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+ Une femme mérite le Gan Eden en envoyant son mari étudier la Torah, mais il se peut qu'elle ait la meilleure part du marché. En effet, alors qu'il est tenu responsable de ce qu'il a réellement fait dans le beit midrach, elle obtient tout le crédit nécessaire, comme s'il avait appris avec diligence. [comme s'il avait étudié à la perfection]

Le Rogatchover, un génie de la Torah, a dit dans son humilité : "Je suis sûr d'entrer dans le Gan Eden, grâce au mérite de ma femme.
- La guémara dit que lorsqu'un homme arrive au Paradis, il est testé pendant 50 jours pour voir ce qu'il a appris. Lorsqu'ils me testeront, ils diront : "Est-ce que cela s'appelle apprendre?"
- Puis ils feront venir ma femme et lui demanderont : 'Qu'est-ce que tu veux?'
- Le Gan Eden.
- Par quel mérite?
- Mon mari a étudié la Torah.
- Ils lui diront : "Cela ne s'appelle pas apprendre.
Elle dira : "Je l'ai envoyé au beit midrach. Comment pourrais-je savoir ce qu'il y a fait?
- Tu as fait ce que tu avais à faire", lui répondront-ils. Va directement au Gan Eden.
- Elle s'y rendra, mais elle s'y sentira seule. Elle leur dira : "C'est ça, Gan Eden? Être seule ici, c'est le guéhinam. Amenez mon mari!
- Ils m'amèneront, et je m'assiérai à côté d'elle. J'entrerai donc dans le Gan Eden grâce au mérite de ma femme."

=> Quel pouvoir ont les femmes de se procurer, à elles et à leurs maris, un palais dans le monde à venir!
[rav Nissim Yagen]

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-> b'h, également sur ce sujet : http://todahm.com/2014/08/07/la-femme-son-mari-et-letude-de-la-torah

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