"Un soupir (de téchouva) des profondeurs du cœur est plus précieux à Hachem que tous les jeûnes et les souffrances d'un éminent tsadik"
[le Arizal]
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-> Je fais téchouva, donc je suis.
Selon Rabbi Mendel de Kotzk, nos sentiments sincères de téchouva sont une indication certaine que nous ne vivons pas dans un monde d'illusions.