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"Puis, il y eut ce jour opportun où il vint à la maison pour faire sa besogne" (Vayéchev 39,11)

-> Le Imré Emet (5687) donne un aperçu du degré de difficulté auquel Yossef a été confronté lors de son épreuve avec la femme de son maître. Comme Rachi le cite dans le midrach, la femme de Potiphar avait des intentions positives dans ses avances à Yossef, car elle prévoyait qu'elle était destinée à s'unir à lui. En effet, le plan divin prévoyait que Yossef siphonne les étincelles de sainteté logées dans cette famille (même si c'était par l'intermédiaire de leur fille, d'une manière autorisée).
Elle partagea ces nobles objectifs avec Yossef, offrant ainsi une tentation doublée d'un objectif spirituel justifiable, voire nécessaire.

C'est pour cette raison que le salut de Yossef est venu par l'apparition de l'image de son père Yaakov. En tant que modèle de Vérité, l'exemple de Yaakov a donné à Yossef la force de reconnaître les choses pour ce qu'elles étaient, perçant le vernis de la justification de ce qui aurait été un outrage moral.

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