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"Nous avons l'obligation d'avoir une joie abondante pendant ce jour [de Pourim] ...
Cependant, nous ne sommes pas obligés de devenir ivres et de se dégrader en conséquence de cette joie.
On ne nous ordonne pas d'être joyeux dans la folie et la bêtise, mais plutôt dans un joie de plaisirs qui nous permet de devenir plus proches de Hachem."

[Méïri - rapporté dans le Biour Halakha 695,4]

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-> "Lorsque rentre le vin, les secrets sortent"
[guémara Sanhédrin 38a - ni'hnas yayin yétsé sod]

Le rav Tsadok haCohen écrit que l'intériorité la plus profonde de tout juif est dirigée vers la sainteté.
Ainsi, lorsqu'un juif boit à Pourim et qu'il est capable de rester maître de lui-même, il révèle le haut niveau spirituel qu'il peut atteindre, il met à jour sa véritable intériorité.
En effet, à l'inverse des non-juifs, même lorsqu'il n'a plus toute sa conscience (son daat), un juif reste complètement un serviteur de Hachem (il ne voit que D.!), et en cela toute la profonde sainteté d'Israël est mis au grand jour.

[même si notre train-train quotidien, l'influence des guoyim, les soucis, ... cachent cette réalité, le vin à Pourim permet de faire ressortir tout l'amour pour D., toutes nos aspirations à être au plus proche de Lui, qui se trouvent dans notre intimité.]

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-> b'h, S'enivrer à Pourim : https://todahm.com/2015/03/17/senivrer-a-pourim

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-> Pourim, ce jour unique où l'on est mort de rire à la conscience que le restant de l'année nous puissions s'interroger où se trouve Papa Hachem.
En effet, derrière toute chose (petite comme grande) : que ce soit du "Haman" ou du "Mordé'haï", il s'y trouve Hachem qui donne son accord pour notre meilleur bien!

=> A Pourim, notre joie est notre réponse à la question : Papa où es-tu?

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