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Si Pourim est le moment le plus propice pour se réjouir et apprécier l'impact du miracle, ce n'est en aucun cas le seul. Au contraire, se réjouir comme il se doit à Pourim nous permet d'avoir une grande joie tout au long de l'année.
C'est peut-être là l'allusion que fait la guémara (Méguila 5b) en affirmant que Rabbi (Rabbi Yéhouda haNassi) a planté "une plante de réjouissance" (néti'a chél sim'ha).
En se réjouissant à Pourim, on implante la capacité de se réjouir tout en accomplissant le service divin (avodat Hachem) en toute occasion [durant l'année].
[Sfat Emet - Pourim 5646]

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-> La lecture de la Méguila nous inspire par le récit annuel du miracle. Ainsi inspirés, nous pouvons maintenant célébrer des jours de réjouissance.
[Sfat Emet - Pourim 5635]

[nous apprécions ce qu'Hachem fait constamment pour nous, sachant que cela nous est majoritairement dissimulé. A Pourim, on lève un peu le voile, pour renforcer notre émouna que rien n'est laissé au hasard, que papa Hachem nous chouchoute à tout moment. ]

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-> "De commémorer (nizkarim) et de célébrer (naassim) ces jours de génération en génération" (Esther 9,28)

En accomplissant les mitsvot de Pourim (nizkarim), on fait à nouveau l'expérience du miracle (naassim = l'histoire de Pourim est créée à nouveau).
[Sfat Emet - Pourim 5652]

-> Chaque année, en lisant la Méguila (nizkarim), Israël (les juifs) mérite que le miracle de Pourim soit vécu (créé) à nouveau (naassim).
[Pourim 5657]

-> Par ailleurs, [à chaque fois] Pourim n'est pas seulement célébré sur terre (naassim) par Israël, il est également commémoré dans les hauteurs par Hachem (nizkarim).
[Pourim 5652]

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-> Tout comme Haman a cherché à éradiquer la future génération de juifs, à détruire notre présence éternelle, de même nous célébrons éternellement sa disparition.
[Pourim 5646]

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