+ Sainteté - L'importance de préserver sa brit mila :
Les juifs sont uniques parmi les nations par leur engagement en faveur de la pureté et de la sainteté dans les relations entre l'homme et la femme.
La Torah nous ordonne de nous sanctifier, afin de se rapprocher de la sainteté d'Hachem, comme il est écrit : "Vous vous sanctifierez et deviendrez saint, car je suis Hachem ton D." (Kédochim 20,7).
Avraham fut le premier à recevoir l'ordre de faire le brit mila. Le Ramban commente le verset "Tu garderas Ma brit (alliance)" (Lé'h Lé'ha 17,9) en disant qu'un lieu [du corps] de désir, où la faute et l'impulsivité sont si répandus, un signe a été placé pour rappeler de ne l'utiliser que pour la mitsva des relations maritales, d'une manière sainte et permise entre l'homme et la femme.
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+ La brit est un fondement du judaïsme :
-> Selon rabbi Yaakov Abou'hatséra (Chaaré Téchouva) :
Le Rambam appelle les 13 principes de la foi les fondements de la religion.
Ils dépendent tous de la préservation de l'alliance du brit mila en parfaite sainteté.
Étant donné qu'il s'agit du seul fondement sur lequel reposent tous nos principes religieux, on l'appelle "yessod" (fondement). C'est le yessod de la nation juive dont dépend la pérennité de notre existence.
[avec un regard non-juif on peut se dire : "ça va, c'est pas si grave! on peut s'amuser un peu avec la brit", pourtant en réalité c'est la base de tout notre édifice spirituel. ]
[...]
La Présence Divine (Chékhina) ne réside qu'avec ceux qui gardent l'alliance de la brit mila.
[...]
Nos Sages (Nédarim 31b) nous disent qu'Hachem a scellé 13 alliances avec le peuple juif par le mérite de la brit mila.
Cela correspond aux 13 principes de foi du Rambam, qui dépendent tous de la sainteté de la brit.
En fonction de la façon dont une personne protège sa brit des pensées, des vues et des actes nuisibles, son implications aux 13 principes est également assuré.
La Chékhina repose alors sur nous, pour dynamiser et protéger toute notre Torah et nos mitsvot ...
La brit mila est le "yessod", le fondement de notre observance religieuse. En la protégeant, toute notre Torah et nos mitsvot s'élèvent.
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-> Rabbi Yaakov Abou'hatséra (Guinzé haMélé'h 119-120) écrit qu'il est impossible de décrire ou de comprendre l'énorme pouvoir qu'a la brit d'influencer les mondes les plus élevés du Ciel.
L'ensemble de la Torah est appelée le Séfer haBrit (Michpatim 24,7).
A cet égard, nos Sages (guémara Shabbath 137b) nous disent que la Torah, et la brit qu'elle représente, sont le but de la création du monde entier : "Sans Ma brit (la Torah) jour et nuit, Je n'aurais pas mis en place les statuts du Ciel et de la Terre" (Yirmiyahou 33,25).
Une indication à ce sujet peut être trouvée dans le verset : "Vous garderez les paroles de cette alliance et vous les accomplirez, afin que vous réussissiez dans tout ce que vous ferez" (Ki Tavo 29,8).
L'alliance fait référence à la brit mila. Le verset nous enseigne ici que la réussite de l'observance de la Torah et des mitsvot dépend de la préservation de la sainteté de la brit.
Une personne qui agit ainsi peut être assurée de l'aide d'Hachem pour réussir dans tout ce qu'elle entreprend.
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-> Quelle que soit la progression d'une personne dans l'observance de la Torah et des mitsvot, elle ne peut être considérée comme un véritable tsadik si elle ne préserve pas la pureté de la brit mila.
Rabbi Yaakov Abou'hatséra (Ma'hssof haLavan I,72-73) écrit que l'on peut trouver une indication à cela dans le rêve de Yaakov : "Il rêva, et voici qu'une échelle se dressait sur le sol, dont le sommet atteignait les cieux. Les anges de D. montaient et descendaient dessus, et Hachem se tenait en-Haut" (Vayétsé 28,12-13).
L'échelle qui relie le Ciel et la terre est la brit mila, lorsqu'elle est gardée dans dans la pureté.
Yaakov a vu les épreuves que Yossef endurerait (pour préserver sa brit, et ne pas céder aux stratgèmes de la femme de Potifar), les imaginant comme une échelle qui montait au ciel, directement vers Hachem. Il a vu des anges noirs descendre pour attirer Yossef dans la faute, et des anges blancs descendre pour le protéger.
Il s'est rendu compte qu'en fin de compte, c'est à Yossef (symbole du trait de "yessod"), et à chaque juif à travers les temps, qu'il incomberait de choisir la voie à suivre. Si nous choisissons d'être forts, Hachem lui-même se tiendra au-dessus de nous pour nous aider.
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-> Même au plus profond des ténèbres, embourbés dans les 49 portes de l'impureté de notre servitude égyptienne, nous avons continué à nous battre pour protéger la sainteté de notre brit mila. Il s'agit d'un mérite important qui a accéléré notre délivrance de l'esclavage.
Rabbi Yaakov Abou'hatséra (Ma'hssof haLavan I,149) commente le verset : "Hachem a vu les Bné Israel et Hachem a su" (Chémot 2,25). Que veut dire le verset en ajoutant qu'Hachem a su (vayéda Elokim)? Il est évident qu'Hachem sait tout, mais de quelle connaissance s'agit-il ici?
Rabbi Abou'hatséra explique cela en se basant sur le midrach (Béréchit rabba 79,7), qui affirme qu'Hachem Lui-même a témoigné de la pureté de notre lignée.
Le verset dit "Les Tribus d'Hachem, un témoignage pour Israël" (shivté Ya édout l'Israël - שִׁבְטֵי יָהּ עֵדוּת לְיִשְׂרָאֵל - Téhilim 122,4). Hachem a placé Son propre Nom (יָהּ), sur les Tribus de Bné Israël, pour témoigner que nos ancêtres étaient exempts de tout soupçon de relations de débauche qui auraient pu jeter l'opprobre sur notre lignée.
C'est pourquoi la tribu de Réouven fut appelée הראובני (haRéouvéni), précédée de la lettre hé du nom d'Hachem et suivie de la lettre youd.
Il en est de même pour "haChim'oni" et pour toutes les tribus de Yisraël. (Bamidbar 26)
Hachem a vu les Bné Israël et Il "savait". Il a vu et reconnu le mérite par lequel ils méritaient d'être délivrés avant l'achèvement des 400 ans d'esclavage qui leur avaient été imposés.
La guéoula est arrivée plus tôt que prévu, grâce à leur mérite d'avoir préservé la sainteté du brit mila.
-> Le Emek haMélé'h (tikouné haTéchouva 11) écrit que notre future guéoula viendra par le mérite de nos Patriarches, mais uniquement si nous suivons leurs voies et préservons leur alliance du bris milah :
"Lorsque viendra le temps de la guéoula, Hachem se souviendra de nous parce que nous aurons préservé l'alliance sacrée de la brit mila, comme il est écrit : "Je me souviendrai de Ma brit avec Yaakov, de Ma brit avec Its'hak et de Ma bris avec Avraham" (Bé'houkotaï 26,42).
La brit mila est attribué aux trois Patriarches, car ils ont gardé le brit dans une sainteté parfaite."
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-> Lorsqu'une personne préserve la sainteté de la brit en évitant les pensées et les vues impures qui mènent à la faute, elle mérite le titre de tsadik, comme nous le voyons dans le Zohar.
C'est pour ce mérite que Yossef a été appelé "Yossef hatsadik", en résistant aux avances de la femme de Potiphar, qui avait des mœurs légères. Grâce à un énorme effort de maîtrise de soi, il a préservé la sainteté de la brit et s'est ainsi élevé à de grandes hauteurs spirituelles.
C'est ce mérite qui a accéléré la délivrance de nos ancêtres d'Egypte. Bien que 400 ans d'exil leur aient été imposés, ils ont été délivrés après seulement 210 ans, grâce à leur mérite d'avoir évité toute relation de débauche.
La sainteté de la brit est le mérite par lequel le monde entier continue d'exister, comme il est écrit : "Sans Ma brit jour et nuit, Je n'aurais pas mis en place les lois du Ciel et de la terre" (Yirmiyahou 33,25).
En ce sens, la brit mila est le fondement (yessod) du monde.
Si une personne préserve la sainteté de la brit, toute sa Torah et toutes ses mitsvot reçoivent une grâce qui leur permet d'être favorisés devant Hachem.
En revanche, si une personne souille la brit, même si elle a étudié la Torah et accompli des mitsvot, ses efforts seront réduits à néant par les forces du mal qui la contrôlent.
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-> Le mérite de préserver sa brit mila est une puissante défense dans toute bataille.
Le roi Shlomo dit : "Chaque homme a une épée ceinte sur sa cuisse, pour se défendre contre la peur de la nuit" (Chir haChirim 3,8). Cette épée est la sainteté de la brit.
Moché Rabbénou a choisi uniquement les soldats qui avaient le mérite de la brit pour les défendre.
[Rabbi Yaakov Abou'hatséra - Pitou'hé 'Hotam p.349-353]
-> La pureté avec laquelle une personne vit sa vie est sa couronne de gloire.
Rabbi Yaakov Abou'hatséra (Pitouhé 'Hotam p.170) commente le verset concernant la plaque d'or que le Cohen Gadol portait sur son front : "Tu feras un tsits d'or pur et tu y graveras les mots 'Saint à Hachem'" (Tétsavé 28,36).
Le tsitz est une couronne de pureté, représentant le style de vie pur et saint de ceux qui gardent l'alliance de la brit. Elle est faite d'or pur, sans aucun défaut, comme la vie d'une personne dont l'esprit est libéré des pensées insensées et des désirs vils.
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+ Equivalent à toutes les mitsvot :
-> Lorsqu'un homme juif veille à la sainteté de la brit mila, en protégeant ses pensées des notions inappropriées et ses yeux des vues interdites, il est considéré comme ayant accompli toutes les mitsvot de la Torah.
Il apporte la paix à l'humanité et la paix à tous les mondes du Ciel.
En revanche, celui qui souille la sainteté de la brit mila est considéré comme ayant transgressé toutes les fautes de la Torah.
Rabbi Yaakov Abou'hatséra (Guinzé haMélé'h 124-125) ajoute :
Lorsque le peuple juif étudie la Torah et accomplit les mitsvot, nous répandons la paix dans le monde.
L'attribut de la paix est intrinsèquement lié au yessod qui soutient la présence de la Chékhina dans ce monde. Dans la mesure où la Chékhina est présente parmi nous, la paix règne.
Cependant, si nous n'étudions pas la Torah et n'accomplissons pas les mitsvot d'Hachem, la présence de la Chékhina dans ce monde est affaiblie et son influence pacifique s'estompe.
Comme nous l'avons expliqué, la souillure du bris endommage les fondements du yessod. En conséquence, la Chékhina s'éloigne de nous et la paix est perdue.
En ce sens, la souillure de la brit mila est plus préjudiciable à la paix que n'importe quelle autre faute de la Torah. En revanche, la préservation de la sainteté de la brit mila renforce la présence de la Chékhina parmi nous et apporte la paix au monde.
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+ S'éloigner d'Hachem :
-> Rabbi Yaakov Abou'hatséra (Alef Bina p.128-129) explique que lorsqu'une personne souille la pureté de la brit, elle attire sur elle une impureté (touma) si terrible qu'elle éloigne son âme de sa source céleste, l'éloignant du Créateur (Hachem). On est alors à la merci des forces destructrices du mal.
Lorsqu'une personne est défaillante au niveau de la brit, les anges noirs Accusateurs/Destructeurs, nous poursuivent devant la Cour céleste, et toutes nos mitsvot sont alors considéres "comme rien", vides et sans valeur, nous offrant aucun mérite ou récompense.
On fait alors l'objet d'accusations terribles au Ciel et on peut craindre d'être reconnu coupable, car Hachem déteste la débauche sous toutes ses formes. Ceux qui souillent la brit sont détestables pour Lui.
Cependant, lorsqu'on sait que nos fautes peuvent être corrigées (leurs effets étant annulés) par la téchouva, alors on a de quoi se réjouir et s'engager [joyeusement] à être plus prudent à l'avenir.
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+ Dévastateurs pour le corps tout entier :
-> Il est important de comprendre que les pensées et les vues interdites qui souillent la brit ne sont pas seulement un problème limité à un aspect individuel de la vie d'une personne.
L'endommagement de la brit entraîne la ruine de toutes les myriades d'aspects du corps et de l'âme.
Rabbi Yaakov Abou'hatséra (Guinzé haMélé'h p.119) écrit que tout comme le corps physique est composé de 248 organes et de 365 nerfs, il existe 248 organes spirituels et 365 nerfs spirituels correspondants de l'âme.
Lorsqu'une personne souille la sainteté de la brit, elle porte atteinte à toutes ses facultés physiques et spirituelles.
Si elle fait téchouva pour ses fautes, elle apporte la guérison à l'ensemble de son corps et de son âme, revenant à un état de santé et de bien-être physique et spirituel, tel qu'il était avant sa faute.
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+ Le service d'Hachem dépend de la pureté de la brit :
Rabbi Yaakov Abou'hatséra (Pitou'hé 'Hotam p.168) écrit que l'ensemble de notre service d'Hachem, dans toutes les mitsvot avec Hachem (ben adam laMakom) et avec autrui (ben adam la'havéro), dépend de la préservation de la pureté de notre brit.
C'est pourquoi, avant d'accomplir une mitsva ou d'étudier la Torah, une personne doit s'arrêter un instant pour examiner son état de sainteté en ce qui concerne les questions relatives à la brit. Si elle s'aperçoit qu'elle manque à ses devoirs, elle doit faire téchouva avant d'accomplir la mitsva. Sinon, son état de souillure va nuire à la mitsva et l'empêchera de réaliser le but sacré pour lequel elle est destinée, laissant la mitsva vide de sens.
Nos Sages (Pirké Avot 1,4) nous disent que le monde entier repose sur 3 piliers : la Torah, l'avoda (prière ou korbanot) et les actes de bonté.
Cependant, ces 3 piliers sont construits sur une base solide, qui est le "yessod" de la pureté de la brit.
[le monde repose sur 3 piliers, qui eux même repose sur une base : le yessod. ]
Si une personne est sainte et pure dans ses fondations, elle peut alors construire sur celles-ci les piliers qui soutiennent le monde. Cependant, si la sainteté de sa brit est défectueuse, elle n'a aucune base sur laquelle construire ces piliers, et ceux-ci ne peuvent pas être solides pour soutenir le monde.
La brit mila est l'une des mitsvot qui sont considérées comme les signes du peuple juif.
"Vous circoncirez la chair de votre orla et ce sera un signe entre Moi et vous " (Lé'h Lé'ha 17,1).
Le Shabbath est également appelé un signe : "Tu garderas Mon Shabbath, car c'est un signe entre Moi et vous, à travers vos générations, pour savoir que Je suis Hachem qui vous sanctifie" (Ki Tissa 31,13).
Il en est de même pour les téfilin : "Ce sera un signe sur ta main et un souvenir entre tes yeux" (Vaét'hanan 6,8).
La Torah elle-même est également appelée un signe de notre délivrance d'Égypte. (voir Ran sur Roch Hahana 16a)
Tous ces signes dépendent d'un seul signe fondamental : celui de la brit.
Ce n'est que si une personne garde la brit dans la pureté qu'elle peut mériter les autres signes du peuple juif.
Rabbi Yaakov Abou'hatséra (Alef Bina 128-129) écrit qu'une indication à ce sujet peut être trouvée dans le verset : "Vous garderez les paroles de cette alliance (brit) et vous les accomplirez, afin que vous réussissiez dans tout ce que vous ferez" (Ki Tavo 29,8).
Cela fait référence au fait de garder la brit. Il s'agit d'un avertissement adressé à notre nation toute entière pour qu'elle préserve la pureté de la brit. Ce n'est qu'à cette condition que nous pouvons découvrir la sagesse qui nous permettra de réussir dans tout ce que nous entreprenons.
Dynamisés par la pureté de la brit, nous pouvons atteindre la connaissance de la Torah, la crainte du Ciel et l'aide du Ciel (siyata dichmara) nécessaire à la réalisation de toutes les mitsvot.
Sans la pureté du bris, rien de tout cela n'est possible.
Le Zohar prévient que lorsqu'une personne souille la sainteté de la brit, les forces de l'impureté prennent le dessus sur elle.
Cela est vrai pour toutes les fautes dans une certaine mesure, mais c'est particulièrement vrai pour les fautes concernant la souillure de la brit.
Bien qu'une mitsva attire une personne vers la crainte du Ciel (yirat Chamayim), elle n'aura pas cet effet si elle est imprégnée de l'impureté de pensées sales, des visions et d'actes sales, puisque le yétser ara a déjà de l'emprise sur sa vie.
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+ C'est uniquement grâce à l'aide d'Hachem :
-> Nous faisons de notre mieux pour préserver la sainteté de la brit dans la mesure de nos possibilités. Cependant, nous devons nous rendre compte que cette tâche est si monumentale et que les épreuves qui nous entourent sont si éreintantes qu'elles nous empêchent d'atteindre notre but.
En effet, sans l'aide d'Hachem, il serait impossible d'y réussir. Par conséquent, si une personne constate qu'elle est parvenue à préserver ses pensées et sa vue de l'impureté, elle doit remercier et louer Hachem de l'avoir aidée à y parvenir (tout en Lui demander de l'aider pour le futur).
Rabbi Yaakov Abou'hatséra (Bigdé Hasrad p.71) écrit qu'une indication à ce sujet peut être trouvée dans le verset de Az Yachir : "La puissance et la louange d'Hachem ont été mon salut. C'est mon D. et je le glorifierai. Le D. de mes ancêtres et je l'exalterai" (Béchala'h 15,2-3).
"La puissance" = il s'agit de la puissance de l'esprit qu'une personne reçoit lorsqu'elle garde la sainteté du bris.
"Et la louange d'Hachem fut mon salut" = même si une personne investit tous ses efforts pour vaincre son yétser ara, elle a toujours besoin d'une grande aide Divine pour réussir.
Il est écrit : "Le yétser ara se dresse chaque jour contre une personne et tente de la détruire ... Si Hachem ne l'aidait pas, elle ne pourrait jamais le surmonter" (guémara Kidouchin 30b).
Par conséquent, une personne qui parvient à garder la sainteté du bris doit réaliser que c'est Hachem, et non elle, qui mérite les éloges pour cela, puisque son salut vient d'Hachem.
"Voici mon Dieu et je Le glorifierai" = lorsqu'un juif veille à la sainteté de la brit, il glorifie Hachem.
"Le D. de mes ancêtres et je L'exalterai" = il suit les traces des Patriaches, qui ont répandu la sainteté d'Hachem dans le monde entier et révélé la présence de la Chékhina. Il s'agit d'un mérite extraordinaire, pour lequel une personne doit rendre hommage à Hachem.