Aux délices de la Torah

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Pouvoir de la Torah

+++ Pouvoir de la Torah … A méditer …

-> "Une personne qui étudie assidûment [la Torah] réalise un acte de bonté pour tous les juifs, en leur donnant un mérite protecteur"

[Kovets Igros 'Hazon Ich 1,63]

Le 'Hazon Ich disait également : "La meilleure défense pour tout pays est l'effort fait pour la Torah".

Il expliquait ainsi qu'aussi longtemps que Rabbi Shimon Shkop et Rabbi Baruch Ber Leibowitz étaient en vie, les nazis ne pouvaient pas envahir la Lituanie, car leur intense effort pour la Torah protégé le pays.
Rabbi Shimon Shkop est mort le 22 octobre 1939 ; et Rabbi Baruch Ber Leibowitz le :17 novembre 1939.

-> "[Les personnes non religieuses] ne savent pas que l'étude d'une Tossafot a le pouvoir d'annuler de nombreux mauvais décrets"

[le 'Hazon Ich - paroles entendues par Rabbi Shaul Barzam]

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-> "Plus l’étude de la Torah est répandue, plus on s’évite des temps difficiles, et plus on annule les accusations portées contre Israël."

[le ‘Hafets ‘Haïm – dans son livre : « chem Olam I » – chapitre 22]

+ Le Rav Chakh a dit une fois en plein cours (durant la guerre du golfe), qu’il développait un nouveau raisonnement sur le Rambam capable de détourner un missile.
Dans les faits, un missile a bien été détourné, au même moment, pour tomber dans la mer, à proximité de Tel Aviv.

+ Le Rav Chajkin disait à ses élèves (durant la guerre avec l’Irak) :

-> “Nous faisons la guerre avec nos propres armes : la guémara.
La Torah est l’arme la plus puissante. […]
Aucune force militaire ne peut aussi bien aider que la Torah et la Téchouva.”

-> “Chaque cours de Torah constitue une bombe [contre nos ennemis].”

-> “C’est avec ces armes que nous gagnerons la guerre : les téfilin, c’est plus fort que tous les tanks.”

"Le poids de la gravité de nos actes nous échappe totalement, et ne se mesurent que par la connaissance de D."

[Rambam - Hilkhot Téchouva - chap.3]

"Aucun plaisir de ce monde ne peut égaler l'extase de se plonger dans les profondeurs du Talmud.

Une personne qui a réellement goûté à la joie et à l'extase de l'étude de la Torah, ne peut plus trouver de véritable jouissance parmi les plaisirs de ce monde."

[Rabbi Na'hman de Breslev]

+ Le mot Bamidbar ...

Le mot "bamidbar" (במדבר) peut se lire en 2 mots : "bam dabeir" (בם דבר - d'eux vous devrez en parler).

La guémara (Yoma 19b) commente les mots : "védibarta bam" par : tu parleras [de Torah] et non pas de paroles vaines, inutiles (dévarim bétélim).

Les lettres du : bam (בם) renvoient à la 1ere lettre :
-> du 1er mot de la Torah écrite (בְּרֵאשִׁית - Béréchit)
-> du 1er mot de la Torah orale (מאימתי - michna Béra'hot).

=> Dans nos discussions, le mot bamidbar vient nous demander de parler de Torah, qui est composée d'une partie écrite et orale, en faisant le vide autour de nous (à l'image d'un désert, vide de toute fioriture).

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"D. parla à Moché dans le désert du Sinaï" (bémidbar Sinaï - Bamidbar 1,1)

Le Sinaï est une partie du désert dans lequel ont résidé les juifs durant leur séjour de 40 ans.
Pourquoi alors la Torah ne dit-elle pas uniquement : "D. parla à Moché à Sinaï"?

Les termes : "bémidbar Sinaï" (dans le désert de Sinaï), ont une valeur numérique de : 378, qui est la même que le mot : "béshalom" (en paix).
Le 'Hida ajoute que la plupart des années, nous lisons cette paracha de Bamidbar le Shabbath précédant Shavouot. Cela est un rappel sur l'importance de chercher à augmenter l'unité et la réalisation de mitsvot envers son prochain, afin de pouvoir mériter de recevoir la Torah.

-> "Israël campa là en face de la montagne" (Yitro 19,2)
Rachi de commenter : "le verbe (camper) est au singulier, à la différence des verbes précédents, pour enseigner que la multitude des enfants d'Israël a campé comme un seul homme, animé d'un seul et même désir".

Selon le Or ha'Haïm = "[les juifs] se sont humblement soumis à la parole de D., car les paroles de la Torah ne demeurent que chez ceux qui se jugent aussi peu importants qu'un désert".

=> Un pré-requis pour recevoir la Torah est le shalom.

"Afin que ... vous ne vous égariez pas à la suite de votre cœur et de vos yeux qui vous entraînent à l'infidélité" (Chéla'h Lé'ha 15,39)

Il est écrit dans la guémara (Yérouchalmi - Béra'hot 1,5) :
"Rabbi Lévi a dit : le cœur et les yeux, sont les 2 entremetteurs pour le péché.
D. a dit : si tu me donnes ton cœur et tes yeux, je saurais que tu m'appartiens entièrement."

A première vue, l'ordre des choses est inversé, puisque ce sont d'abord les yeux qui voient et qui incitent le cœur à commettre un péché ; n'aurait-il donc pas fallu écrire : afin que ... vous ne vous égariez pas à la suite de votre cœur et de vos yeux?

Le Alchikh dit que les yeux d'un individu ne lui appartiennent pas toujours, parfois il voit sans intention, par force, non par volonté, et c'est pourquoi l'on ne met pas en garde et l'on ne punit pas la vue en premier lieu.

Que met-on en garde et que punit-on?
Le 2e regard, le voyeurisme, la contemplation de l'impudicité, car c'est alors le cœur qui s'entremet auprès des yeux et les pousse à voir et à regarder.

=> Il se trouve, donc, que le cœur est le 1er incitateur et les yeux, le second, et c'est pourquoi il est dit d'abord : "afin que ... et ne vous égariez pas à la suite de votre cœur", et ensuite seulement "... et de vos yeux".

"Nous sommes prêts à marcher vers le lieu que D. a désigné, car nous avons péché" (Chéla'h Lé'ha 14,40)

Rabbi Moché de Kobrin commente ce verset en se fondant sur le midrach suivant : "Quiconque réside en terre d'Israël, la terre d'Israël expie ses fautes, comme il est dit : Il [D.] réhabilite sa terre et son peuple (Dévarim - Haazinou 32,43)."

Par conséquent, les enfants d'Israël,comprenant leur lourde faute après la mort des explorateurs s'écrient : "Nous sommes prêts à marcher ... car nous avons péché".

=> Montons vers le pays de notre destination, vers Israël, et nous y expierons la terrible faute que nous avons commise envers D., le peuple et le pays.

"Si vous obéissez à Mes décrets ('houkotaï) et observez Mes commandements et les accomplissez" (Bé'houkotaï 26,3)

1°/ Si vous obéissez à Mes décrets ...

La Torah nous enseigne les lois concernant "un fils dévoyé et rebelle" (Dévarim - Ki Tsé 21,18), qui s'il n'écoute pas la voix de ses parents, sera amené devant les anciens de la ville, et ensuite il sera lapidé par tous les hommes de sa ville.

Les conditions à remplir pour que cette peine de mort puisse être appliquée, sont si nombreuses qu'il est pratiquement impossible de les voir réunies.
Au point que, selon nos Sages (guémara Sanhédrin 71a), la peine de mort n'a jamais été appliquée à un fils dévoyé et rebelle, et ne le sera jamais.
Mais alors, pourquoi cela est-il écrit dans la Torah?

Rabbi Yisraël Salanter nous dit que les lois concernant le "fils dévoyé et rebelle" nous donne l'opportunité d'acquérir un mérite spécial : le fait d'étudier la Torah uniquement pour l'étude, car elles n'ont aucune incidence pratique.

Un 'hok est une mitsva dont l'explication n'est pas connue.
=> En disant : "Bé'houkotaï télé'hou", la Torah nous incite à l'étudier de façon désintéressée, uniquement parce telle est la volonté de D.

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+ "Si vous obéissez à Mes décrets" (Im bé'houkotaï télé'hou)

Cette phrase peut également être traduite comme : "Si vous marchez avec Mes décrets".
La Torah doit toujours accompagner un juif.
Où qu'il soit, et quoi qu'il fasse, ses pensées, ses attitudes et ses actions doivent être en accord avec la Torah.

-> Le roi David a dit : "J’ai médité sur mes voies, et ramené mes pas vers tes statuts" (Téhilim 119,59).
Le midrach explique que David voulait signifier : "Maître de l'univers, chaque jour je décide de me rendre à un certain endroit ou maison, cependant mes pieds m’amènent vers les synagogues et les lieux d'étude".

Im bé'houkotaï télé'hou => c'est un appel de la Torah, qui va au-delà d'une recherche active de D., il nous faut orienter notre vie afin d'en arriver à suivre instinctivement le chemin de la Torah.

Rabbi Na'houm Zev de Kelm disait que le succès d'une éducation en yéchiva ne peut se voir qu'une fois qu'on la quitte, et qu'on doit affronter les défis de la vie.
Sur le chemin de ma vie, est-ce que je suis capable de mettre en pratique ce que j'ai étudié?
Est-ce que je suis capable d'avancer main dans la main fièrement avec la Torah ou bien je la laisse au placard quand ça m'arrange?

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2°/ Observez Mes commandements :

+ "Si vous obéissez à Mes décrets et observez (tichmérou) Mes commandements et les accomplissez" (Bé'houkotaï 26,3)

La Torah promet alors des récompenses matérielles pour notre fidélité à la volonté de D.
Cela semble contredire les paroles de nos Sages : "Il n'y a pas de récompense pour une mitsva dans ce monde" (guémara Kiddouchin 39b).
Comment comprendre cette apparente contradiction?

Le Zekan Aharon répond en disant que le terme "tichmérou" (observez Mes commandements), renvoie à la notion : d'attendre (chamar = il a attendu - cf. Rachi Vayéchev 37,11).

Ainsi, même si nos Sages statuent qu'il n'y a pas de récompense pour la réalisation des mitsvot dans ce monde, D. nous paye en retour, dans ce monde et dans le monde à venir, en fonction de l'intensité de notre impatience et de notre recherche d'opportunités de faire des mitsvot.

En effet, notre amour pour D. peut se mesurer selon notre attitude vis-à-vis de ce qu'Il nous demande de faire ou de ne pas faire ...

Plus j'ai envie, plus je suis joyeux à l'idée de faire des mitsvot, ... plus c'est le signe que mon amour envers D. se développe (à l'inverse d'une routine, faire par obligation).

[Dans notre attitude, D. veut le cœur, et non un robot rabbin = la 1ere et la dernière lettre de la Torah forme le mot : lev = coeur.]

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3°/ Les accomplissez ...

+ "Si vous obéissez à Mes décrets et observez Mes commandements et les accomplissez (va'assitèm otam - וַעֲשִׂיתֶם אֹתָם)" (Bé'houkotaï 26,3)

Le mot otam (אתם) sans la lettre vav, peut aussi se lire : atem (vous).

La guémara (Béra'hot 17a) enseigne qu'une personne qui étudie la Torah sans intention de la pratiquer, il aurait mieux valu qu'elle ne soit pas née.

Ainsi, en réalité, par le fait de réaliser les mistvot, un être humain va, se recréer lui-même

[va'assitèm atem = et vous vous ferez/accomplissez => faire une mitsva, c'est justifier son droit à l'existence!]

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-> "Si vous obéissez à Mes décrets ('houkotaï) et observez Mes commandements et les accomplissez"
Hachem nous promet que si nous accomplissons Ses mitsvot ("obéissez ... et observez ..."), alors nous les ferons comme il le faut ("les accomplissez").
Hachem nous garantit que celui qui agit léchem chamayim n'en viendra pas à fauter, même accidentellement.
['Hatam Sofer]

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+ Bonus (partie 1°/):

Au mont Sinaï,les juifs ont déclaré : "Naassé véNichma" (nous ferons, et nous écouterons).
Le Zohar commente : "Nous ferons de bonnes actions et des mitsvot, nous écouterons les paroles de la Torah".

Le Beit haLévi explique qu'en déclarant :
-> "nous ferons", les juifs se sont engagés à accomplir correctement les mitsvot, comprenant le fait d'étudier ce qui touche au comment les réaliser.
-> "nous écouterons", les juifs se sont engagés à étudier la Torah pour elle-même, et non seulement pour une préparation afin d'accomplir les mitsvot.

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-> "Si vous vous conduisez selon mes lois, et vous gardez mes préceptes et les exécutez" (Bé'houkotaï 26,3)

-> Le Ben Ich 'Haï commente :
On peut voir dans ce verset une allusion à ce que le Arizal nous explique que le nom "Elohim" représente les Dinim (les jugements), qui sont les 5 guévourot (forces de rigueur), représentées dans chacune des 5 lettres du nom "Elohim" et chacune composée des 5 lettres.
Ce qui donne au total 5×86 (86 étant la guématria d’Elohim) = 430 guématria de תל.
Pour adoucir ces forces de rigueur qui se dévoilent entre autre à cause de nos fautes, on amène une lumière qui vient du nom Havaya (י-ה-ו-ה) qui a pour valeur כו – 26, principalement cette lumière se dévoile à l’aide des mitsvot.

Ce qui nous donne une nouvelle lecture du début de notre verset :
- im bé'houkotaï (אִם-בְּחֻקֹּתַי) = si, vous faites mes ‘houkim, mes mitsvot
- télé'hou (תֵּלֵכוּ) = alors, les תל deviendront כו, les 430 de la guévoura du nom ‘Elohim’ seront adoucis les 26 du nom Havaya.

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-> "Si vous vous conduisez selon mes lois, et vous gardez mes préceptes et les exécutez"

-> Le Ben Ich 'Haï enseigne :
La brit mila (circoncision) est appelée un ‘Hok, une loi dont on ne saisit pas toute la signification. D’ailleurs, on utilise le mot ‘Hok dans la béracha sur la mila. Et grâce à cette brith mila le nom "Shadaï" d’Hachem s’inscrit dans le corps de l’homme et comme il a une signification de force et de puissance, il l’aide ainsi à affronter le yétser ara.
Il est une 2e mitsva qui est appelé ‘Hok et qui contient en elle également le nom "Shadaï", c’est les téfilin. Dans leur cas, c’est le Shin du boitier de la tête, le Daleth du nœud de derrière la tête et le Youd du nœud du boitier du bras.

On peut alors lire notre verset de la manière suivante : si vous vous conduisez selon mes ‘Houkim, qui sont la mila et les téfilin, alors vous serez assez fort pour garder les préceptes et les exécuter. Car ce sont ces 2 ‘Houkim de la mila et des téfilin, qui grâce au nom Shadaï vous donneront cette force.

"Que Hachem éclaire Sa face pour toi" (Nasso 6,25)

Rabbi Avigdor Miller de commenter :
"Etant donné que D. agit mesure pour mesure (guémara Sotah 8b), D. éclaire Sa face pour ceux qui éclairent/illuminent leur face/visage à leur prochain". (Sing, You Righteous - p291)

Selon le Sforno, la notion de "Que D. éclaire" renvoie au fait : "que D. t'éclaire afin que tu sois capable de percevoir la sagesse infinie de la Torah ... La personne jouit de la quiétude nécessaire pour s'élever au-dessus de ses besoins matériels élémentaires."

Selon Rabbi Na'hman de Breslev : Souris à la vie, et D. te donnera de véritables raisons pour sourire.

Selon le Zohar (II- 184b) : "Lorsqu'une personne offre un visage lumineux ici bas, une présence lumineuse l'éclaire d'en-haut".

-> "Rabbi Matya ben 'Harach dit : Sois le 1er à saluer tout homme" (Pirké Avot 4,15)

-> Selon la guémara (Béra'hot 17a), personne n'a devancé le salut de Rabbi Yochanan ben Zakaï, même un non juif (vendeur) au marché.

-> Les Avot déRabbi Nathan (12,3) rapportent que Aharon, le cohen gadol, utilisait le fait de saluer autrui comme un moyen d'influencer positivement autrui.
Devant l'amour d'Aharon, les personnes en venaient à penser : "Aharon me salut à chaque fois d'une manière amicale (bien que j'ai fauté). Comment oserai-je lui faire face une autre fois si je faute?"
De cette façon, Aharon empêchait les personnes de fauter.

-> Rabbi 'Haïm Mordechaï Katz (roch yéchiva de Telz) insistait souvent sur le fait que par le simple fait de dire : "Bonjour!" à autrui, on a le pouvoir d'illuminer toute la journée d'une personne qui se sent un peu abattue.

=> Combien on devrait se forcer à être joyeux, non seulement pour faire que D. nous donne des raisons réelles de l'être, mais surtout pour être des générateurs, des diffuseurs de joie.

Par le fait de saluer une personne, on lui dit : "tu es quelqu'un de bien, qui compte et qui est important à mes yeux, au point où je m'arrête pour te saluer. Par mon sourire, regarde à quel point cela me fait plaisir de te voir ... "
- La personne qui a reçu le salut va se sentir redevable, et va pour se "décharger" de sa "dette" faire de même avec autrui, enclenchant un effet domino ...
- La personne qui va faire le salut, va par le fait de donner de soi-même (être à l'origine d'un salut nécessite un effort), développer en elle de l'amour, un lien/un attachement avec autrui.

Par ailleurs, en étant aimé d'autrui, on a un pouvoir d'influencer positivement autrui, par le fait d'être un exemple à suivre (à l'image d'Aharon).

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-> Rabbi Yehuda Leib Chasman (Ohr Yohail - vol.2) dit que si on rencontre 2 personnes : une habillée de façon élégante, et une autre habillée pauvrement, et que l'on salut la personne bien habillée avec plus d'enthousiasme que la personne vêtue pauvrement, on est coupable d'un mensonge.
En effet, on ne salut pas la personne, mais ses habits.

-> La guémara (Béra'hot 6b) statue qu'une personne est obligée de répondre au salut d'une autre personne à son égard, et que le fait de ne pas le faire s'assimile à du vol (guézel shalom).

-> Rabbi Yechezkel Sarna (Daliyot Yechezkel - vol2) a dit : " Si on apprécie le fait que l'homme est créé à l'image de D., on considérait comme un privilège de pouvoir saluer ses semblables"

"Il n'existe pas de personne aussi nue que celle qui ne possède pas de Torah et le mérite d'accomplir les mitsvot"

[Tana débé Eliyahou - ch.27]

Le 'Hafets 'Haïm de dire (Ahavat 'Hessed 3,7) :
"Nous sommes obligés d'habiller les êtres humains qui en ont besoin.
A plus forte raison, nous sommes obligés de fournir des habits spirituels à ceux qui en sont dépourvus."

A propos de ceux qui essayent de deviner la date de venue du Machia'h, le 'Hazon Ich a déclaré :
"Celui qui dit, ne sait pas ; celui qui sait, ne dit pas"

[rapporté par Rabbi Asher Bergman ( The 'Hazon Ich Haggada) ]