Pâtisserie spirituelle depuis 5771 - b'h
 

A la’hma anya

+ A la'hma anya :

-> A Yom Kippour, afin de s'assurer que le yétser ara n'interviendra pas, Hachem nous demande d'apporter un bouc à l'Azazel, ce pour corrompre le Satan afin qu'il nous laisse seul renforcer nos liens avec D.

Pendant le Séder de Pessa'h, le peuple juif atteint un niveau très élevé, et c'est un moment propice pour avoir une grande proximité avec Hachem.
Afin de s'assurer que le Satan ne vienne pas nous déranger, nous commençons la Haggada dans sa langue à lui : l'araméen, ce comme pot-de-vin, afin qu'il nous laisse seul au plus proche avec Hachem.

[le Ramak]

<-------------->

-> Le peuple juif a ressenti le goût de la manne dans la nourriture (la'hma anya) qu'il a amené avec lui d'Egypte (guémara Kidouchin 38a).
Les juifs ont alors atteint le niveau où leur nourriture était de la manne, qui s'appelle : la nourriture des anges (lé'hem abirim).

Ainsi, lorsqu'ils ont quitté l'Egypte, ils étaient au niveau des anges.

Les anges ne peuvent pas comprendre l'araméen, ainsi nous disons le : "a la'hma anya" dans cette langue, afin que les anges ne deviennent pas jaloux du fait que le peuple juif a pu atteindre le niveau de manger leur nourriture.

[Rav Yissa'har Dov de Belz]

<-------------->

-> La guémara (Shabbath 12b) raconte que parfois lorsque Rabbi Elazar visitait les malades, il leur faisait des bénédictions en araméen.

Lorsque l'on prie seul, un ange va ensuite prendre notre prière et l'amener au Ciel.
C'est pourquoi, puisque les anges ne comprennent pas l'araméen, nous ne prions pas dans cette langue lorsque nous sommes seul.
=> Alors, pourquoi Rabbi Elazar l'a-t-il fait?

Il explique que puisque la présence divine se trouve au-dessus de la tête du malade (guémara Nédarim 40a), on peut prier en toute langue (Hachem les comprenant forcement!).

Selon le Zohar (2:240b), lors de la nuit de Pessa'h, Hachem descend avec son entourage céleste pour écouter chaque juif raconter la sortie d'Egypte.
Nous pouvons ainsi parler en araméen.

[le 'Hatam Sofer]

[commencer par de l'araméen, c'est l'occasion de prendre conscience que pendant cette soirée Hachem est face à nous, Il nous écoute, et se réjouit de chaque mot positif qui sortira de notre bouche!
"ah la'hma anya" = D'une certaine façon nous appelons le pauvre "en nous" en ce qui concerne la émouna, nous lui montrons ces paroles en araméen, pour lui témoigner que chaque juif a une relation spécial avec Hachem, combien nous sommes importants à ses yeux.
Une fois que notre émouna est renforcée par cette "nourriture", alors nous pouvons pleinement commencer le Séder comme des membres de la famille Royale!]

<----------------------->

-> Dans le : "a la'hma anya", nous invitons toute personne nécessiteuse à venir nous rejoindre.
Est-ce vraiment faisable?
Est-ce qu'il y a de la place chez nous pour l'ensemble des nombreuses personnes dans le besoin?

-> "Les synagogues et les lieux d’étude de Bavél sont destinés à être implantés en Israël" [guémara Méguila 29a]

Selon nos Sages, lorsque le machia’h viendra, tous les endroits de prières et d’étude seront déplacés en Israël.

Si une personne sanctifie le nom de D., par le fait de raconter l'histoire de la sortie d'Egypte, sa maison acquiert de la sainteté (kédoucha), et elle sera également relocalisée en Israël lors de la venue du machia'h.

Cela donne un autre éclairage, à ce que nous disons dans ce même paragraphe de la Haggada: "Cette année nous sommes ici ; l'an prochain en Terre d'Israël." [Hachem y aura transporté notre maison car le machia'h sera arrivé!]

Si nous accomplissons notre obligation de parler de la sortie d'Egypte comme il se doit, la présence divine vient directement dans notre maison, et partout où elle est, il n'y a plus de notion d'espace (Hachem n'ayant pas de limitation).

Ainsi, le soir du Séder, si nous amenons la présence divine dans notre maison, l'espace n'est alors plus un problème, et nous pouvons inviter tout le monde!

[le 'Hatam Sofer]

<--->

Par ailleurs, selon le 'Hatam Sofer (Drachot ha'Hatam Sofer vol.2 p.236) :
- les juifs sont sortis d'Egypte pour aller dans le désert avec de la nourriture suffisante pour seulement 30 jours (guémara Kiddouchin 38a) ;
- de même, Ruth était rassasiée avec une simple bouchée d'orge (midrach Ruth rabba 5,6) ;
- chaque Cohen qui recevait le lé'hem hapanim (les pains de proposition), était rassasié par un morceau de la taille d'un haricot (guémara Yoma 39a) ;
- pendant la famine, le prophète Elicha a donné 20 pains d'orge à cent hommes, ils en mangèrent tous et il y eut même des restes (Méla'him II 4,43) ;
- le prophète Eliyahou a pu marcher pendant 40 jours avec l'énergie que lui a donné un seul repas (Méla'him I 19,8).

Le 'Hatam Sofer dit qu'il en a été de même pendant ce 1er Pessa'h (malgré le nombre de juifs dans chaque maisonnée il y avait toujours suffisamment à manger!), car lorsqu'il y a de la kédoucha, il n'y a pas de limitation, de restriction.
Nous demandons ainsi que notre mitsva d'inviter tous les nécessiteux à nous rejoindre aura la même influence que les matsot que nos ancêtres ont mangées en Egypte.

"Hachem dit : A cette époque, je donnerai (ééné - אֶעֱנֶה), oui, je donnerai satisfaction aux cieux, et ceux-ci combleront les vœux (yaanou - יַעֲנוּ) de la terre." (Hochéa 2,23)
Le 'Hatam Sofer dit que la matsa s'appelle : "lé'hem oni" (pain de misère), mais le mot : "oni" a également une connotation de : répondre à un besoin avec une bénédiction sans limite (cf. le verset).
=> Nous espérons que notre mitsva amènera sur nous des bénédictions sans limite, de même que la matsa pouvait nourrir autant de personne qu'il pouvait y en avoir.

Le 'Hatam Sofer conclut qu'en proclamant que "tout celui qui a faim, qu'il vienne et mange" = nous pouvons être assurés qu'il y aura toujours assez de matsa et de place pour tout le monde!
[à l'image de Jérusalemon avec le Temple, quelque soit le monde :on s’y tenait debout serré et on s’y prosternait [pourtant] avec aisance ... et jamais personne ne dit à autrui : "Je n’ai pas de place où loger cette nuit à Jérusalem" (Pirké Avot 5,5)]

[de même que nous sommes sortis d'Egypte avec peu de nourriture, de même nous appelons tout le monde dans le besoin à nous rejoindre, persuadés qu'il y aura suffisamment de nourriture! L'essentiel étant que tous les juifs soient ensemble, personne laissé de côté! ]

<--->

-> Le 'Hatam Sofer écrit qu'à partir du moment où une personne commence le Séder et rapporte les louanges d'Hachem, alors sa maison prend toute la sainteté qui pouvait se trouver au Temple.
De même que dans le Temple il y avait toujours plein de place pour tous ceux qui pouvaient y venir, de même il en est dans notre maison en cette nuit.

<--->

-> La nourriture que nous mangeons le soir du Séder est comparable : "au pain que nos ancêtres ont mangé en Egypte".
De même que la matsa qu'ils ont pris au moment de sortir d'Egypte leur a duré 61 repas (Rachi - Béchala'h : "ils se sont nourris des restes de la pâte pendant 61 repas"), de même la nourriture que nous mangeons le soir du Séder est bénie en ayant la capacité de s'étirer pour être partagée parmi tous les invités que nous invitons et ceux qui peuvent arriver à l'improviste.
S'il y a une bénédiction dans la nourriture, alors même par un petit morceau peut permettre de terminer le repas en étant rassasié.
['Hatam Sofer - Drachot p.238 & 249]

<----------------------->

-> Le roi David nous dit que le machia'h peut venir : "Aujourd'hui si seulement vous écoutez Sa voix" (Téhilim 95,7) [cf. guémara Sanhédrin 98a]

-> La charité rapproche la délivrance, comme il est dit : "Observez le droit et faites la charité, car Mon salut est sur le point de survenir et Ma justice de se révéler" (Yéchayahou 56,1)
De plus : "Grande est la charité, puisqu’elle rapproche la guéoula" (guémara Baba Batra 10a).

=> Selon le 'Hatam Sofer : par le fait de proclamer : "que tout celui qui a faim vienne et mange", nous méritons que : "l'année prochaine à Jérusalem [avec le Temple reconstruit]"

[la tsédaka est tellement un moyen "facile" et efficace pour rapprocher la guéoula, qu'il est évident que notre attitude au début du Séder va l'accélérer!]

<----------------------->

-> Selon le Abarbanel et le Malbim, en disant que nous mangeons un pain de misère, de pauvreté (la matsa - "lé'hem oni"), nous permettons aux pauvres de se sentir moins honteux en acceptant notre invitation de nous rejoindre à notre table. [Venez sans hésiter, car vous ne nous dérangez pas, ce n'est qu'un pain tout simple!]

En cette nuit, en tant que fils d'esclaves, nous sommes tous égaux, mangeant du "pain de misère".
[ce pain montre que quelque soit notre richesse nous avons été autrefois esclaves (car juifs), partageant une même situation très difficile. Cette prise de conscience unit.]

<----------------------->

-> Selon le Maassé Nissim, par cette déclaration nous exprimons notre confiance que de même Hachem nous a libéré d'Egypte, de même, Il nous libérera très bientôt.

Plus nous prenons conscience de la situation difficile de nos ancêtres, esclaves en Egypte, et de la grandeur phénoménale des miracles dont ils ont bénéficié, plus cela nous donne de la confiance sur les énormes miracles à venir.

L'ouverture de la Haggada nous fait tomber d'entrée toutes nos inquiétudes, nous sommes dans un état où en revivant le passé nous vivons également sereinement notre futur.

=> C'est un appel pour tous les pauvres en émouna, en leur disant : Venez vous renforcer pendant le Séder.

<----------------------->

-> On ne peut manger qu'en fonction de ce que nous permet notre appétit.

Le Imré Emet dit que cela est doublement vrai dans la spiritualité, où il faut en avoir du désir.

En disant que "tout ceux qui ont faim, viennent et mangent", nous travaillons notre appétit à développer l'âme, afin de profiter au maximum du grand festin spirituel qui a lieu en ce soir du Séder.

-> Le Nétivot Shalom dit qu'en ce soir de Pessa'h, Hachem donne à chaque juif des cadeaux spirituels qui sont très supérieurs à ce qu'il mérite.

Ainsi, nous nous devons d'avoir le plus faim spirituellement parlant afin que D. puisse nous combler en cette nuit.
[c'est en fonction de comment notre bouche est ouverte, que nous pouvons la remplir ...

Ne sois pas orgueilleux (j'ai besoin de personne!), au contraire, fais-toi pauvre (oni), et n'hésite pas à venir demander à D.! ]

<--->

-> "tout ceux qui ont faim, viennent et mangent de notre [sacrifice] Pessa'h" (kol ditsrikh yété véyisfa'h), était habituellement dit la veille de Pessa'h, avant que le sacrifice Pessa'h ne soit égorgé, puisqu'on ne peut manger du Korban Pessa'h que si on a été compté comme faisant partie d'un groupe avant la ché'hita.
Il a été institué dans le texte de la Haggada comme moyen pour se rappeler ce qui était habituellement dit le 14 Nissan au temps du Temple.
[Shibolé haLéket]

<----------------------->

-> Le Zohar appelle la matsa : le pain de la guérison (mi'hla déasvata), car elle a guéri le peuple juif des effets des 49 degrés d'impureté.

Selon le Yichma'h Israël, il en est de même aujourd'hui, où la matsa est un médicament thérapeutique spirituel, qui va nous guérir de tout ce qui empêche d'être totalement libre.

C'est pourquoi, dès le début du Séder, nous invitons toute personne qui a besoin d'un renouveau spirituel à venir et à partager la matsa, qui apporte guérison à toutes les maladies spirituelles.

<-------------------------------------->

-> Nous débutons ce passage (a la'hma anya) en invitant les pauvres à nous rejoindre, et nous le terminons en exprimant que nous seront l'année prochaine libres à Jérusalem.
Pourquoi lier ces 2 idées?

Selon rabbi Moché Feinstein (Drach Moché 11), en faisant cela, nous témoignons que si tous les juifs n'invitent pas des pauvres à leur table, c'est en raison de la dureté des souffrances de notre exil.

En effet, lorsque la guéoula sera là et que nous vivrons à Jérusalem, absolument tout le monde exprimera parfaitement son amour pour ses frères dans le besoin.

<----------------------->

+ "Yéhouda est allé en exil, accablé par la misère (oni)" (Eikha 1,3 - גָּלְתָה יְהוּדָה מֵעֹנִי)

La matsa est appelée : "un pain de misère" (lé'hem oni - לחם העוני).

Dans ce verset, nos Sages voient une allusion au fait que notre exil actuel provient d'une négligence de la matsa, et d'un mépris des besoins des pauvres.
Cela met en avant l'échec du peuple juif à remplir ses obligations envers Hachem et envers son prochain juif.

Au début du Séder, en levant la matsa et en accueillant les pauvres à notre table (a la'hma anya), nous prions de mériter la guéoula très rapidement, en conséquent.

[le 'Hatam Sofer]

<----------------------->

-> Le "a la'hma anya" est écrit en araméen afin que les non-juifs de cette époque (qui parlaient araméen) puissent entendre les juifs remercier et louer Hachem pour tout ce qu'Il a fait pour eux.
Ils comprendraient alors que les juifs ne sont pas ingrats, et ils en viendraient à raisonner que les juifs se rappelleraient certainement des bontés que les non-juifs ont pu faire pour eux.
Cela assurerait une relation agréable entre les juifs et leurs voisins non-juifs.
[Haggadat Ezor Eliyahou]

<----------------------->

-> Bien que les juifs étaient alors esclaves en Egypte [dans des conditions terribles], ils ont fait une alliance de bonté entre eux, afin de toujours être là l'un pour l'autre. [Tana déBé Eliyahou rabba 23]
Cela n'était pas une tâche facile, puisqu'ils n'avaient pas grand chose à se partager ensemble.
Cependant, ils partageaient avec plaisir leur maigre ration de matsa que leur donnée leur contremaître, s'il voyait qu'un autre juif en avait davantage besoin qu'eux.
De plus, ils s'encourageaient les uns les autres dans leurs moments de besoin.
[malgré qu'ils n'avaient rien, ils partageaient tout ce qu'ils pouvaient à la fois matériellement que moralement!]

C'est pourquoi nous commençons le Séder de Pessa'h en proclamant : "tout ceux qui ont faim, viennent et mangent" (kol dikhfin yété véyékhol), puisque c'est par le mérite de la bonté qu'ils avaient les uns envers les autres que nous avons pu être libérés d'Egypte.
Nous devons également suivre leur exemple, et marcher dans leurs pas en pratiquant la bonté (en faisant une alliance de bonté entre nous!).
Nous espérons que par le mérite de notre propre bonté, nous méritons également la délivrance, comme nous l'affirmons à la fin de ce passage de la Haggada : "l'année prochaine en terre d'Israël" (léchana abaa béar'a déIsraël).

<----------------------->

-> La guémara (Taanit 20b) rapporte qu'à chaque fois que Rav Houna mangeait du pain, il ouvrait la porte de sa maison, et il disait : "Que tout celui qui a besoin, qu'il entre et qu'il mange" (kol man dits'rikh lété vélékhol).

<--->

-> Certains disent que cette invitation au début du Séder de Pessa'h ("tout ceux qui ont faim, viennent et mangent") invitant le pauvre s'adresse également aux non-juifs, puisque selon la guémara (Guitin 61a) : "nous supportons les non-juifs avec les juifs afin de maintenir la paix".
[Yaavets]

<----------------------->

-> La matsa indique la fin de l'exil, l’occasion de se rappeler le temps qu’a duré la "misère" (oni - ענִֹי) de l'exil : le mot Matsa (מצה) avec les lettres écrites pleinement (bémilouï) : מם צדי הא , a pour valeur numérique 190, celle du mot : "kéts" (קץ - la "fin" de l’exil, et aussi le nombre d’années que l’on retira aux "410 ans" d'exil prévus). [Béné Issakhar]

-> Les premières lettres des mots : הא לחמא עניא די אכלו אבהתנא בארעא דמצרים (du début de la Haggada : "ha la’hma aniya ... - c’est le pain de misère que mangèrent nos ancêtres en terre d’Egypte) totalisent une valeur numérique de 117, correspondant au nombre d’années qui séparent la mort de Lévi à la sortie d’Egypte, c’est-à-dire les années d’esclavage (voir Rachi sur Véra 6,16).
La valeur numérique des mots לחמא עניא (ha la'hma aniya) est 210, le nombre d’années du séjour du peuple juif en Egypte.
[Rokéa’h]

<----------------------->

-> "Voici le pain de misère (ha la'hma anya) qu’on mangé nos pères en terre d’Égypte. Quiconque a faim, qu’il vienne manger, quiconque est dans le besoin, qu’il vienne faire Pessa’h (les quatre verres de vin). Cette année, ici, l’an prochain en terre d’israel. Cette année, esclaves, l’an prochain des hommes libres".

-> Le Ben Ich 'Haï (Ora'h 'Haïm) explique
Il faut comprendre dans ce tout premier passage de la Haggada le rapport entre la première partie et la fin. Au début on invite les nécessiteux à prendre part à notre Séder, ensuite on espère devenir libre et rentrer en Israël de notre dernier galout (exil).
Une des explications est qu’on veut signifier à l’invité pauvre, qu’il n’a aucunement à avoir honte de cette bonté qu’on a envers lui, car au contraire c’est nous qui lui sommes redevables, car en invitant l’indigent à manger avec nous, on mérite alors de monter en Israël, et en l’invitant à boire les 4 coupes de vin, alors on méritera de devenir des hommes libres, affranchis du galout.
On ouvre donc le Séder par ces paroles de reconnaissance ,de consolation et d’espoir.

<------>

=> Pourquoi ouvrons-nous la porte lorsque nous disons "Verse ta colère" (chéfo'h 'hamatékha) qu'après le repas, et non pas avant le repas lorsque nous récitons : "kol di'hfin yété véyé'hol" (que tout celui qui a faim, qu'il vienne et mange - dans le A la'hma aniya). Comment pouvons-nous inviter des gens si la porte est fermée à clé?

Le rav Ze'ev Wolf de Strikov explique : "Celui qui a faim..." a un aspect non physique. En effet, le soir du Séder, la porte des hauts niveaux spirituels est ouverte. Non seulement ils peuvent être acquis, mais nous sommes invités à y entrer et à les recevoir dans une mesure débordante : "que celui qui a faim vienne!"
Mais il y a une condition préalable qui doit être remplie. Nous devons nous-mêmes ouvrir la porte. Nous devons montrer que nous ne sommes pas paresseux".

<----------------------->

-> b"h, il existe un autre dvar Torah déjà paru sur ce sujet : https://todahm.com/2017/04/26/pourquoi-le-ha-lachma-anya-est-il-en-arameen

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.