"Que quiconque a faim vienne manger" (Haggada de Pessa'h)
-> Le Rambam écrit (Hilkhot Yom Tov 6) :
"Celui qui ferme à clé les portes de sa cour, mange et boit en compagnie de ses enfants et de sa femme, mais ne donne pas à manger et à boire aux pauvres et aux malheureux, cette joie n'est pas une joie née de l'accomplissement d'une mitsva mais une joie pour l'estomac.
Et à ce sujet, il est écrit : "Leurs sacrifices sont pour eux comme du pain d'endeuillés ; quiconque en mange sera impur car leur pain n'est [que pour] eux-mêmes".
Une joie pareille est une honte pour eux."
-> "Il faut réjouir les pauvres à chaque fête ; celui qui se réjouit sans réjouir les pauvres sera gravement puni "
[le Zohar – paracha Yitro]