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+ Pessa'h est le moment propice de susciter la délivrance et la miséricorde Divine au moment où l’on récite : "vanits'hak él Hachem" (Et nous criâmes vers Hachem).
Le "Rayatz" de Loubavitch déclara le soir du Séder : "les gens se trompent en pensant que nous sommes différents de la génération de la sortie d’Egypte parce que Moché Rabbénou n’est pas avec nous pour nous faire "sortir d’Egypte" (chacun selon son "Egypte" personnel). Ce n’est pas exact, car tout ce dont les Bné Israël bénéficièrent lorsqu’ils étaient en Egypte, qu’Hachem envoie Moché Rabbénou pour les délivrer, ils ne le méritèrent que grâce au (vayis'akou - ויזעקו = au cri [cette prière du fond du cœur] qu’ils poussèrent vers Hachem).
Et il en est de même à notre époque : si nous accomplissons comme il se doit "Et nous criâmes" (ונצעק), nous serons immédiatement délivrés de toutes nos épreuves et nous pourrons même susciter la venue du machia’h"

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-> "Ne croyez pas que tout cela [la haggada] est une histoire qui s’est passée jadis en Egypte, et que cela ne peut arriver aujourd’hui!
Chaque année, le soir de la fête, la délivrance et de la miséricorde Divine une même lumière se renouvelle et tout celui qui se trouve dans la détresse, et qui a besoin d’une délivrance et de la miséricorde Divine, s’il crie vers Hachem cette nuit-là, qu’il est ait besoin d’avoir des enfants, de sa subsistance, d’être libéré de prison, où qu’il craigne l’emprisonnement, ou celui qui doit payer à son maître et n’a pas de quoi payer, tous, tous seront délivrés s’ils crient vers Hachem, car tout ne dépend alors que du cri vers Hachem"
[Ohev Israël]

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