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Danser à Sim’hat Torah

+++ Danser à Sim'hat Torah :

+ Des forces pour toute l’année à venir :

-> Le Rachab de Loubavitch (cité dans Si'hot haRayatz) dit : "Les danses de Sim’hat Torah donnent la force d’étudier la Torah et d’accomplir les mitsvot tout au long de l’année."

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+ Obtenir le pardon de nos fautes :

-> Le rabbi de Munkatcher (séfer Chaar Yissa'har - Tichri - maamar Zman Sim'haténou 16) écrit que lorsque les gens se réjouissent de toutes leurs forces à Sim'hat Torah, sans se soucier du jugement de l'année, Hachem pardonne tous leurs péchés, même s'ils ont été sévèrement jugés, et exauce tous leurs désirs.

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+ Par le mérite de danser, le Guéhinam se refroidit :

-> Le rav de Tchechinov (cité dans Divré Yé'hezkel ha'Hadach) dit : "Dans le guéhinam, les âmes sont torturées et battues, mais si quelqu'un dit avoir dansé à Sim'hat Torah, il n'est pas brûlé aussi gravement."

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+ Bénédictions pour les enfants et la santé :

-> Le Yisma'h Israël vit un jour un homme très joyeux à Sim'hat Torah. Il remarqua que l'homme faisait des choses étranges et quelque peu embarrassantes et dansait de façon extravagante en l'honneur de la Torah, au point de paraître presque fou. Il savait aussi que cet homme n'avait pas d'enfants.
Il lui dit : "Parce que Mikhal, la fille de Shaoul, a critiqué le roi David pour avoir dansé de façon extravagante et s'être fait honte devant l'Aron et en l'honneur de la Torah, elle a été punie en n'ayant pas d'enfants. Puisque tu t'es fait honte pour l'honneur de la Torah, tu auras certainement un enfant."
Et il en fut ainsi. Cette année-là, l'homme eut un garçon.

-> De même, le séfer Atérets Yéchoua (Minhag Rikoudim - ot 14) affirme que, puisque le verset (II Shmouel 6,15) dit que le roi David dansa, frappa des mains et se contorsionna devant l'Aron, et que Mikhal en fut dégoûtée et, par conséquent, n'eut pas d'enfants, on peut comprendre que celui qui danse en l'honneur de la Torah méritera d'avoir des enfants.

Il ajoute que celui qui le fait méritera également une bonne santé, car les mots "hakafa" et "banim" ont la même guématria que le mot "réfua" (santé).

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+ On peut accomplir plus en dansant qu'à Roch Hachana et Yom Kippour :

-> "Lorsqu'un juif lève le pied pour danser à Sim'hat Torah, il peut rectifier plus que tous les tikounim qu'on peut faire depuis Roch Hachana jusqu'à Sim'hat Torah."
[Kédouchat Yomtov de Sighet - rapporté dans le Kountres kaTamar Yifra'h]

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+ Danser à Yomtov est plus noble que la prière :

-> Le Rabbi de Karlin affirme (Beit Aharon - paracha Emor) que danser joyeusement à Yomtov est un niveau encore plus élevée que tout ce que l’on peut atteindre par la prière. En effet, lorsqu’on prie, on ne parle qu’avec la bouche, mais lorsqu’on danse joyeusement, on élève tout son corps.

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+ Payer Hachem par nos danses :

-> Le séfer Agra déTsvi (Hagahot sur Agra déPirka - remez 347 170 - ot 2), citant le rav Its'hak de Kaliv enseigne que pendant les Yamim Noraïm, nous demandons à Hachem, pendant Yomim Noraïm, la parnassa (subsitance), la satisfaction (na'hat) et toutes les bonnes choses.
Nous avons confiance qu’Hachem ​​nous entendra et nous donnera ce dont nous avons besoin.
Lorsque Sim'hat Torah arrive, nous n’avons aucun moyen de Le remercier (et de Lui témoigner concrètement notre confiance dans le fait qu'Il a entendu et accepté nos requêtes).
C’est pourquoi nous dansons pour Lui, ce qui nous envahit de pensées de téchouva et du désir d’accomplir des mitsvot et de bonnes actions. C’est ainsi que nous Le remercions.

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