La chose la plus importante à faire en Elloul est de ressentir l'amour d'Hachem.
[rav Its'hak Breitowitz]
Catégorie : 03- Roch Hachana + Elloul
Le sourire est la meilleure préparation
+ Le sourire est la meilleure préparation :
-> On demanda un jour au rav Avigdor Miller, alors qu'il était assez âgé, quelle était la chose à faire pour se préparer aux Yamim Noraim à venir. Il était faible et ne parlait pas fort à l'époque, mais il a répondu clairement par un seul mot : "Souriez!"
L'auditeur pensa que le rav n'avait pas compris la question ou ne pouvait pas articuler une réponse acceptable. Il réitère donc sa question, mais plus fort.
Le rav Miller s'écria : "Je ne suis ni faible ni décrépit, mais je suis vieux, alors je vais réitérer (ma réponse) : "Souriez!"
Ainsi, ce grand de la Torah, après une vie à un très haut niveau spirituelle, nous affirme que la meilleure chose que nous puissions faire à Roch Hachana est de montrer que nous sommes reconnaissants pour tout ce que nous avons eu l'année dernière.
[ trouver un maximum de belles choses dans l'année passée sur lesquelles reconnaître que c'est grâce à Hachem, et pouvoir Le remercier.
Les jours redoutables (yamim noraïm) peuvent être remplis de crainte, nous faisant oublier de se réjouir d'avoir pu passer encore une année en tant que juif(ve), aux côtés du Maître du monde, de papa Hachem. (indépendamment de ses actions, tout juif est beaucoup plus aimé et proche d'Hachem que les autres nations).
Roch Hachana est généralement une période de bilan sur ce qui ne va pas (téchouva), d'ambitions sur le futur, mais il ne faut pas oublier de fêter et remercier Hachem pour toutes les choses de l'année passée, qu'elles soient petites, ordinaires ou répétitives.
Avant de faire rentrer dans notre bouche du miel à Roch Hachana, il faut en sortir (paroles douces comme le miel à Hachem). 🙂 ]
Roch Hachana = 2 jours dans le palais du Roi
+ Roch Hachana = 2 jours dans le palais du Roi :
-> L'objectif de la avada de Roch Hachana est de nous renouveler, de nous transformer en une nouvelle création, de nous déconnecter totalement du passé. Comment y parvenir?
Par les prières de Roch Hachana. Pendant deux jours entiers, nous nous oublions.
Vous est-il déjà arrivé de vous oublier, ne serait-ce qu'une seconde? Nous entrons dans le palais du roi et nous nous retrouvons dans un monde complètement différent.
Tout au long des prières, il y a de nombreuses formules pour que nous "rencontrions" le Roi. Et lorsque nous le rencontrons, lorsque nous passons deux jours sans nous préoccuper de nous-mêmes, nous devenons une nouvelle création.
[...]
Pendant deux jours entiers, nous ne faisons que penser aux prières, et c'est ainsi que nous acquérons une véritable connexion avec ce que nous disons.
Pendant tout ce temps, nous ne faisons rien d'autre, nous ne pensons à rien d'autre. Nous n'avons pas d'affaires à régler et nous ne pensons ni à hier ni à demain. Tout est mis de côté et nous ne pensons qu'à une chose : être dans le palais du Roi.
[...]
Si l'on nous demandait ce que nous devons prier à Roch Hachana, nous répondrions certainement une longue vie, une bonne parnassa et une bonne santé. Mais qu'ont inclus nos sages dans nos prières?
"De même, Hachem notre D., place ta crainte sur toutes tes œuvres" (ouv'hen ten pa'hdékha, Hachem Elokénou, al kol maasé'ha).
"Tout ce que Tu as créé doit savoir que Tu l'as fait, et tout ce que Tu as façonné doit comprendre que Tu l'as façonné" (véyéda kol paoul ki ata péalto véyavin kol yistour ki ata yitsarto).
Ces paroles parlent toutes de la royauté de Hachem. Comment pouvons-nous comprendre cela ?
Il est impossible d'approcher le Yom Hadin dans l'état de faiblesse où nous nous trouvons. Alors que fait Hachem?
Il nous dit : "Vous êtes les enfants du roi, vous êtes élevés et spéciaux (à Mes yeux)! Venez dans le palais du Roi, passez-y quelques jours, et vous sortirez alors de l'humilité de l'année." (plus on se rapproche d'Hachem, plus on est à notre place, conscient de notre petitesse)
Voilà ce qu'est Roch Hachana. Nous passons deux jours entiers dans le palais du Roi, à discuter avec lui et à parler de Sa grandeur et de Sa force. Nous demandons que le monde entier reconnaisse sa Royauté (véyéda kol paoul).
C'est ce que nous faisons pendant deux jours.
[rav Nathan Wachtfogel - Léket Réchimot ]
[physiquement nous semblons être sur terre, mais spirituellement nous sommes dans le palais du Roi, dans une proximité totale avec notre Père, le Roi des rois. ]
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-> Pendant les 2 jours [de Roch Hachana], nous sommes extrêmement proches d'Hachem, comme le disent nos Sages : "Entendre le shofar, c'est comme se trouver à l'intérieur du Saint des saints (Kodech HaKodachim), l'endroit le plus saint du Temple " (guémara Roch Hachana 26b).
Hachem voit comment une personne est au moment où elle est jugée, sans regarder son passé.
Étant donné qu'à Roch Hachana, nous ne nous occupons que de ce moment, et non de tout notre passé, chaque juif peut devenir un tsadik à part entière.
Chaque juif peut être inscrit dans le livre des tsadikim. C'est pourquoi il est interdit de mentionner toutes les fautes que nous avons eues dans le passé, car à Roch Hachana, chacun d'entre nous peut se tenir devant Hachem en tant que tsadik complet et dire : "Je suis une nouvelle création, prête à faire tout ce qu'Hachem me demande."
[...]
A Roch Hachana, pendant 2 jours, nous sommes à côté du Roi, vivant dans un autre monde, un monde d'Elokout (Divinité), de Malkhout (Royauté), d'Avot, et de Malkhout Chamayim, pensant à Hachem comme notre Roi, pensant à nos Patriarches et à la façon dont ils ont servi Hachem, et pensant à la Royauté d'Hachem sur le monde entier.
Il est possible de devenir soudainement le plus grand tsadik de la génération.
En passant deux jours entiers à prier Hachem, on peut devenir un tsadik complet comme le Gaon de Vilna. Et la vérité, c'est qu'au Ciel, ils souhaitent que chaque juif devienne un tsadik à part entière.
[rav Nathan Wachtfogel - Léket Réchimot ]
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-> La halakha stipule qu'il est interdit de mentionner nos fautes le jour de Roch Hachana. Pourquoi cela?
Pendant ces deux jours, nous devons nous déconnecter complètement du passé. Nous ne parlons pas de nos faiblesses ou de nos lacunes. Nous ne mentionnons même pas les choses dont nous pourrions avoir besoin. Nous ne parlons que de ce que nous voyons dans le palais du Roi.
Nous demandons que la noblesse d'Hachem devienne évidente pour le monde entier : "Hachem, c'est Toi seul qui dois régner" (vétimlo'h ata Hachem lévadé'ha).
Pendant deux jours entiers, nous ne parlons que de nos aspects positifs, sans mentionner aucune de nos fautes. Si nous ne pensons pas et ne nous préoccupons pas de nous-mêmes pendant deux jours entiers, nous pouvons espérer laisser derrière nous la bassesse du reste de l'année et redevenir grands. Nous pourrons alors retrouver le statut exalté qu'Hachem a accordé au peuple juif.
Se concentrer sur les aspects positifs
Les versets de Zi'hronot que nous disons pendant Moussaf ont un objectif : se concentrer sur nos aspects positifs. En fait, nous nous jugeons nous-mêmes favorablement. Nous déclarons qu'Hachem est notre "bon Roi" et nous disons : "Heureux celui (c'est-à-dire nous) qui ne T'oublie pas" (achré ich chélo yiska'hékha). Il ne s'agit pas de flatterie, nous disons simplement la vérité.
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En nous concentrant sur nos aspects positifs, nous montrons que nous cherchons Hachem. C'est ainsi que nous mériterons une bonne année. "Celui qui Te cherche ne trébuchera jamais, et celui qui s'abrite en Toi ne sera jamais déshonoré" (ki dorché'ha léolam lo yékachélou vélo yékalmou lanétsa'h kol a'hochim ba'h).
La récitation de ces versets est source de joie et d'espoir. Nous pouvons sortir de la boue, nous le pouvons vraiment. Nous devrions être si heureux que nous devrions commencer à danser!
[rav Nathan Wachtfogel - Léket Réchimot ]
Donner de la force à nos prières par notre unité
+ Donner de la force à nos prières par notre unité :
"Les prières des Yamim Noraïm doivent être conduites dans un esprit d'amour et de paix entre une personne et son prochain, afin que nos prières soient acceptées.
Car alors le Satan dit : "Qui est comme Ta nation Israël? Ils sont comme les anges Tutélaires, qui n'ont ni jalousie ni haine entre eux."
L'unité sur la terre entraîne l'unité des racines de nos âmes au Ciel."
[Alchikh haKadoch - Nitsavim 29,9]
=> bien qu'un sentiment d'unité et d'amour au sein du peuple juif permet toute l'année d'améliorer l'impact de nos prières, cela l'est tout particulièrement pendant les Yamim Noraïm, lorsque nous devons nous tenir comme une nation unie devant Hachem.
Les prières de Roch Hachana
+++ Les prières de Roch Hachana :
+ Les morts se joignent à nos prières :
-> A Roch Hachana et Yom Kippour, les âmes (néchamot) des Avot (Patriarches) et des tsadikim qui ont déjà quitté ce monde reviennent pour se joindre à nous dans nos prières.
Cela explique la déclaration de nos Sages (guémara Roch Hachana 32b) selon laquelle les anges célestes disent à Hachem : "Pourquoi le peuple juif ne chante par de Shira (une louange, comme le Hallel) à Roch Hachana et à Yom Kippour?"
Hachem répond : "Le livre de la vie et le livre de la mort sont ouverts devant moi, et ils devraient dire Shira?"
C'est parce que même si en ces jours les morts prient avec nous et que leurs prières sont efficaces, ils ne peuvent pas dire de Shira avant la résurrection des morts, car il existe une règle selon laquelle "les morts ne peuvent pas louer Hachem" (lo amétim yéalélou ya - Téhilim 115,17).
Ainsi, nous ne pouvons pas non plus dire Shira, car les morts sont parmi nous [priant à nos côtés en ces jours si importants].
[ 'Hatam Sofer - Drachot 'Hatam Sofer - 'helek 2 - p.350 ]
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+ Réciter les prières avec kavana :
-> Le séfer Yocher Divré Emet (ot 56) écrit à propos des prières de Roch Hashana :
"Tout le monde récite les prières avec beaucoup d'éveil spirituel, mais c'est pour les piyoutim et les nouvelles prières qui ne sont dites que pendant les Yamim Noraïm que l'enthousiasme est le plus grand.
Les prières (habituelles) de Pessouké Dé'Zimra, Korbanot, Shéma et de la Amida sont récitées rapidement, comme elles le sont tout au long de l'année.
Les gens ne réalisent pas que ce sont là les prières principales (de Roch Hachana) et que le reste n'est que des "ajouts", et que les prières ajoutées ne peuvent être acceptées que si les prières principales sont récitées correctement.
On peut le voir dans les actions du rav Ména'hem Mendel de Premichlan, qui considérait les prières principales comme l'essentiel."
-> Le Yocher Divré Emet poursuit :
"En particulier en ce jour formidable de Roch Hachana, il faut se concentrer sur la signification des mots et des lettres. De cette manière, on élève toutes les prières récitées de manière incorrecte tout au long de l'année, comme l'indiquent de nombreux séfarim."
Le shofar élève tout le monde
+ Le shofar élève tout le monde :
-> Non seulement le shofar fait taire les anges Accusateurs, mais il élève et inspire le peuple juif.
Le séfer Ohel Shlomo (sur Roch Hachana) cite le rav Bounim de Peshischa qui dit que le mot "shofar" est l'acronyme de "shoresh poré roch vé'laana". [il s'agit d'une expression utilisée pour désigner quelqu'un qui est tombé à un niveau de faute très bas.)
Cela signifie que même quelqu'un qui est tombé à un niveau spirituel très bas peut être élevé par l'écoute du shofar.
Shofar = dérouter le Satan
+ Shofar = dérouter le Satan :
-> Tossefot (Roch Hachana 16a) déclare au nom du Yérouchalmi que lorsque Satan entend le son du shofar pour la première fois, il est déconcerté et effrayé, et lorsqu'il l'entend pour la deuxième fois, il se dit que ce doit être le shofar de la guéoula et qu'il est sur le point d'être tué. Il n'a donc pas le temps de porter des accusations contre le peuple juif.
Le rav Bounim de Peshischa explique qu'en semant la confusion dans l'esprit de Satan, nous lui donnons une leçon. Nous lui montrons que lorsqu'il est confus et déconcerté par une chose relativement insignifiante comme le son du shofar, il perd son sens de la raison et ne peut plus prendre de décisions sensées.
Nous lui demandons alors comment il peut juger négativement le peuple juif. Nous sommes obligés de courir toute la journée pour gagner notre vie et sommes remplis d'inquiétudes et de confusion ... alors comment peut-il essayer de nous juger négativement?
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-> Lorsque nous accomplissons la mitsva de souffler dans le shofar, cela fait taire les anges Accusateurs.
Le rav Its'hak de Vorka (cité dans le séfer Beit Its'hak) disait que lorsque Satan entend le son du shofar, il est pris de peur. En effet, l'ange Michaël, le défenseur du peuple juif, lui demande : "Pourquoi importunes-tu les juifs? Toutes tes plaintes à leur encontre sont injustifiées. Ils font de leur mieux pour accomplir toutes les mitsvot de Hachem et éduquer leurs enfants dans la bonne voie. Il est peut-être vrai qu'ils ne prient pas toujours suffisamment. Mais pourquoi en fais-tu toute une histoire?"
Le Satan répond : "En fin de compte, ils ne prient pas!"
Soudain, le shofar retentit et Satan tremble de peur. L'ange Michael lui dit : "Regarde ça! Tu trembles de peur à cause d'un seul coup de shofar, alors comment peux-tu parler en mal du peuple juif? Tu es un ange, mais tu as quand même peur, alors comment peux-tu attendre d'un homme, qui est fait de chair et de sang, qu'il relève [au quotidien] des défis aussi difficiles?"
Le moment de la sonnerie du shofar est un moment si propice que nous pouvons alors rectifier tous les problèmes d'une année entière.
[rav Yissa'har Dov de Belz - rapportant le séfer Nahar Shalom du rav Shalom Sharabi ]
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-> Par le shofar, nous devenons des personnes nouvelles et nous retrouvons notre état naturel de perfection.
Ainsi, selon le midrach (Vayikra rabba 29,4), cela a le pouvoir "d'amener Hachem à changer un (mauvais) décret". Grâce au shofar, nous devenons une personne nouvelle, ce qui nous vaut la faveur d'Hachem.
Tachli’h – Hachem dissimule nos fautes
+ Tachli'h - Hachem dissimule nos fautes :
-> Le verset dit : "Et jette dans les vagues de la mer toutes leurs fautes" (Michlé 7,19) .
Le séfer Imré Yéhouda (Brezhan - parachat Béchala'h) cite le Maguid de Zlotchov qui demande pourquoi les fautes doivent être jetées dans la mer plutôt que d'être complètement éradiqués du monde.
Il répond en citant la guémara (Yoma 89b) qui dit que lorsque l'on fait téchouva par craintes, nos fautes intentionnelles sont transformées en fautes involontaires/accidentelles, tandis que lorsque l'on fait téchouva par amour, nos fautes intentionnelles sont transformées en mérites.
En conséquence, Hachem ne rejette pas complètement nos fautes. Il les cache plutôt dans la mer afin qu'elles puissent être transformés en mérites lorsque nous faisons téchouva.
Cela peut être comparé à une personne qui couvre une bougie avec une tasse afin de bloquer la lumière, mais qui, lorsqu'elle veut voir la lumière, peut toujours retirer la tasse. Si elle éteignait le feu, cependant, la lumière serait perdue et elle serait incapable de la récupérer lorsqu'elle en aurait besoin.
A Roch Hachana, nous faisons téchouva par crainte du jour du Jugement. Ainsi, nos fautes intentionnelles sont transformées en fautes accidentelles.
Cependant, nous possédons toujours ces fautes involontaires. Nous allons alors au tachli'h et jetons les fautes dans la mer, demandant à Hachem de les y garder jusqu'à ce que nous puissions les transformer en mérites.
A Pourim, lorsque nous acceptons la Torah et faisons téchouva par amour (guémara Shabbath 88a), ces fautes sont transformés en mérites.
A Pessah, nous retournons à l'eau et récupérons ces fautes, qui sont désormais des mérites. C'est pourquoi l'eau que nous puisons pour Pessa'h est appelée "mé mitsva".
Pour que les anges parlent bien de nous
+ Roch Hachana - Pour que les anges parlent bien de nous :
-> Que nos prières soient acceptées ou non dépend de la façon dont nous nous bénissons les uns les autres et souhaitons à tous nos amis une "kétiva vé'hatima tova" (d'être écrit et signé pour le bien pour l'année à venir).
Il est très important de donner cette bénédiction avec tout notre cœur, car elle est très puissante au Ciel.
Les anges qui transportent nos prières apportent ces bénédictions directement au Trône d'Hachem et servent à créer des anges ardents qui parlent bien de nous.
C'est ce qu'a dit le Tséma'h Tsédek de Loubavitch (cité dans séfer Si'hot Mahariyatz 5705) :
"Deux anges nous accompagnent. Quand ils entendent tout le monde dire à leurs amis, la nuit de Roch Hachana : "Lé'chana tova tikatev vé'tékhatem" avec un cœur pur, ils montent vers le ciel en tant que défenseurs du peuple pour demander qu'une bonne année leur soit accordée."
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-> La vérité est que Hachem veut que nous nous louions et nous bénissions les uns les autres.
Il est rapporté dans le séfer Sichos Mahariyatz (5704) que le Maharach de Loubavitch a dit à son fils, le Rachab : "Les gens pensent qu'accepter un "pidyon" (se racheter des dégâts de nos fautes) est très difficile et que seul un Rabbi peut le faire. En réalité, tout juif peut accomplir la même chose en louant son ami. Mais cela doit être sincère.
À Roch Hachana, des centaines d'anges attendent qu'un juif loue son ami, car les anges savent que Hachem désire que les juifs soient loués. Il ne veut pas seulement les prières des tsadikim. Il veut les louanges d'Israël."
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-> Ceci est particulièrement important car la nuit de Roch Hcshana, moment où tout le monde souhaite une bonne année à ses amis, est un moment propice et opportun.
Le Bluzhever Rabbi (séfer Tsvi L'Tsadik - 'Hodech Tichri - maamar 2, ot 2) écrit que la grande majorité des juifs font téchouva dès le début de Roch Hachana. Il est donc certain que c'est un moment sacré où nous pouvons créer une immense satisfaction (na'hat roua'h) pour Hachem.