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"Les enfants d’Israël n’écoutèrent pas Moché, à cause du souffle court et du travail pénible" (Vaéra 6,9)

-> Le Ohr ha'Haïm commente :
"Peut-être que du fait qu'ils n'étaient pas des Bné Torah, ils n'ont pas écouté Moché.
C'est ce que le verset vient nous apprendre en mentionnant "souffle court", car la Torah élargit le cœur de l'homme."

-> Le rav Elimélé'h Biderman explique :
Les juifs travaillaient très durement comme esclaves en Egypte, et il n'y avait pas de place dans leur cœur pour accepter le message réconfortant de Moché.
Mais s'ils avaient eu la Torah, alors la Torah aurait amené une sérénité interne et un réconfort qui auraient permis d'accepter les mots si positifs de Moché, et ce malgré un esclavage très dur.

[On apprend de là à quel point la Torah transforme un homme, lui donne de la sagesse, une clarté d'esprit qui lui permet d'être stable durant sa vie, et ensuite de permettre la plus importante des choses : se rapprocher d'Hachem.]

-> Le 'Hazon Ich dit que lorsque quelqu'un a un doute et ne sait pas comment procéder, il doit étudier une daf de guémara, car ensuite il aura la sérénité interne (yichouv hadaat), et il sera alors capable de décider comment agir.

-> Le Divré Shmouël disait : "Lorsque je suis préoccupé par quelque chose, j'étudie pendant une heure, et ensuite l'inquiétude s'en va.
Si j'ai une préoccupation plus importante, j'étudie pendant 2 heures, et alors je ne suis plus inquiet ...
On atteint la tranquillité par l'étude de la Torah".

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