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Pour le peuple juif, Jérusalem n'est pas seulement une ville mais un "être vivant" : ses pierres ont un cœur et ses murailles versent des larmes.

Après la destruction de la ville, les routes de Sion ont pris le deuil.
De même qu'un endeuillé se laisse pousser les cheveux, les routes de Sion ont été envahies par des herbes folles, une manifestation physique de son chagrin.

[Méam Loez - Eikha 1,4 : "Les routes de Sion sont en deuil"]

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+ "Jérusalem : Est-ce là la ville qu'on appelait le summum de la beauté, la joie de toute la terre" (Eikha 2,15)

-> "De Sion (Jérusalem), ce centre de beauté, Hachem rayonne" (Téhilim 50,2)

-> "Comme elle se dresse magnifique, joie de toute la terre, la montagne de Sion (Jérusalem)" (Téhilim 48,3)

-> "10 mesures de beauté sont descendues dans le monde. Jérusalem en a pris 9 et le reste du monde, une" (guémara Kidouchin 49b)

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-> Jérusalem n'avait aucun besoin de se flatter, elle était "la joie de toute la terre", et toutes les nations reconnaissaient sa beauté, sans éprouver la moindre trace de jalousie.
D'ailleurs, les rois des pays lointains construisaient des palais en terre sainte pour jouir de sa beauté.

Les mots : kélilat yofi (le summum de la beauté - כלילת יפי) ont la même valeur numérique (596) que le nom : "Jérusalem" (ירושלים) ...

La [forte] présence de la Présence Divine (chékhina) elle-même [à Jérusalem] ajoutait à la joie et la beauté de la ville sainte.
[Méam Loez - Eikha 1,15]

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