"Lorsqu’une personne arrive devant le tribunal céleste, on lui demande : "As-tu espéré en la délivrance ? " "
[guémara Shabbath 31a]
Rabbi Ber Rodshitz lors d’un séjour dans un auberge a été transporté d’allégresse par une horloge ayant une relation avec le Voyant de Lublin.
Il dit : "En général, le carillon d’une horloge est déprimant, parce qu’il nous signale qu’une autre heure de notre vie vient de s’écouler et qu’elle ne reviendra jamais.
Mais avec le Voyant de Lublin, il en va tout autrement.
Pour lui, chaque heure qui passe nous rapproche de la délivrance."
Nous pouvons percevoir le temps qui passe avec désespoir ou allégresse.
A nous de choisir ...
[L’idée de la venue à tout moment du Macchia’h est une sorte de : "ne remet pas à plus tard ce que tu peux faire maintenant, car si tu penses vraiment que le macchia’h peut arriver à tout moment, il ne te sera alors plus possible de le faire ... "
=> Ainsi, il faut vivre sa vie à fond, sans avoir de regret (j’aurai du faire, j’aurai pu, …).
A chaque instant, j’utilise au mieux les capacités que D. me donne, je fais téchouva (l’erreur est humaine), c’est ainsi que je suis véritablement prêt à sa venue non seulement par le désir mais aussi et surtout par mes actions.]