La tristesse perturbe l'accomplissement des commandements, l'étude de la Torah et la ferveur dans la prière. Elle annihile toute bonne volonté dans le service divin et ouvre la porte au mauvais penchant, qui pourra alors s'en prendre même à un Juste (tsadik), en lui montrant que sa fidélité à Hachem ne le préserve pas des malheurs ou en profitant de sa grande humilité pour le persuader qu'il n'est pas digne de servir le Très-Haut (Hachem).
La pratique dans la joie resserre au contraire les sentiments d'amour et stimule l'envie de s'attacher à Lui.
[rav 'Haïm Vital - Chaaré Kédoucha 2,4]