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"Dans une démocratie, le peuple fait la loi. Dans la Torah, la loi fait le peuple"
(Rav Chimchon Raphaël Hirsch)

"La joie réelle, c’est ce qu’on éprouve quand on fait ce qu’on doit faire ...
Le visage peut refléter les larmes ou la tension ; mais si le voyage est entamé, si on est conscient que nous construisons ce que nous devons construire, notre cœur chantera en nous malgré la peine de notre corps et les larmes sur notre visage."
[rav Akiva Tatz]

La joie est la réponse de la néchama (l'âme) lorsqu'on fait ce qui doit être fait.

"S’énerver, c'est se punir soi-même pour la sottise des autres."
(Rav Nathan Tsvi FINKEL)

"Le balai nettoie la maison, mais il reste lui-même sale.
Lorsqu’une personne s’engage dans les critiques envers autrui pour ses pêchés, peut-être qu’il les nettoie … mais lui-même reste infecté du même mal".
(Baal Chem Tov)

"Quand je quitterai ce monde, on ne me demandera pas pourquoi je n’ai pas atteint le niveau d’Avraham Avinou ou celui de Moché Rabénou.
En revanche, on me demandera pourquoi je n’ai pas été Zuché ! 
Pourquoi je n’ai pas été ce que je suis véritablement ! "
(Rabbi Zuché d'Hanipol - Ukraine)

" Je crains que, quand j’arriverai au monde de la Vérité, se révèlera à moi que D. est plus grand que ce à quoi je m’attendais, et que je serai plus petit que ce à quoi je m’apprécie. 
Il s’avèrera que je n’étais qu’un pauvre orgueilleux."
(Rabbi Uri de Strelisk)

"Ainsi a été créé le monde : tout Homme doit savoir donner et recevoir.
Celui qui ne sait pas faire l'un aussi bien que l'autre ressemble à un arbre stérile".
(Yits'hak Eisik de Zidatchov)

"Que l'Homme ait toujours 2 poches.
Dans l'une, il inscrira : "Je ne suis que poussière et cendre."
Dans l'autre : "Le monde n'a été créé que pour moi." "
(Bounam de Pssiskhé)

"L'enfant peut t'apprendre 3 choses : 
- il est joyeux sans raison ;
- il ne reste pas inoccupé un seul instant ;
quant il veut quelque chose, il sait l'exiger avec force".
(Dov Beer de Mézéritch - le maguid de Mézéritch)

" Quand l'Homme vient au monde, ses mains sont fermées, comme pour dire : le monde entier est à moi, je veux l'avoir en ma possession.
Quand il quitte le monde, ses mains sont tendues, comme pour dire : je n'ai rien eu en ma possession de ce qui est au monde présent."
(Midrach Rabba sur Kohélet).