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+ "Que le mari aime sa femme comme lui-même, et qu'il l'honore plus que lui-même."
[guémara Yébamot 62b]

En effet :
- à priori, chaque individu s'aime lui-même plus que tout au monde ; c'est pourquoi on enjoint au mari d'aimer sa femme autant que lui-même.

- Par ailleurs, il doit la respecter "plus que lui-même".
En effet, certains hommes ont une image d'eux-mêmes très négative, ils peuvent même éprouver un certain mépris pour eux-mêmes.
Mais pour autant, ces jugements ne les dispensent pas de l'obligation d'honorer leur femme.

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-> "Tout homme qui n'a pas d'épouse vit sans joie, sans bénédiction et sans bonheur"
[guémara Yébamot 62b]

"Plus l'étude de la Torah est répandue, plus on s'évite des temps difficiles, et plus on annule les accusations portées contre Israël."

[le 'Hafets 'Haïm - dans son livre : "chem Olam I" - chapitre 22]

Seule la Torah élève l’homme …

+ Seule la Torah élève l'homme ...

Le Rav Chakh (1898-2001) s'adressant à un groupe d'étudiant en yéchiva a dit :
"Quand j'avais votre âge, il n'y avait pas d'eau courante dans les maisons ; pas d'avions, pas de technologie, ...
C'est une véritable révolution que nous vivons auourd'hui ...
En un siècle, il s'est passé plus de choses qu'en 2 000 ans!!

Pourtant, tous les savants qui sont à l'origine de cette révolution et qui ont mis toute leur énergie à découvrir de nouvelles technologies, n'avaient qu'une préoccupation : profiter des plaisirs de la vie.
Ils ne se conduisent pas comme des êtres humains ...

Seules la Torah et son étude élèvent l'homme ..."

[rav Elazar Menahem Chakh - 1898-2001]

+ Lorsque le 'Hazon Ich apprenait des mauvaises nouvelles ou faisait face à une situation difficile, il affirmait souvent :
"Nou, Hachem doit avoir très envie que nous priions!"

 

 

"L'effet de l'habitude étouffe chez l'homme toute capacité d'émerveillement."

[Le 'Hazon Ich - dans son Emouna et Bita'hon]

+ "Comme dans l'eau, le visage reflète le visage, ainsi le coeur de l'homme reflète le coeur de son prochain." (Michlé 27,19)

La guémara Yébamot (117a) donne de très belles explications de ce verset :

1°/ = tout sentiment éprouvé envers une personne est ressenti réciproquement par cette dernière.

D'ailleurs, c'est à partir de ce verset que la guémara explique la position des Sages, selon lesquels une belle-fille méprise sa belle-mère précisement parce que cette dernière n'en pense pas moins qu'elle ...

2°/ = Rabbi Yéhouda dit que : "ce verset a trait à l'étude de la Torah".

Rashi explique cela : "En fonction de l'intérêt que tu manifesteras à la Torah, ton coeur s'ouvrira pour comprendre cette étude."

Etre libre …

+ "Et ces Tables étaient l'ouvrage de D. ; et ces caractères, gravés ('harout) sur les Tables." (Chémot 32,16)

Ne lis pas : 'harout (gravés), mais : 'hérout (liberté).

Etudier/vivre selon la Torah, c'est la seule façon de ne pas ête prisonnier de ses désirs animal, de la société (la mode, les "on dit", ...), c'est la seule façon d'être libre.

"Nous ferons et nous comprendons" = le plus grand message de liberté!!!

 

"Dans ce monde ci, nous souffrons parce que nous sommes juifs ; dans l'autre monde, nous souffrirons pour ne l'avoir pas été. "

(proverbe judéo-espagnol)

Nous le ferons !!

---> Sur le verset : « Le peuple entier répondit d'une voix unanime : "Tout ce qu'a dit D., nous le ferons!" (Chémot 19 ;8), le ‘Hidouché haRim pose la question suivante.
Normalement, chaque juif aurait dû répondre de façon individuelle : « é’éssé » (Je ferai).
Pourquoi alors, ont-ils tous répondu au pluriel, en disant : « naassé » (nous ferons) ?

== lorsque les juifs ont entendu parler de la Torah, et qu’ils ont réalisé sa beauté et son importance, chaque individu a pris sur lui le fait d’observer la Torah, et ainsi que la responsabilité de veiller à ce que chaque autre juif allait en faire de même.

Le ‘Hidouché haRim dit que cette explication de l’emploi du pluriel ("nous ferons"), peut être une source supplémentaire à l’affirmation : « chaque juif est garant de son prochain » (kol Israël arévim zé lazé – guémara Shavouot 39a).

Il est intéressant de noter que lorsque 2 juifs se rencontrent, la 1ere chose qu’ils vont se dire, c’est : « comment ça va ? » ; « quoi de neuf ? » ; …

Comme chaque juif est responsable l’un de l’autre, il est naturellement enclin à prendre des nouvelles d’autrui, et à s’assurer discrètement, qu’il agit comme un bon juif, en accord avec la volonté de D.

Source (b"h) : traduction d'un dvar Torah du Rabbi Moshe Bogomilsky

"Celui qui apprend la Torah sans la pratiquer ne reçoit aucun salaire pour son étude, car on doit étudier en vue d'accomplir les mitsvot."

[guémara Yébamot 109b]