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Une des fondations de notre service Divin est de reconnaître le bien que Hachem nous fait.
[Alchikh haKadoch - paracha Ki Tavo]

[Plus une personne est élevée spirituellement, plus elle pense constamment à combien de bien D. fait pour elle, et a des mots de remerciement et de louange sur ses lèvres durant toute la journée.]

-> "Olam 'hessed yibané" = Hachem a construit le monde sur la bonté ('hessed).
Il nous donne sans relâche, et lorsque nous Lui exprimons même le minimum de gratitude et d'appréciation, alors il en découle qu'Hachem nous accorde encore davantage.
[d'après le Alchikh haKadoch - Ki Tavo]

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-> "Il convient à chaque personne de s'éveiller à penser à tout ce qu'elle a déjà et à reconnaître que tout cela nous a été donné comme cadeau par Hachem.
On doit parler de la bonté que D. fait pour tout le peuple d'Israël, et par cette attitude on amènera sur nous encore davantage de bénédictions."
[Séfer ha'Hinoukh - mitsva 606]

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-> La raison sous-jacente aux mitsvot est de croire en Hachem et de Le remercier de nous avoir créés.
C'est pour cela que Hachem a créé le monde, car il n'y a pas d'autre raison pour Hachem d'avoir créé le monde.
Et Hachem n'a pas d'autre désir de nous, que le fait que nous Le connaissions et Le remercions.
[Ramban - fin paracha Bo]

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+ "Ceux qui sont sages observent ces faits et ils se pénètrent de la bonté de D." (roi David - Téhilim 107,43)

-> Nous devons considérer toute situation et tout évènement en profondeur [son origine première] et découvrir les bienfait que D. nous a accordés, qu'ils soient manifestes ou cachés.
De façon naturelle, une observation de ce genre fait prendre pleinement conscience de la bonté de D. et mène à un profond sentiment de gratitude à Son égard.
[rav David Hofstedter - Darach David (Vayéchev)]

[la tendance naturelle est de se focaliser sur ce qui ne va pas comme on le voudrait, et de prendre pour acquis, naturel, tout ce qui va (car nous ne voulons pas être infiniment redevables envers Hachem).
Un juif doit au contraire mettre en lumière, apprécier, le bien que D. lui octroie, et alors "ils pénètrent de la bonté de D."]

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