-> "Hachem nous a donné la Torah avec une abondance de mitsvot.
Nous pouvons nous en servir à volonté.
Même la mitsva la plus infime a plus de valeur que tous les trésors matériels de ce monde.
Cette existence, foisonnant de joyeuses opportunités, doit nous satisfaire au point de nous combler entièrement."[le 'Hafets 'Haïm - Chem Olam]
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-> "Si un homme connaissait la grandeur de la récompense pour une seule bonne action, il chercherait frénétiquement, jour et nuit, à accomplir ne serait-ce que la plus infime des mitsvot."
[le Béer Mayim 'Haïm]
Hachem a multiplié les occasions de faire des mitsvot, par amour à notre égard (et non pas comme punition), comme autant d'opportunités d'acquérir d'infinies richesses.
Quelle joie, quelle fierté d'être juif, et de pouvoir faire des actions aux conséquences si élevées!
Catégorie : y- Divers
"Tu sauras avec ton cœur que comme un homme punit son fils, ainsi Hachem ton D. te punit" (Ekev 8,5)
Il existe 2 types de punition : la 1ere vient pour faire souffrir et faire du mal au méchant, et la 2e sert à corriger pour améliorer.
Quand Hachem punit un racha pour le faire souffrir, il utilise pour cela des êtres "malfaisants" que l’on appelle des "Mazikim".
Mais quand c'est pour corriger et améliorer, alors Il s’en occupe Lui-Même, avec amour, comme un père corrige son fils.
[le 'Hatam Sofer]
Tsadik et racha sont récompensés dans le monde qu’ils jugent comme principal
+ Tsadik et racha sont récompensés dans le monde qu'ils jugent comme principal :
"Le Rocher, Son oeuvre est parfaite, car toute Ses voies sont justice ; D. de fidélité et sans iniquité, Il est juste et droit" (Haazinou 32,4)
-> Rachi commente : "Hachem récompense les justes dans le monde à Venir. Bien qu'Il retarde leur récompense, Il finira par accomplir Sa parole ; [inversement], Hachem récompense les réchaïm pour toutes les bonnes actions qu'ils accomplissent dans ce monde".
-> Le Maharal (Gour Aryé) explique :
Il est normal qu'Hachem récompense les justes dans le monde à Venir et les fauteurs dans ce monde-ci, car Hachem récompense une personne dans le monde qu'elle considère comme principal.
Les actes d'une personne révèlent ce qu'elle considère comme étant le monde principal.
Ceux qui s'engagent dans des activités spirituelles et négligent leurs besoins matériels considèrent manifestement le monde à Venir comme principal/primordial. Ils n'utilisent ce monde que pour accumuler des mérites en vue du prochain monde.
En revanche, ceux qui ne sont jamais satisfaits de leur situation matérielle dans ce monde et qui ne reculent devant rien pour l'améliorer considèrent manifestement ce monde comme leur monde principal.
Les tsadikim comme les fauteurs méritent d'être récompensés dans le monde qu'ils considère comme principal.
Une autre raison pour laquelle les tsadikim ne sont pas récompensés dans ce monde est qu'un travailleur n'est payé que lorsque son travail est terminé, comme l'enseignent nos Sages (Baba Métsia 65a) : "les salaires ne sont payés qu'à la fin".
Les tsadikim (justes) passent leur vie dans une quête sans fin pour servir Hachem, et leur travail ne s'achève qu'à leur mort. Ainsi, un tsadik n'est récompensé que par le "fruit" de son travail dans ce monde, mais la récompense principale l'attend dans le monde à Venir, une fois son travail achevé.
En revanche, une personne fauteuse passe sa vie à rechercher sans cesse des plaisirs matériels. Lorsqu'elle accomplit une mitsva, elle marque une pause dans ses activités généralement vides de sens.
Pour un fauteur, chaque mitsva est une entité distincte et séparée et ne fait pas partie de la mission de toute une vie. Ainsi, sa récompense est due à la réalisation de chaque mitsva individuelle pendant qu'il est encore dans ce monde.
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=> Un juste est récompensé dans le monde à Venir parce que c'est son monde qu'il considère comme essentiel/principal.
Un fauteur est également récompensé dans son monde principal, ce monde-ci.
De plus, une personne juste (tsadik) est constamment engagée dans des mitsvot, et elle n'achève son travail spirituel qu'à son entrée dans le monde à Venir (où elle recevra son salaire).
Cependant, une mitsva est un acte distinct pour un pécheur et son paiement est dû immédiatement après chaque mitsva.
Une pluie de mitsvot
+++ Une pluie de mitsvot :
"Je donnerai la pluie en son temps" (Bé'houkotaï 26,4)
-> Le contexte du verset implique qu'il fait référence à la récompense pour l'observance des mitsvot, mais cela est difficile à comprendre. En effet, nos Sages (guémara Kidouchin 39b) n'enseignent-ils pas que dans ce monde, il n'y a pas de récompense pour une mitsva?
Nous pouvons répondre en nous basant sur ce qui est dit dans les Pirké Avot (4,2) : "La récompense d'une mitsva est une autre mitsva".
Cela signifie que, puisqu'il ne peut y avoir de véritable récompense pour la réalisation d'une mitsva dans ce monde, sa seule récompense peut être la possibilité d'accomplir une autre mitsva ; cette mitsva en entraîne une autre dans son sillage.
Telle est donc la signification sous-jacente de la promesse "Je vous donnerai la pluie en son temps". La pluie apporte des bénédictions au monde et le rend plus prospère sur le plan matériel, ce qui permet à chacun de faire la charité. Le verset exprime ainsi le principe selon lequel la récompense d'une mitsva est une autre mitsva, car une mitsva entraîne une autre mitsva dans son sillage.
[rabbi Lévi Its'hak de Berditchev - Kédouchat Lévi - Bé'houkotaï 26,4 ]
=> Ce monde matériel intrinsèquement limité est incapable d'offrir une quelconque récompense pour l'accomplissement d'une mitsva, dont la valeur est véritablement illimitée.
La seule véritable récompense réside dans le fait que d'abondantes bénédictions matérielles nous permettent de transformer cette nouvelle abondance en mitsvot supplémentaires.
Avoir la crainte de limiter la miséricorde d’Hachem à notre égard
+ Avoir la crainte de limiter la miséricorde d'Hachem à notre égard :
-> La principale forme de crainte de D. est la crainte de Sa grandeur, parce qu'Il est le Maître et le Tout-Puissant, la racine et la source de tous les mondes, devant qui tous sont considérés comme rien (Zohar 1,11b).
Lorsqu'une personne atteint ce niveau, elle est désignée comme un "fils bien-aimé" de l'Omniprésent (ben aouv laMakom).
Or, un fils précieux qui est aimé d'un amour grand et éternel par son Père céleste a extrêmement peur de désobéir à la volonté de son Père, car il ne veut pas que son Père très aimé soit affligé, à D. ne plaise.
Toute l'aspiration du fils est de satisfaire son Père céleste, comme le disent nos Sages (Zohar 3,7b) : "Le peuple juif soutient son Père céleste" par l'étude de la Torah, la prière, les actes d'amour bienveillant et l'observance des mitsvot.
Mais si, à D. ne plaise, l'inverse est vrai, alors nos Sages disent : "[lorsqu'un homme souffre parce qu'elle a fauté,] la Chékhina gémit [de douleur] : "Ma tête est lourde, [Mon bras est lourd]" ('Haguiga 15b ; Sanhédrin 46a).
Cela indique que D. souffre, pour ainsi dire, lorsque l'homme ne se conforme pas à Sa volonté.
Les tsadikim ont toujours la crainte de faire souffrir leur Père du Ciel, à D. ne plaise, et n'entendent au contraire que Lui donner satisfaction.
Ainsi, ce type de crainte est en fait une crainte du trait de compassion de D., contrairement à la crainte de ceux qui ont peur/crainte du trait de jugement/rigueur (punitions) de D.
Un tsadik a la crainte du trait de compassion de D., c'est-à-dire de ne pas causer de douleur à Son attribut de miséricorde. En effet, la raison principale pour laquelle le monde a été créé par D. est afin d'en faire bénéficier les êtres créés.
En outre, "plus que le veau ne veut téter, la vache veut donner du lait" (Pessa'him 112a).
L'intention principale de D. est d'accorder au peuple juif Sa bonté et Son abondance de bienfaits. Si, à D. ne plaise, ils n'accomplissent pas la volonté divine, la Chékhina prononce l'expression "Ma tête est lourde" (kalani mérochi).
Il s'avère donc que la principale crainte du tsadik est de ne pas faire souffrir l'attribut de miséricorde d'Hachem, mais au contraire de permettre à Hachem d'accorder la bonté, la compassion, la vie et la paix au peuple juif. C'est en effet ce qui procure à D. son principal plaisir.
[rabbi Lévi Its'hak de Berditchev - Kédouchat Lévi - Kédochim 19,32]
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=> Le désir le plus passionné de D., pour ainsi dire, est de nous fournir une abondance de bien et de compassion.
Lorsque nous aspirons à servir D. uniquement pour qu'Il puisse exprimer ce désir, et que nous faisons tout notre possible pour l'empêcher d'être peiné de devoir retenir Son attribut de compassion, nous atteignons le degré ultime de Le servir avec un amour et une crainte véritables.
"Ce n'est pas la vérité qui est dure à accepter, c'est le mensonge qui est dur à lâcher"
[le Sabba de Kelm]
La fierté de pouvoir servir Hachem
-> "Nous devons toujours nous rappeler que nous [les juifs] sommes les enfants du grand et magnifique Roi [Hachem], et qu'il n'est pas correct d'agir comme une personne ordinaire.
Il est bon d'en ressentir de la fierté ...
C'est en dessous de nous d'agir comme les autres nations du monde. Nous devons plutôt nous conduire avec dignité, en accord avec notre ascendance généalogique (nous avons des ancêtres tels que Avraham, Its'hak, Yaakov, ...) [les êtres de loin les plus exceptionnels de l'histoire!]
Ce type d'orgueil [d'être juif] est permis, et même agréable à Hachem ...
Si on pouvait avoir à l'esprit la grandeur du peuple juif, qui est plus élevé que les anges les plus importants, on ne serait alors jamais présent dans les choses vides de ce monde, ni ne suivrait les bas désirs.
En effet, on serait alors honteux de soi-même, et on dirait : "Tous les anges sont aimés et purs, cependant je suis plus important qu'un ange! Comment puis-je agir d'une façon si méprisable?"
[Rabbi Yonathan Eybeschütz - Yaarot Dévach 1,15]
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-> "La plus grande tromperie du yétser ara est lorsqu'il nous fait oublier que nous sommes les enfants du Roi [Hachem]"
[Rabbi Chlomo de Karlin]
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-> "Selon le Baal Chem Tov, être trop humble peut être un obstacle dans notre service de D., car alors on peut ne plus croire que notre prière et notre étude de la Torah peuvent engendrer un flux de bénédictions dans tous les mondes, et que même les anges sont nourris par cela.
Car si on a conscience de cela, on se doit de servir Hachem avec beaucoup de joie et de crainte.
[...]
Hachem attend de pouvoir embrasser les lèvres d'une personne au moment où elle dira des mots de Torah et de prière avec crainte et amour. "
[le Toldot Yaakov Yossef - un des 1ers élèves du Baal Chem Tov - paracha Ekev ]
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-> "Son coeur est devenu fier dans les voies de Hachem" (Divré haYamim II 17,6).
Si l'on pense que nous et nos mitsvot n'ont pas d'importance, on ne fait alors pas attention à les accomplir de la meilleure des façons possible, et notre cœur ne sera pas en elles.
Ayant tellement peu de valeur à nos yeux, parfois, on ne les fera même pas [ou en les bâclant].
Mais si on prend conscience que nos mitsvot donnent à Hachem un immense plaisir et une énorme satisfaction, et que chacun de nos mitsvot et prière montent et se positionnent comme des couronnes sur la "tête" de Hachem, et que tous les mondes supérieurs reçoivent : des bénédictions, de la lumière, de la compassion et de la vie grâce à nos mitsvot, on serait alors inspiré par une grande ferveur, comme voulant courir après chacune des mitsvot.
On les réaliserait avec un enthousiasme permanent, comme un lion rugissant.
On rechercherait les opportunités d'accomplir les commandements de D., et de les faire d'un cœur entier, de toute notre âme, de tous nos membres, et de toute notre force.
Et on fera attention de faire les mitsvot de la meilleure et plus belle des manières. "
[le Béer Mayim 'Haïm - Ki Tissa]
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-> Selon le Kouzari, les différentes catégories de ce monde sont : les minéraux, les végétaux, les animaux, les hommes et puis les juifs.
Dans l'ordre énoncé, chaque catégorie reçoit davantage de capacités de Hachem que celle qui l'a précède.
Un juif peut être supérieur à toute autre créature (même les anges), il peut même devenir quasiment divin, au point où Hachem, Lui-même, a dû préciser que nous ne pourrions pas totalement l’égaler (cf. Kédochim v.19,2).
Ayant de plus grandes capacités, si nous en faisons une mauvaise utilisation, nous pouvons être les pires.
Le yétser ara utilise son arme favorite : toi juif, tu es pareil que tes voisins non-juifs.
Il nous vole alors toute notre valeur exceptionnelle : non, un juif n'a rien à voir avec un non-juif!
Nous ne pouvons pas vivre et penser exactement comme eux!
En effet, nous faisons partie de la catégorie supérieure de ce monde (cf.Kouzari), nous avons des capacités et une responsabilité que les non-juifs sont très loin d'avoir.
Nous avons une âme qui provient de l'intériorité de Hachem, tandis que chez les non-juifs elle provient de Son extériorité.
En apparence, d'une vision purement extérieure, nous sommes identiques aux non-juifs, mais à l'intérieur ce n'est pas le cas.
Nous avons une capacité énorme d'impacter, de changer le monde.
Par exemple, lorsqu'un non-juif tue le temps, ce n'est pas grave, mais lorsqu'un juif fait de même, nos Sages parlent d'un "suicide personnel" (tu as tué du temps, du potentiel unique de vie), faute d'une gravité venant juste après le fait de tuer concrètement une personne.
Même action, mais conséquences très différentes!
Un non-juif peut avoir une attitude neutre, mais chez un juif ce n'est pas possible.
Comme le dit le Ram'hal, soit nous agissons selon la Torah et nous nous élevons ainsi que tout le monde avec nous ; soit ce n'est pas le cas, et alors nous descendons et nous entraînons le monde entier avec nous dans cette chute.
Par notre Torah, nos mitsvot, nous permettons à ce monde d'exister, nous avons le pouvoir de tout changer positivement en déversant des pluies de bénédictions, ...
Soyons fier d'être juif!
Soyons fier d'avoir une ascendance généalogique si belle, d'avoir une énorme proximité avec papa Hachem!
Soyons fier d'être dans la Vérité!
Soyons fier et responsable de notre haut rang dans la hiérarchie de ce monde, sachant que chacune de nos actions a un impact phénoménal!
...
Quelle joie cela doit nous procurer, et quelle gratitude nous devons avoir à Hachem pour ce plus beau des cadeaux : faire partie du peuple juif !!!
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[cf. la clôture de toutes nos prières journalières : le Alénou, où l'on dit par exemple : chélo assanou kégoyé aaratsot - Qui ne nous a pas fait comme les autres nations => Nous ne sommes pas pareils, même si les apparences sont trompeuses!
De plus, eux ils investissent dans du vide, tandis que nous, nous misons sur le Roi du monde : Hachem. Quelle joie! Quelle fierté! ]
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-> "Pourquoi Hachem dit a-t-Il créé les nations non-juives qui sont si impudentes dans leur péché?
De même qu'Il a créé l'obscurité pour faire apprécier la lumière, D. créa les non-juifs pour démontrer la plus grande vertu du peuple juif."
[rabbi Pin'has de Korets - Imré Pn'has (Inyanim Chonim 120)]
La joie dans le fait de servir Hachem
"Le vrai bonheur c'est lorsque le cœur d'une personnes se réjouit de sa chance de pouvoir servir Hachem, dont rien ne Lui est comparable."
[Ram'hal - Messilat Yécharim chap.19]
-> "Vous devez avoir conscience que Hachem tire de la gloire même du plus simple des juifs, même des fauteurs.
Toute personne juive apporte à D. une splendeur unique comme nulle autre ne peut le faire.
Il en découle que l'on ne doit pas désespérer de devenir proche de D.
Et Même si l'on a causé un grand dégât [par nos fautes], que D. nous en préserve, l'amour de Hachem envers nous ne cesse pas."
[Rabbi Alter Tepliker - Meshivat Néfech 4]
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-> "Une personne devrait chanter et se réjouir, même de nombreuses fois par jour, en disant les mots : "Béni sois-Tu Hachem, qui nous a créé pour Sa gloire, et qui nous a séparé de ceux qui se trompent [les autres nations], et qui nous a donné la Torah de Vérité".
Et également en récitant les mots du Alénou : "Il nous revient de louer le Seigneur de tout ... qui ne nous a pas fait comme les nations du monde ".
On doit en être extrêmement heureux, comme quelqu'un qui a été sauvé d'une mort certaine et qui est désigné pour être le roi."
[Pélé Yoets - Sim'ha]
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-> "Cela vaut la peine pour Hachem d'avoir créé l'univers entier, ainsi que tous les mondes spirituels et de les maintenir pendant 6 000 ans, pour qu'un seul juif déclare : "Béni sois-Tu et béni soit Ton Nom!" (barou'h ou, barou'h chémo).
Un seul "Amen" récité par un juif vaut 1000 fois plus que cela.
Le fait de dire : "Amen yéhé chémé rabba ..." est encore 1000 plus important [que dire un Amen!].
Et un seul mot de Torah qu'une personne étudie est encore 1000 fois plus grand [que répondre un "Amen yéhé ..."].
Ainsi, nous ne pouvons pas imaginer l'énorme fierté que D. a lorsque nous accomplissons Ses mitsvot et étudions Sa Torah.
Nous devrions danser de joie uniquement en pensant à cela!
Nous devrions réciter les bénédictions : "Qui ne m'a pas fait non-juif" et "qui nous a choisi parmi les nations" avec un joie immense. "
[Rabbi Sim'ha Zisel - le Saba de Kelm]
La joie dans l’accomplissement des mitsvot
"Si une personne pouvait ressentir juste un faible pourcentage de la douceur et de l'agréabilité de la bordure la plus externe de la lumière Céleste, elle mépriserait même l'opportunité de devenir le plus grand roi du monde, [car cela n'est rien] en comparaison de l'accomplissement d'une seule mitsva"
[Ohr ha'Haïm haKadoch - Bé'houkotaï 26,14]
-> "Dans ce monde, il est possible à une personne de devenir comme un ange et de profiter de la lumière de la sainteté.
C'est alors, que tous les plaisirs de ce monde ne valent plus rien en comparaison au pur plaisir de s'accrocher à Son Créateur."
['Hazon Ich - Emouna ouBita'hon 1,19]
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-> "Une personne dont son âme a goûté à même une seule goutte de la douceur de la Torah et de l'accomplissement des mitsvot avec amour, sait qu'il n'y a pas de fin au plaisir de cette douceur.
Comme dit le verset : "Ses voies sont des voies pleines de délices" (Michlé 3,17). "
[Béer Mayim 'Haïm - Chémini]
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-> "Chaque mitsva que tu as la chance de faire est un cadeau de Hachem."
[Séfer 'Harédim - Hakdama léMitsvot]
"Autant la poursuite des honneurs pour soi-même est détestable, autant la recherche des honneurs de son prochain est une obligation dont nous devons nous soucier sous toutes ses formes et au mieux de nos possibilités"
[Rabbi 'Haïm Chmoulévitch]
-> "Tout cœur hautain est en horreur à Hachem" (michlé 16,5)
"L'homme orgueilleux est livré à son cœur, car du fait que Hachem le tient en horreur, il ne bénéficie d'aucune aide divine."
[Rabbénou Yona]
-> "L'humilité est plus grand que tout" [guémara Avoda zara 20b]
-> L'arrogance est le pire des traits de caractère. [guémara Sotah 5a]
-> "L'orgueil de l'homme amène son abaissement, la modestie est une source d'honneur" (michlé 29,23)