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Sim’hat Beit Hachoéva & se réjouir à Souccot

+ Sim'hat Beit Hachoéva & se réjouir à Souccot :

+ La joie d'échapper aux griffes du yétser ara :

-> Il est rapporté que la joie lors de la Sim'hat Beit Hachoéva au Temple était véritablement remarquable. Lors de cette célébration, on sonnait de la trompette et jouait de divers instruments de musique pour accroître la joie.
Le Divré 'Haïm de Sanz écrit que la raison de cette joie est le pardon de nos fautes à Yom Kippour.
Il compare cela à un prisonnier libéré et autorisé à rentrer chez lui. Bien sûr, cela le rend très joyeux.
De même, un fauteur pris au piège du yétser ara et libéré à Yom Kippour devrait être rempli de joie.

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+ Créer de la joie pour toute l'année :

-> Le verset dit : "Et tu te réjouiras pendant la fête" (vésama'hta bé'haguékha - Réé 16,14).
C'est la clé du yomtov de Souccot. Cette fête nous a été donnée par Hachem pour nous apprendre à être joyeux toute l'année.
C'est ce que dit le Gaon de Vilna : "Si l'on est joyeux tout au long des jours de Souccot, on est assuré de l'être toute l'année".
De même, le Abarbanel (Réé 16,15) écrit que les paroles de la Torah "véayita a'h saméa'h" garantissent que celui qui est joyeux à Souccot sera joyeux toute l’année.

-> Le Pélé Yoets écrit que se réjouir à Souccot est un bon signe pour toute l’année.
Il cite le Arizal selon lequel être joyeux pendant toute la durée de Souccot garantit une bonne année, remplie de joie.

-> "vésama'hta bé'haguékha ... véayita akh saméa'h" (Réé 16,14-15)
Le rabbi de Karlin dit : "vésama'hta bé'haguékha = les jours de Yamim tavim (à Souccot), il faut se réjouir. Mais que peut faire une personne qui soupire et gémit "akh akh akh" toute la journée?
La réponse est : Saméa'h. Il faut qu'elle soit si joyeuse que toute tristesse et toute amertume disparaissent en elle. "

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+ Danser à Yomtov est plus noble que la prière :

-> Le Rabbi de Karlin affirme (Beit Aharon - paracha Emor) que danser joyeusement à Yomtov est un niveau encore plus élevée que tout ce que l’on peut atteindre par la prière. En effet, lorsqu’on prie, on ne parle qu’avec la bouche, mais lorsqu’on danse joyeusement, on élève tout son corps.

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