"Mais moi, grâce à Ta bonté abondante, j'entrerai dans Ta maison" (vaani bérov 'hassdé'ha avo vété'ha - Téhilim 5,8).
-> Le 'Hida (Pessa'h Einayim) interprète le mot 'hasdé'ha (חַסְדְּךָ) comme "les règles de bonté que Tu nous as enseignées", ce qui signifie que nous pouvons entrer dans nos synagogues pour prier pour une bonne année parce que nous portons le mérite de tout le 'hessed (bonté) que nous avons accompli.
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-> Dans sa vieillesse, le 'Hafetz 'Haïm se plaignait de ne plus pouvoir se déplacer autant qu'avant.
"Si je le pouvais", déclara le tsadik, "j'irais de maison en maison à cette époque de l'année (les jours menant à Roch Hachana) en citant uniquement nos Sages (Shabbath 151a ; voir aussi Chaaré Téchouva 3,36) qui disent : "kol haméra'hem al habériyot méra'hamim alav min hachamayim" (quiconque fait preuve de compassion envers autrui, le Ciel aura également de la compassion pour lui'".
Apparemment, le 'Hafetz 'Haim estimait que faire preuve de bonté envers autrui est le moyen le plus infaillible d'être béni par une bonne nouvelle année.