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"Il y a tellement de kédoucha dans les lettres de la Torah, et à plus forte raison quand elles s'assemblent en mots et en versets, que même leur prononciation parvient à influer sur l'homme, à soumettre son cœur à D. et à accepter totalement Sa royauté infinie.

Cette ségoula extraordinaire se trouve dans notre Torah, quel bonheur!"

[Eliyahou Lopian - Lev Eliyahou]

"Vous tous assoiffés, allez vers l'eau" (Yéchayahou 1,55).
Nos Sages expliquent : "l'eau, c'est la Torah" (guémara Ta'anit 7a).

Rabbi 'Haïm Kanievski (Taama Diqra) de commenter :
"A propos de l'analogie entre l'eau et la Torah, nous rapporterons une Halakha du Choulkhan Aroukh (204,7) : Si on boit de l'eau lorsque l'on n'a pas du tout soif, on n'a pas besoin de réciter la bénédiction car on ne jouit de l'eau que lorsque l'on a soif, ce qui n'est pas le cas des autres boissons et aliments.

La Torah a été comparée à l'eau pour nous apprendre que celui qui n'a pas soif de Torah n'éprouve pas de plaisir à l'étudier!"

"La Torah protège l’homme tout le temps (dans ce monde, à l’heure de sa mort et dans le monde futur) "

[Tana Débei Eliahou Zouta – chap17]

-> "Si tu vois approcher les souffrances, cours vers les lieux d’étude et les souffrances te fuiront immédiatement. "
[Midrach Tana Débei Elyahou]

-> Le ‘Hafets ‘Haïm (Nid'hé Israël - chap.13) de dire que dans ce monde, D. comble les désirs de l’homme qui se consacre à la Torah, comme disent nos Sages : "Toute personne s’adonnant à la Torah voit ses désirs comblés par D. "

-> "Quand l’homme s’affaiblit dans son étude de la Torah et qu’il suit le mauvais chemin, nombre d’êtres malfaisants vont à sa rencontre pour l’accuser. "
[le Zohar]

-> "Toute personne s’adonnant à la Torah … se voit pardonner toutes ses fautes. "
[guémara Béra’hot 5a]

-> "Il n’existe pas de bonne action qui sauve de l’enfer (Guéhinam), si ce n’est l’étude de la Torah."
[Haggadat Michlé]

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-> Le Sifri dit : "La récompense pour l’étude de la Torah est supérieure à celle de tous les autres commandements et, de la même façon, la peine infligée pour sa négligence est plus lourde que pour toutes les autres fautes. "

-> Le ‘Hafets ‘Haïm (Nid'hé Israël - chap.13) rapporte que nos Sages enseignent que, lorsqu’un homme étudie la Torah, les êtres célestes créés par sa bouche (murmurant des paroles de Torah) l’entourent à perte de vue et l’on conçoit donc la punition infligée à celui qui abandonne la Torah, ce que le verset exprime ainsi : "Ceux qui abandonnent D. seront détruits".

La honte et la punition que subira l’homme sont proportionnelles aux bienfaits dont il aura bénéficié en ce jour du Jugement.

"Lorsqu'une personne s'engage à suivre la Torah, un grand bonheur l'envahit."

[le 'Hazon Ich]

"Malheur à celui qui croit que la Torah ne contient que des récits communs et des paroles ordinaires, car, s'il en était ainsi, nous pourrions encore de notre temps composer une loi beaucoup plus admirable."

[le Zohar]

"Si quelqu'un étudie la Torah durant la nuit, D. lui montre une compassion particulière durant le jour."

[guémara 'Haguigua 12b]

La Torah fait grandir ce qu’il y a en nous …

+ La Torah fait grandir ce qu'il y a en nous ...

"La Torah est comme une pluie qui arrose toutes les plantations.
Mais tout dépend de ce qui est planté.

Là où on plante du blé, le blé poussera, mais là où sont semées des ronces, ce sont des ronces qui pousseront.
Et l'endroit où est planté un poison, la pluie le fera également pousser.

Ainsi pour la Torah, qui, venant du Ciel, fera pousser ce qui se trouve dans le cœur de l'homme.
Si le cœur est bon, la Torah augmentera sa crainte de D.
Mais si (D. nous en préserve), son cœur cultive du poison, il trébuche encore davantage par son étude et le point faible qui est en son cœur se renforcera jusqu'à ce qu'il déborde."

[le Gaon de Vilna - sur michlé 19,9]

"Lorsque je prie, je parle à D.
Lorsque j'étudie, D. me parle."

[le gaon de Rogatchov - Rabbi Yossef Rosen -> 1858-1936]

"La clé du bonheur dans le monde, c'est la Torah."

[le 'Hafets 'Haïm - ('Hafets 'Haïm al haTorah - Dévarim 30,12) ]

"C'est une mitsva d'étudier la Torah et de faire chaque jour tous les efforts possibles en ce sens.
Car lorsque l'homme étudie la Torah, son âme se métamorphose dans une autre âme sainte, au point de devenir celle d'un ange."

[Introduction au Zohar - rapportée aussi dans le Néfech ha'Haïm - 4e portique - chap.15]

Le 'Hazon Ich (Emouna ouBita'hon) de nous enseigner :
Un homme peut se retrouver à un degré d'élévation spirituelle proche de celle des anges et circuler au milieu des hommes sans que personne ne se doute de rien.
Car la vérité ne relève que de l'intériorité.

La guémara nous apprend que le seul détail qui a permis à la Chounamite de savoir qu'Elicha était prophète, était le fait qu'aucune mouche n'approchait de sa table, et ce, malgré les très hauts niveaux spirituels qui étaient les siens.

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-> Le yétser ara tente de nous dire : "tu étudies la Torah, mais regardes-toi dans la glace, tu n'as pas changé!"
=> Dans un monde environnant qui donne énormément d'importance à l'extériorité, tâchons d'avoir sur le nez les lunettes juives, et de nous focaliser alors sur l'intériorité, lieu de présence du émet.
("la vérité ne relève que de l'intériorité" - le 'Hazon Ich)

-> La Guemara (Pessa‘him 50a) rapporte que Rav Yossef, fils de Rabbi Yehochou‘a ben Lévi, était mort de maladie, et que son père, à force de supplications, l’avait ramené à la vie.
- "Mon fils ! Qu’as-tu vu (dans le Ciel) ?", lui demanda son père.

Rav Yossef, son fils lui répondit :"J’ai vu un monde sens dessus-dessous. Ceux qui sont ici au sommet sont là-haut tout en bas, et ceux qui sont considérés ici comme insignifiants se situent là-bas au pinacle."