Il nous est ordonné de ne pas "maudire" la Chékhina, c'est-à-dire de la déshonorer par nos fautes, qui sont pires que des malédictions (Tikouné Zohar 146b).
La Chékhina porte le peuple juif en subvenant à ses besoins. Lorsque nous "maudissons" la Chékhina par nos fautes, nous empêchons le flux de bénédictions célestes que la Chékhina veut nous accorder.
[ rabbi Yaakov Abou'hatséra - Pitou'hé 'Hotam - Michpatim]