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Le but de toute la Torah est d'amener l'homme à la émouna et à la connaissance du Créateur du monde, à comprendre qu'Il est le Maître de tout, et qu'Il est le Seul et Unique qui accomplit tout ce qui arrive ...

Avec la Torah, une personne peut s'attacher avec Hachem.
Comme il est dit [au tout début des 10 Commandements] : "D. prononça toutes ces paroles en disant : "Je suis Hachem (אָנֹכִי יְהוָה) ton D." = l'objectif de la Torah est qu'une personne ait de l'attachement à Hachem et de la émouna.
Avec la Torah, on peut proclamer : "Tu es notre D.!"
[Noam Elimélé'h]

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-> Dans le moussaf de Roch Hachana, nous disons : "ouvToraté'ha katouv lémor : Shéma Israël Hachem Elokénou Hachem é'had".

Le rabbi Yé'hezkel de Kozmir explique :
- "ouvToraté'ha katouv" = Tout ce qui est écrit dans la Torah
- "lémor = l'est afin que les juifs puissent dirent
- "Shéma Israël Hachem Elokénou Hachem é'had" = que Hachem est Un (l'Unique).

-> Le Zohar appelle les misvot : "les 613 conseils" (tary'ag itin - תרי"ג עיטין), car elles sont des conseils pour atteindre une pleine émouna.

-> "Il n'y a pas de limite à la prise de conscience de la Présence Divine.
Le plus nous connaissons Hachem, le plus nous réalisons que nous ne savons rien [à Son sujet].
Chaque jour, nous cherchons alors à augmenter cette conscience, de plus en plus."
[Maor vaChéméch - Ki Tavo]

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-> Le rabbi Tsadok haCohen (Tsidkat haTsadik 156) enseigne :
"L'homme doit avoir confiance qu'il n'y a pas de hasard dans le monde, et que tout est conduit par la Providence Divine, de croire d'une foi parfaite qu'il n'y a absolument rien qui vient par hasard, et que tout ce qui lui arrive est dirigé par Hachem.
Cette vérité est le fondement de tout, et les 613 mitsvot de la Torah ne sont que des moyens de parvenir à cette connaissance intime que tout ne dépend que d'Hachem.

Toutes les fautes sont définies dans les malédictions : "Si vous vous comportez avec Moi hostilement" (Bé'houkotaï 26,27).
[le terme employé pour désigner : hostilement, est le mot "kéri" (קֶרִי), qui s'apparente à la racine du mot "mikré" (מקרה) qui signifie : par hasard]
Car les transgressions constituent une dérogation à l'ordre, et elles-mêmes ne suivent aucun ordre.
De même, les châtiments sont appelés : "la colère de [Mon] hostilité" (Bé'houkotaï 26,28).
[là aussi est employé pour désigner l'hostilité le terme : "kéri" (קֶרִי)]
=> Dès lors, en ayant une foi parfaite qu'il n'y a aucun hasard (le contraire de l'ordre), on peut adoucir tous les mauvais décrets et réparer toutes les fautes."

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