Chaque fois qu'il m'arrive un malheur, je m'accroche à ma foi. Je sais pertinemment qu'aucune situation n'est le fruit du hasard et que tout est supervisé par Hachem. Je m'efforce alors de prier, pour annuler le décret. Je déconsidère les efforts, car ce ne sont pas eux qui permettent de s'en sortir.
['Hazon Ich - lettre 132]
=> il ressort que pour prier, l'individu doit totalement s'annuler devant Hachem. Celui qui intériorise le fait qu'il ne possède rien et que tout appartient à Hachem a le mérite de voir sa requête agréée.