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La force de reconnaître : « j’ai fauté »

+ La force de reconnaître : "j'ai fauté" :

"Bilaam dit à l'ange d'Hachem : j'ai péché" (Balak 22,34)

-> Il ressort de ce passage de la Torah une preuve établie que celui qui confesse ses fautes même s'il n'est pas sincère, sera épargné des souffrances et des accusations. Comme cela est rapporté dans le midrach (Bamidbar rabba 20,13) sur : "Bilaam dit à l'ange d'Hachem : j'ai péché". Bilaam était un grand racha dénué de bonnes actions et savait parfaitement que face au repentir, la punition ne peut se tenir.
Tout celui qui a péché et qui dit : "j'ai péché", ôte la permission à l'ange de le frapper.

Pour appuyer cet enseignement du midrach, voici ce qui est écrit dans le Zohar haKadoch : "Un homme doit devancer le Satan en exprimant ses fautes ce qui empêchera ce dernier de porter des accusations contre lui" (Zohar ח"ג רלא).
Ce tut le cas de Bilaam dont la confession était uniquement motivée par la crainte du châtiment et non par un quelconque repentir.
=> S'il en est ainsi concernant un racha, à plus forte raison pour le juif qui est le fils bien-aimé du Créateur et qui lorsqu'il exprime juste ses fautes, même s'il ne ressent pas encore la force du repentir sincère le bouleverser, se crée indéniablement un bouclier qui le préserve des souffrances et des accusateurs.

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