", conviant les gens à venir prier avec eux.
A quelle fréquence observons-nous quelqu'un criant : "Manger! Manger!", invitant des gens [dans le besoin] à venir profiter d'un repas copieux?
[rav Israël Salanter]

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-> Rabbi Tsvi Hirsch de Sliansky enseigne :
"Il y a des milliers d'années, la Torah nous a enseigné qu'il ne faut pas se dérober si on voit le bœuf ou la brebis de son frère égarés. On est tenu de les ramener à son frère (Ki Tétsé 22,1).
Maître du monde, voici que le peuple qui a appris à l'humanité la compassion pour les animaux est aujourd'hui égaré dans le monde sans personne pour lui offrir le moindre toit!"

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