"Lorsque les hommes quittent leur travail et leurs différentes occupations, rentrent chez eux à pied ou en voiture et débattent ensuite de futilités, ils commettent une faute très grave : ils méprisent la Torah.
En effet, s’ils avaient réellement foi en la promesse de la récompense illimitée assurée à ceux qui l’étudient, pourquoi ne dirigeraient-ils pas leurs pensées vers l’étude ? "
[Rabbénou Yona – Iguéret haTéchouva]
Nos Sages ont appliqué le verset : "Car il a méprisé la parole de D. ", à celui qui a la possibilité de s’adonner à l’étude de la Torah mais ne le fait pas.
Cette négligence est considérée comme un mépris de la parole de D.
Le ‘Hafets ‘Haïm conclut à ce sujet, en disant : "Heureux l’homme qui sait tirer parti de ses moments libres. "