+ Se guérir par l''étincelle de notre lettre dans la Torah :
"La fille de Pharaon [Batya] ... aperçut le panier (aTéva) au milieu des roseaux ... et elle le prit" (Chémot 2,5)
-> Le midrach (Chémot rabba 1,27) rapporte que Batya fut frappée par la maladie de tsaraat, et lorsqu'elle toucha le panier/corbeille (téva) dans lequelle se trouvait Moché, elle fut guérie.
-> Le séfer Sifté Tsadik (ot 11) explique que la "téva" de Moché était comme le Aron Hakodech dans le sens où la Chékhina reposait sur elle. Par conséquent, elle avait la capacité de guérir.
De plus, il cite les sifré Kodech qui disent qu'il y a 600 000 lettres (tévot [téva veut aussi dire : un mot]) dans la Torah, ce qui correspond aux 600 000 âmes du Klal Yisroel.
Chaque individu a sa propre lettre dans la Torah. Lorsqu'un individu est capable de ressentir l'étincelle sainte de sa lettre, il est guéri de tous ses maux.
Le Sifté Tsadik conclut : "Si Batya a été guéri en touchant la téva de Moché, il est certain que si un juif touche sa téva dans la Torah en s'y connectant correctement et en ressentant sa lumière sacrée, il sera guéri et sauvé de tout mal."