Aux délices de la Torah

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37°C : une bonne température …

+ 37°C : une bonne température ...

Nous savons que le corps humain ne peut se maintenir parfaitement en vie qu'à 37°C.
Ceci peut s'expliquer de la façon suivante.

37 : est la valeur numérique de : "ével" (l'air, l'oxygène -> הבל).
L'oxygène est ce qui est nécessaire au corps pour vivre.

Or, nous pouvons remarquer que "ével" (הבל), est composé des lettres : "lév" (le cœur - לב) et "hé" (l'un des noms de D. - ה).

=> Ceci signifie que lorsque l'on fait fonctionner son cœur (לב) selon la volonté de D. (ה), c'est-à-dire lorsque l'on associe D. au cœur (ה au לב), on obtient alors : "ével" (הבל) : le souffle, l'oxygène.
==> On obtient la bonne température : 37°C, on obtient la vie!!

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+ Bonus :
On apprend dans les pirké avot que l'essentiel est d'avoir un lév tov : un bon cœur.
Il est intéressant de noter que la limite en dessous de laquelle le corps ne tient pas et meurt, est : 32°C, qui est la valeur numérique du mot : "lév" (לב)

La 1ere est la dernière lettre de la Torah forment le mot : לב.
La Torah est ce qui permet d'être pleinement vivant ...

 

Source (b"h) : dvar Torah issu du "Pardess Ména'hem" du Rav Ména'hem Berros

"Il est écrit : "Est-ce que Ma parole ne ressemble pas au feu, dit D., et au marteau qui fait voler en éclat le rocher." (Yirmiyahou 23,29)

Si l'homme se consacre à l'étude de la Torah, cette dernière sera comme un feu et consumera toutes les souillures qui l'ont envahi ; et bien que le yétser ara soit aussi un feu qui brûle, le feu de l'étude de la Torah lui est supérieur et il est capable de le dévorer.

Si le penchant au mal est dur comme le rocher, la Torah elle, est un marteau qui le brise en mille éclats.

Aussi, ne crains rien, même si tu es plein de souillures, car la Torah brûle tout.

Lorsque l'homme étudie la Torah, elle le protège et le sauve.
D., Lui-même, dans Sa gloire, lutte et Il le défend contre tous les accusateurs."

[Rabbi Yaakov Abi'hessera]

"Le pays que nous avons parcouru au cours de notre exploration est une terre excellente.
Si D. est satisfait de nous et nous conduit dans ce pays, Il peut nous le livrer ... Mais ne vous rebellez pas contre D." (Chéla'h Lé'ha 14,7-9)

Le Rabbi Moché Tsvi de Svern de nous enseigner :
"La terre d'Israël peut aider l'homme à s'élever dans la sainteté et à atteindre un haut niveau seulement lorsque l'homme, mû par un réel désir d'être meilleur, fait des efforts sur lui-même.

S'il se laisse aller, le mauvais penchant, qui est bien plus fort en terre d'Israël qu'ailleurs, peut le faire tomber très bas.

Certes, "la terre est excellente" mais souvenez-vous : "ne vous rebellez pas contre D." "

"[La terre] est-elle bonne ou (im) mauvaise" (Chéla'h Lé'ha 12,19)

-> La terre d'Israël est bonne même si (im) vous voyez qu'elle est mauvaise.
Sa sainteté existe toujours mais elle est cachée.
Sous le "mal" superficiel se cache le "bien.
(Séfer haZé'hout)

-> Le Rabbi Yossef 'Haïm Sonnenfeld rapporte à ce sujet : "Vois le bien de Jérusalem" (Téhilim 128,5), et de commenter : l"homme doit s'efforcer de voir seulement le côté positif de Jérusalem".

"Puisse D. nous préserver du désespoir que pourrait causer le retard du Machia'h.

Il convient de se tenir prêt pour attendre la délivrance comme si l'on attendait quelqu'un qui doit arriver.
Et qui sait, peut-être se tient-il déjà derrière notre mur."

[le 'Hafets 'Haïm]

"On peut me déposséder de tout, sauf du D. qui gît en moi."

[Rabbi Aharon de Karlin]

"La conclusion après tout ce qui a été entendu est que tu dois craindre D. et observer Ses commandements, car c’est tout ce que l’homme est." (Kohélét 12 ;13)

La guémara (Shabbath 30b) interprète ce verset comme signifiant que l’univers en entier a été créé uniquement pour celui qui accomplit la volonté de D.

Il peut paraître présomptueux d’affirmer que l’univers en son entier, avec ses galaxies grandes de milliards d’années-lumière et ses innombrables étoiles, soit entièrement créé pour un minuscule être humain dont la présence physique dans ce vaste univers est plus que négligeable.
C’est pourtant précisément ce qu’enseigne le judaïsme.

Dès lors que l’on accepte l’existence d’un D. infini, toute dimension devient dénuée de sens .
[Dans le rapport à l’infini, il n’existe aucune différence entre un millimicron et un milliard d’années-lumière.]

=> Nous devons apprécier cette importance et nous montrer à la hauteur de nos responsabilités.

(Au regard de l'infinie complexité de ce que D. nous met à notre disposition (corps humain, monde environnant), c'est que l'on peut faire de grandes choses avec.

bé'hém'la raba émounaté'ha = grande est la confiance que D. a en nous => Tâchons de ne pas le décevoir, d'être à la hauteur!)

+ Message de de la Torah sur nos périodes difficiles dans note vie …

-> "Ô mes ennemis, ne vous réjouissez pas à mon sujet, car après ma chute, je me suis relevé, car lorsque j’étais dans les ténèbres, D. a fait briller Sa lumière sur moi. "

[Michlé 7,8]

Le midrach commente ce passage de la manière suivante :
"Si je n’étais pas tombé, je ne me serais pas relevé.
Si je n’avais pas été plongé dans les ténèbres, je n’aurai pas pu voir la lumière. "

La chute incite souvent à l’élévation.
[vaut voir les épreuves dans notre vie comme des tremplins …]

Nous avons tendance à parcourir d’un pas lourd la routine quotidienne sans faire le bilan de notre vie ou l’analyse de nos actes.

=> Une crise vient interrompre cette monotonie, nous obligeant à repartir dans notre vie sur de meilleures bases.

"Les cœurs des parents reviendront [vers D.] à travers les actions de leurs enfants"

(Mala'hi 3,24 -> Déclaration du prophète sur les temps messianiques)

Le rav Galinsky a demandé au 'Hazon Ich : "Pourquoi d'après vous, tant d'enfants, reviennent-ils maintenant à leur judaïcité, abandonnant les habitues de leurs parents non pratiquants?"

Le 'Hazon Ich de répondre :
"La génération qui s'est éloignée de la Torah était issue de parents religieux.
Ces parents ont assisté, impuissants, à la rébellion de leurs enfants.
Ils ont versés des larmes amères dans leur solitude, prié et jeûné, mais il était trop tard pour endiguer le flot.

Mais D. n'oublie jamais les larmes des juifs.
Si ces larmes sincères n'ont pas réussi à sauver leurs propres enfants, elles ont aidé leurs petits-enfants, et parfois leurs arrière-petits-enfants.

Voilà pourquoi ces enfants reviennent à leur judaïcité aujourd'hui parce que D. n'oublie pas les larmes versées par les juifs."

"Je me demande souvent pourquoi les gens trouvent nécessaire de s'enfuir de chez eux pour rendre service?

Le 'hessed commence à la maison!
Il y a tant d'occasions pour un mari, pour une épouse ou même pour des enfants de se rendre chaque jour mutuellement service.

Et cependant, ces mêmes gens qui s’enorgueillissent de leur gentillesse et de leur considération envers autrui à l'extérieur, laissent beaucoup à désirer en ce qui concerne leur comportement une fois les portes refermées."

[Rav Chalom Schwardron - le Maguid de Jérusalem]

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-> Le Arizal nous a révélé que non seulement nous devons accomplir la mitsva de générosité à l’intérieur de la maison, mais que dans le Ciel on regarde surtout cela, et que c’est en fonction de cela qu’on décide si nos actions à l’extérieur visent uniquement à nous glorifier, ou si nous sommes des gens véritablement généreux, parce que c’est ce que nous a ordonné le Créateur.
Si dans le Ciel on voit qu’à l’intérieur de la maison nous sommes également généreux avec notre famille, que nous manifestons notre intérêt à chacun comme il convient, alors c’est que notre intention est véritablement pour le Ciel, et nous recevrons une grande récompense pour cela.
En revanche, si à la maison nous ne sommes pas prêts à lever le petit doigt, alors dans le Ciel on décide que tout ce que nous faisons à l’extérieur provient de notre orgueil, qui nous pousse à vouloir nous sentir bien, ou à désirer qu’on reconnaisse nos actes et qu’on parle de nous respectueusement, alors qu’en réalité nos actes sont loin de la mitsva de générosité.