Pâtisserie spirituelle depuis 5771 - b'h
 

+ "Etant donné que le Temple a été détruit par la haine gratuite, il sera donc certainement reconstruit par l’amour pour nos frères juifs."

[le Sfat Emet - à Roch Hachana 1880 ]

=> en aimant nos frères juifs, nous pouvons amener la rédemption.

(Objectif Machia'h)

Calculer la date de la venue du Machia’h …

+ Calculer la date de la venue du Machia'h ...
(Objectif Machia'h)

Il est écrit dans la guémara Sanhédrin (97b) :
"Rabbi Chmouel ben Na’hmani disait au nom de Rabbi Yonatan :
"Que les os de ceux qui calculent la fin pourrissent !
Car ils diront qu’étant donné que le temps prédéterminé est arrivé et qu’il n’est pas venu, il ne viendra jamais.

Attends-le, comme il est écrit : "Bien qu’il puisse tarder, attends-le" (Yéchayahou 30,18)."

Le Rambam de dire :
-> "N’en fais pas ta préoccupation principale (les textes à propos du Machia'h), car elle n’amène pas une personne à aimer ou à craindre [D.].
De même, ne calcule pas la fin [le moment où Machia’h viendra] … Seulement attends-le et sois convaincu du principe."
[Hilkhot Méla'him 12,2]

-> "Je crois d’une foi parfaite en la venue du Machia’h, et bien qu’il puisse se faire attendre, quand bien même, je m’attends chaque jour à ce qu’il vienne."
[c'est un des 13 articles de foi du Rambam]

"Et ce sera (véaya), l'endroit que Hachem votre D. choisira pour y résider son Nom ... " (Ré'é 12;11)

--> Quel sera le nom de la ville de Jérusalem dans le futur?

Le rabbi David Feinstein (dans son Kol Dodi), nous rapporte la guémara (Baba Batra 75b) nous disant que dans le futur la ville de Jérusalem s'appellera : Hachem.
En effet, elle a pour rôle principal/primaire d'être le lieu d'accueil de la présence divine.

D'ailleurs, le verset ci-dessus, parlant de Jérusalem, commence par le mot : "véaya" (והיה - Et ce sera), dont les lettres permettent de former le nom d'Hachem (יהוה).

+ La mila : au cœur du conflit entre Yichmaël et Israël ...

-> Le Rav Yits'hak 'Haver écrit que la mitsva de la mila atteste d'une puissante foi en D., qui crée un lien avec le maître du monde.
La circoncision est appelée 'brit mila' ( = l'alliance de la mila) car elle souligne le pacte conclu entre l'homme et son créateur.

-> La circoncision illustre la croyance en D., et elle assure le mérite d'habiter le pays d'Israël, comme l'écrit le Maharal (Nétivot Olam - Nétivot ha'Avoda - chapitre 18) :
"Etant donné que la terre [d'Israël] est sainte et distincte des autres pays, D. a ordonné aux juifs de se circoncire.
En effet, la Terre réclame un peuple séparé des autres, tout comme elle est elle-même séparée des autres pays.
Rien, mieux que la mila, qui représente la sainteté, n'exprime cette séparation différenciant [Israël] des autres nations."

-> A ce sujet, il est écrit dans le Zohar :
"Avraham dit à D. : 'Si seulement Yichmaël pouvait vivre devant Toi.'
Que fit D.? Il leur donna une portion ici-bas, en Terre Sainte ...

Dans le futur, durant un laps de temps considérable, les enfants d'Yichmaël auront le contrôle de la Terre sainte quand elle sera complètement déserte et inculte, exactement de la même manière que leur circoncision est inefficace, superficielle et incomplète.
Ils empêcheront les enfants d'Israël de revenir à leur terre jusqu'à ce qu'ils [les enfants d'Yichmaël] perdent leurs méritent."

-> Le Ramban (Béréchit 1,1) a dit :
"D. a chassé les rebelles [du pays d'Israël] et y a installé Ses serviteurs, pour montrer que c'est parce qu'ils Le servent qu'ils en hériteront.
S'ils fautent envers Lui, le pays les recrachera, comme il l'a fait pour les peuples qui les ont précédés."

==> Plus nous renforcerons notre foi en D. et accepterons Sa volonté, plus nous mériterons de vivre en paix et en sécurité en Israël.

[Tâchons d'être différent d'Yichmaël qui incapable de se soumettre à la volonté de D., se laisse aller à ses pulsions du moment tout en se persuadant que telle est bien la volonté de D. ]

Source (b"h) : compilation personnelle issue du livre "Matsmia'h Yéchoua" du Rav Alexander Aryéh Mandelbaum

Comme des abeilles …

+ Comme des abeilles ...

"Ils m'entoureront comme des abeilles, comme un feu de brousailles." (Téhilim 118;12)

Voyons plus en profondeur ce verset ...

-> "Ils m'entoureront comme des abeilles ..."

Dans la paracha Dévarim (1;44), il est écrit : "ils vous ont poursuivis comme l'auraient fait les abeilles."
Rachi commente : de même qu'une abeille pique et meurt tout de suite après, de même ils mourront immédiatement après vous avoir frappés.

Le Rav Yits'hak Zéev Soloveitchik (le rav de Brisk) a expliqué ce verset après la 2e guerre mondiale en disant :
"Le jour viendra où les enfants de Yichmaël se lèveront et seront prêts à mourir (comme des abeilles) afin de nous faire périr nous aussi.
[on peut noter que la valeur numérique du mot : 'dvorim' = les abeilles, est la même que celle de : 'ben Hagar' = fils d'Hagar, c'est-à-dire Yichamël]

Le danger sera bien plus grand qu'à n'importe quelle autre époque : il sera impossible d'intimider nos ennemis ou de les menacer, puisqu'ils n'auront même pas peur de mourir."

-> "... comme un feu de brousailles."

Selon Rachi (sur ce Téhilim 118;12) : cette situation est comparable à un homme pris au piège au milieu d'un champ de brousailles dévoré par le feu.
Le feu gagne rapidement du terrain, se rapproche de plus en plus et il est impossible à cet homme de sortir sain et sauf de cette situation inextricable par des moyens naturels.

==> Cependant, le roi David poursuit : "Ils me poussent violemment pour me faire tomber, mais D. me prêtera assistance.
D. est ma force et l'objet de mon chant, et D. sera pour moi un sauveur!"

Source (b"h) : compilation personnelle du "Matsmia'h Yéchou'a" du Rav Aryé Mandelbaum

La soif d’étudier la Torah …

+ La soif d'étudier la Torah ...

"Aux temps prémessianiques ... la sagesse des érudits déclinera." (guémara Sota 49a)

Même si l'étude de la Torah dans notre génération semble avoir augmenté en quantité, sa grandeur et sa qualité sont terriblement amoindries.
Rares sont les véritables érudits, connaissant entièrement la Torah et menant une vie de Torah authentique avec un dévouement total.

Ce qui manque à notre génération, c'est une véritable soif de Torah.
Ce déclin est principalement dû à l'infiltration de toutes sortes de valeurs non juives qui méprisent la force de la Torah et la grandeur des Sages.

Le Rav Yéhochoua Cohen (dans son Kérem Yéhochoua) montre que dans les générations qui nous ont précédés, même les gens simples avaient une vraie soif de connaitre la Torah.
Il y écrit également :
"Pourquoi accordaient-ils une place prépondérante à la maison d'étude, n'accordant à leurs demeures qu'une place secondaire?

Parce qu'ils brûlaient d'amour pour la Torah [...] ils savaient que la Torah, c'est la force de vie dans ce monde et que pour conserver cette force de vie, il importe de peiner et d'investir toutes ses forces ...
Nous n'avons plus le même amour de la Torah, et c'est pourquoi les érudits de la trempe de ceux qui ont vécu dans les générations précédentes sont devenus si peu nombreux ..."

Source (b"h) : compilation personnelle du "Matsmia’h Yéchou’a" du Rav Aryé Mandelbaum

Héro d’un jour, héro de tous les jours …

+ Au début de la guerre du Golfe (en 1991), le Dayan Aharon Dunner demanda au rav Chakh :
"Que devons-nous recommander de faire aux personnes d'Amérique, d'Angleterre et du reste de l'Europe?
Elles veulent faire téchouva, elles veulent faire quelque chose!"
Le rav Chakh répondit :
"Dites-leur de prendre de petits engagements qui ont un sens pour elles et qu'elles maintiendront durant les 3 prochains mois."

Il s'engagea lui-même, durant cette période, à réciter le birkat hamazone à partir d'un texte lorsqu'il dînait chez lui.

--> Le rav Dessler dit qu'une ascension spirituelle réussie suppose de petits degrés de progression quotidiens, qui amènent peu à peu à des niveaux de plus en plus élevés (à l'image de la vision de Yaakov : "une échelle dressée sur la terre dont le sommet touchait le ciel").

=> Ce qui compte ce n'est pas à quel niveau de l'échelle nous nous trouvons, mais combien de barreaux nous avons grimpé par nos efforts constants, et celà par rapport à ce que D. nous donne la possibilité de faire.

Tant qu'il y a de la vie, il y a des marches à monter, une après l'autre, sans espérer prendre l'ascenceur ...
Notre seul "ennemi" potentiel dans la vie, c'est nous-même ...
[= arrêtons de mettre autant d'efforts pour espérer en faire moins, arrêtons de se mentir, s'anesthésier la vie, dépendre du regard des autres, ...]

Les traits de caractère de Yichmaël …

+ Les traits de caractère de Yichmaël :

I-  un homme sauvage :

Il est écrit dans la Torah (Béréchit 16;11-12) : "Tu le nommeras Yichmaël ... Il sera un homme sauvage (péré adam).
Sa main sera contre tout et la main de tous, contre lui."

Le Rav Yéhochoua Leib Diskin note que la Torah fait fi de la syntaxe habituelle et place l'adjectif : péré (sauvage), avant le nom propre : adam (homme), afin de mettre en lumière ce caractère fondamental du fils d'Hagar.
Yichmaël n'est pas un 'homme' doté d'un caractère sauvage : c'est un 'sauvage' à forme humaine.

Le 'Hafets 'Haïm disait (1) : "La Torah est éternelle : lorsqu'elle dit : 'Il sera un péré adam', cela signifie que Yichmaël sera un sauvage à tout jamais.
Même si les peuples civilisés s'efforcent de le domestiquer, ils n'y parviendront pas car il est, par nature, incapable de supporter la contrainte ...
Hélas! Qui sait ce que ce péré adam sera capable de faire au peuple d'Israël à la fin des temps ...", concluait-il en soupirant.

Le roi David écrit dans ses Téhilim (120;5-6) :
"Quel malheur pour moi d'avoir séjourné à Méché'h, d'être demeuré près des tentes de Kédar.
Trop longtemps, mon âme a vécu dans le voisinage de ceux qui haïssent la paix.
Je suis, moi, tout à la paix, et quand je la proclame, eux ne méditent que la guerre."

Le Métsoudat Tsion explique que Kédar est l'un des royaumes de Yichmaël (cf.Béréchit 25;13).
Le Malbim ajoute que les habitants de Kédar représentent l'archétype des descendants de Yichmaël : 'sauvages, pleins d'animosité et violents.'
Le Rambam écrit (Iguérét Téman) que Kédar n'est pas cité ici par hasard : c'est précisément de cette tribu que descend Mahomet.

- 'Ils haïssent la paix' = ils ne s’accommodent jamais avec leur voisins et sont incapables de vivre paisiblement avec eux, alors même qu'ils auraient tout à y gagner.
- 'ils ne méditent que la guerre' = ils parlent de paix mais, dans leur cœur, ils fomentent des plans de guerre (Malbim).

=> La Torah, dans sa vision éternelle des événements, témoigne dès le départ de la nature de Ychmaël (péré adam), un être sauvage ne supportant pas la domestication.
Si l'ordre établi s'oppose à sa liberté, il le bouleversera immanquablement.

(1) : MiChoul'han Gavoha - page 78

 -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

II-  la foi de Yichmaël :

Force est de reconnaître qu'en dehors du peuple d'Israël, les seules peuplades à avoir pratiqué le vrai monothéisme tout au long de l'histoire, sont les Yichmaélim (les descendants de Yichamaël).
Les autres peuples pratiquent soit l'idolâtrie pure (comme le boudhisme), soit le polythéisme (comme le christianisme), soit l'athéisme.

Cela permet de comprendre que le nom de D. puisse figurer dans le nom de Yichmaël (Yichma-EL).
En effet, dans une certaine mesure, par son monothéisme, ce peuple glorifie le nom de D., et les luttes qu'il mène ont souvent la prétention d'être accomplies au nom du Créateur.

C'est la raison pour laquelle la Torah, lorsqu'elle mentionne les chefs du peuple de Yichmaël, les appelle 'ness'im' (princes) ou, plus littéralement 'notables, alors qu'elle donne aux leaders d'Edom (Rome) le nom d'aloufim (chefs de tribus) ou littéralement 'chefs de mille'.

On peut noter que :
-> L'idéologie d'Edom se fonde essentiellement sur la réussite et la gloire personnelle ainsi que sur l'accumulation de biens matériels.
-> L'idéologie de Yichmaël, en apparence du moins, se fonde sur le noble idéal de la connaissance de D. se reflétant dans la particule Kel (1), l'un des noms de D. associée à son nom.

==> Pourquoi D. les rejette-t-il (comme l'écrit Rambam dans sa Iguérét Téman)?

La réponse, c'est que leur foi est corrompue par leur nature sauvage qui ne laisse jamais mettre de bride à leurs désirs.
On peut même dire que cette foi joue contre eux car, tout en faisant ce qu'ils veulent, ils prétendent que telle est la volonté de D.
Cette philosophie paralyse toute remise en question.

Lorsque Avraham courut au-devant des 3 nomades qui passaient, et les invita à entrer dans sa tente, il leur demanda de "se laver les pieds" (Béréchit 18;4).
Rachi explique = Avraham craignait que ces hôtes ne soient des arabes qui "se prosternent devant la poussière de leurs pieds".
Le patriarche ne voulait pas laisser pénétrer chez lui la moindre forme d'idolâtrie.

Que signifie : qu'ils 'idolâtraient' la poussière de leurs pieds?

= Le rav Moché Shapira explique que cela symbolise que partout où ils posent le pied et quel que soit l'objectif qu'ils visent , ils sont toujours convaincus que D. est avec eux.
'C'est D. qui nous envoie', prétendent-ils en refusant d'admettre qu'eux seuls en ont décidé ainsi.

Le nom même de Yichmaël fait allusion à cette idée.
En effet, bien qu'il y ait 2 noms de peuple qui renferment la particule désignant l'un des noms de D., on remarque :
-> Israël = les lettres permettent de former : yachar Kel = droit avec D. = il se soumet à son Créateur de façon parfaitement 'droite' et rigoureuse.
-> Yichmaël = Yichma Kel = D. entendra ==> Quels que soient mes désirs, D. les entendra, les exaucera et agira à mon gré.

Le rav Dessler écrit : "Chez Yichmaël, le 'hessed d'Avraham s'est perverti et transformé en immoralité."
La mida par excellence d'Araham était le 'héssed, un désir de donner aux autres sans aucune limite et sans s'inquiéter le moins du monde que l'objet de sa générosité mérite ou non ses dons.
Cette bonté sans limites peut être déformée.
En effet, une indulgence sans frein risque de se transformer en complaisance vis-à-vis de sa propre personne et le désir de donner, peut s'altérer en un appétit de s'autoriser tous ses propres caprices, sans aucun contrôle.

Entendre = Yichma = un acte ne demandant aucune participation active.
Yichmaël est de nature essentiellement passive.
Au lieu de combattre les effets d'une générosité irréfléchie, il cède à ses désirs.
Ses actes sont uniquement dictés par ses impulsions.

==> Yichmaël vit guidé par ses désirs.
Comme il est convaincu que D. approuve tous ses actes, rien ne peut l'arrêter et l'empêcher de mettre ses plans à exécution.
Pour atteindre ses objectifs, il est prêt à envoyer ses propres enfants au suicide et à massacrer des enfants innocents.
Sa personnalité est un amalgame de barbarie (due à sa nature de péré adam - homme sauvage) et de bonté (le héssed hérité d'Avraham), dégénéré en soif d'assouvir ses propres désirs, sans aucune limite.

En chemin vers le mont Moriah pour la Akédat Yits'hak, Avraham ordonna à Yichmaël : "Reste ici avec l'âne ( ='Hamor)" [Béréchit 22,5]
'Hamor fait allusion à Yichmaël car il n'a jamais essayé de dompter ou canaliser ses instincts animaux.

L'arrivée du machia'h est décrite par nos Sages comme celle d'un "pauvre chevauchant un âne ('hamor)".
Le Maharal écrit que cette allégorie illustre la force spirituelle du machia'h qui sera capable de maîtriser sa nature matérielle (h'amor est de la même racine que 'homer = la matière).

C'est nous-même qui donnons à Yichmaël la force et le pouvoir de nous tenir sous sa domination.
Plus nous-mêmes devenons des 'preneurs', plus nous nous soucions seulement de nos propres personnes et profitons des autres pour augmenter notre bien-être personnel, plus nous donnons de puissance à Yichmaël.

=> C'est dans la mesure où nous nous éloignons des voies empruntées par Yichmaël que, avec b"h, nous échapperons à ses griffes cruelles.

(1) : le nom de D. est écrit ci-dessous KEL au lieu de EL, car il ne faut pas prononcer ce nom en vain.
(2) : 'Hidouché aggadot - Sanhédrin 98a

Source (b"h) : compilation personnelle du "Matsmia'h Yéchou'a" du Rav Aryé Mandelbaum

<----------------->

-> A la question de savoir pourquoi on dit que le machia'h viendra à dos d'âne, rabbi Mordé'haï de Gour répondait : "C'est pour nous préciser que de même que l'âne ne va pas vite, de même la libération d'Israël sera, elle aussi, très lente. Il s'agit, de plus, de donner à tous les pécheurs le temps de faire téchouva."

-> Si le machia'h devait venir sur un cheval superbe et non pas à dos d'âne, tout riche s'imaginerait être le machia'h.
[rabbi Its'hak Meïr de Gour]

Pourquoi Yichmaël porte-t-il ce nom?

+ "  Pourquoi Yichmaël porte-t-il ce nom?
Parce que, à la suite de ce que lui fera subir Yichmaël sur la terre à la fin des temps, yichma Kel (=D. entendra) : D. écoutera les pleurs [d'Israël].

C'est la raison pour laquelle il s'appelle Yichmaël, comme il est dit dans les Téhilim (55;20) : "Yichma Kel véya'anem" = D. entendra et leur répondra."

[Pirkei déRabbi Eliezer - chap.32]

Nous sommes très proche de la venue du Machia’h …

+ "A Pourim 5730 (en 1970), le Steïpler a déclaré qu'à l'évidence, nous sommes très proche de la venue du machia'h car nous avons déjà subi la plus grande partie des 'douleurs d'enfantement' des temps messianiques avec la 2e guerre mondiale et ses souffrances inouïes ... "

 [Or'hot Rabbénou - Vol.1 - P.287]

 

-> Le Ram'hal dit : "Et de la profondeur de ces dures souffrances, la délivrance jaillira avec force." (Da'at Tévounot 1,42)