Pâtisserie spirituelle depuis 5771 - b'h
 

Une joie en entraînant une autre

+ Une joie en entraînant une autre :

-> "Je me réjouirai avec D" (choch achich b'Hachem - Yéchayahou 61,10).
Mon maître, le Maggid de Mézéritch interprète la double forme du verbe "se réjouir" (choch achich) [littéralement, "se réjouir, je me réjouirai") comme suit : "Je me réjouis, et de plus, je me réjouis d'avoir eu le privilège de "contempler l'agrément de D." (la'hazot bénoam Hachem - Téhilim 27,4) et de me réjouir de Le servir. Cela même me rend heureux/joyeux d'avoir le privilège de me rapprocher d'Hachem et de prendre plaisir à Le servir avec tout ce dont Il m'a comblé."

C'est ce que signifie le verset lorsqu'il dit : "me réjouir, je me réjouis" (choch achich) = "Je me réjouis et je suis heureux d'avoir mérité de me réjouir en D. et de tirer du plaisir de Son service."
[rabbi Lévi Its'hak de Berditchev - Kédouchat Lévi - Vayé'hi 49,20]

=> Nous devrions être joyeux de servir D., et doublement joyeux du fait que nous sommes joyeux de Le servir.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.