"Mais Mordé'haï ne fléchira (yi'hra), ni ne se prosternera (yichta'havé)" (Méguilat Esther 3,2 - traduction littérale)
Le Sfat Emet demande : Pourquoi n'est-il pas écrit, plus logiquement : "Mordé'haï ne se prosterne pas" (lo koréa), avec le verbe au présent et non au futur?
Il répondit :
"Pour t'apprendre que toujours, dans chaque génération, il se trouvera dans le peuple d'Israël un juste qui ne fléchira, ni ne se prosternera ..."