Quand un homme commet une transgression, le jour où cette faute a été accomplie vient témoigner contre lui et n'est pas compté, au Ciel, comme un jour de vie, sauf si la personne se repent.
Quand un Juste (tsadik) meurt, son âme monte au ciel, "habillée" de tous les jours de sa vie qui lui servent de vêtements d'apparat.
En revanche, si un homme a fauté tout au long de son existence, il n'aura pas de quoi "se vêtir" dans l'au-delà ; malheur à lui et à son âme.
[Zohar - Vayé'hi p.224a]