+ L'importance du prénom :
Le mot hébreu pour dire "un nom" est : שם (shém).
On remarque que ces 2 lettres (le shin ש et le mèm מ) se retrouve au centre du mot : "une âme" (נשמה - néshama).
=> L'âme/l'essence de chaque personne est contenue dans son nom.
D'ailleurs, une tradition mystique dit qu'après la mort, on demande à chaque personne son nom.
En effet, le nom d'une personne renvoyant à sa mission sur terre, on lui demande ainsi si elle a vécu en accord avec les idéaux et les potentialités qui lui ont été donnés à sa naissance.
Il est écrit (Shmouel I 25;25) : "ki kishémo ben ou" (car il ressemble à son nom).
Selon nos Sages, le choix du nom d'un enfant est un des tous derniers pouvoirs de prophétie qu'il reste à notre génération.
Le choix se fait par inspiration divine, les parents sont alors des prophètes.
Il est évident que cela ne remet pas en cause le libre arbitre que tout individu a au cours de sa vie.
[exemple : Abraham et Yaakov ont changé de nom ; lorsqu'une personne est gravement malade on change en dernier recours son nom, en rajoutant par exemple : 'haïm -> Un nouveau nom est une nouvelle personne ...]
Source (b"h) : compilation personnelle issu du livre : "Your Name Is Your Blessing: Hebrew Names and Their Mystical Meanings" du Rabbi Benjamin Blech
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-> Chaque parent reçoit l'inspiration Divine lorsqu'il nomme son enfant.
[Arizal - Séfer haGuilgoulim - Introduction, 23]
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-> "On doit toujours être très attentif au nom qu'on donne à ses enfants, car parfois le nom peut avoir une bonne ou une mauvaise influence, comme nous le trouvons chez les explorateurs."
[midrach Tan'houma - Haazinou 7]
-> "Le nom a une influence, et les combinaisons de ses lettres peuvent avoir une influence active, que ce soit pour le bien ou le mal."
[Zohar]
-> "Même si un racha porte le nom d'un tsadik, ce nom n'est pas pour rien, car il a une bonne tendance à laquelle ce nom fait allusion.
Par exemple : celui qui s'appelle Avraham a une tendance à la générosité, et celui qui s'appelle Yossef sera fort pour surmonter les épreuves des sens, ou bien il fournira de la nourriture aux autres ..."
[rabbi Yossef Caro]
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-> Le changement du nom peut être utile uniquement si le décret contre la personne vient de son destin naturel, mais s'il est dû à ses fautes, seule la téchouva peut quelque chose pour lui.
[Maharcha]
En effet, nos Sages (guémara Roch Hachan 16b) affirment : "4 choses peuvent déchirer le décret pris contre quelqu'un : la tsédaka, le cri, le changement du nom et le changement des actes".
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-> D'où savons-nous que le nom favorise la survenue d'événements futurs?
Rabbi Éléazar a dit : car il est écrit : "Venez, contemplez les œuvres de D. qui ont provoqué des ruines sur la terre" (Téhilim 46,9). Ne lis pas le mot "chamot" (ruines - שַׁמּוֹת) mais plutôt "chémot" (les noms - שמות).
[guémara Béra'hot 7b]
-> Il est également rapporté dans le midrach (Yalkout Chimoni Yéchayahou 247) : "Si les générations avaient été méritantes, Hachem aurait Lui-même attribué un nom à chacun et on aurait pu connaître la nature les actes de chacun."
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-> Le 'Hazon Ich conseillait de ne pas donner aux enfants même le nom des grands-parents décédés quand il s'agissait d'un nom bizarre ou inhabituel dont l'enfant risquait d'avoir honte quand il grandirait.
Non seulement avoir honte est négatif en soi, mais le fait que l'enfant soit un objet de dérision pour ses amis, qui risque également de créer des problèmes mentaux qui empêcheront un développement spirituel normal.
Vouloir honorer un grand-père ou une grand-mère ne justifie pas qu'on sacrifie la santé mentale et sociale de l'enfant.
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-> Les actions d'Hachem seront en conformité avec le nom de l'homme, car le nom exerce une influence.
[rabbi Na'hman de Breslev - Séfer haMidot - Enfants]
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-> Les lettres du nom par lequel une personne est appelée sont sa force vitale, et c'est ainsi qu'elle s'appelle également au Ciel.
Avec la force vitale et la sainteté des lettres de son nom, elle est capable de servir Hachem tous les jours, si elle choisit de faire le bien.
[Méor Enayim - Vayakel]
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-> b'h, voir aussi selon le Ben Ich 'Haï : https://todahm.com/2023/04/13/39029
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+ Lien entre le nom d'une personne et ses actes :
-> "Venez contempler les œuvres de Hachem qui opère des ruines (la désolation) sur la terre (des nations)" (Téhilim 46,9).
D'après rabbi Eliézer, ne lis pas : "ruines" (chamot - שמות), mais lis "chémot" (noms - שמות), ce qui permet de traduire ce verset ainsi : "Venez observez les œuvres de Hachem qui conduira l'homme dans le futur vers des actions en rapport avec son prénom".
[le nom porté par une personne est ainsi en rapport avec ses actes futurs]
[d'après la guémara Béra'hot 7b]
-> Dans cette même guémara, rabbi Yo'hanan, enseigne que Ruth (רות) porte ce nom, parce qu'elle aura le mérite d'être l'ascendante du roi David qui a abreuvé abondamment (à satiété = révaya - רויה) Hachem de chants et de louanges (dans son Séfer Téhilim).
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-> Yaakov l'interrogea : "Dis moi quel est ton nom, je te prie". Il (l'ange) répondit : "Pourquoi demandes-tu mon nom?" (Vayichla'h 32,30)
Le rabbi 'Haïm Chmoulévitch (Si’hot Moussar - si'ha 91) commente :
Le nom attribué à une entité nous éclaire sur la nature, les propriétés et les qualités de cette entité.
C'est pourquoi Yaakov a désiré connaître le nom de cet ange, donc du yétser ara, qui traduit sa nature profonde, son pouvoir et sa conduite, afin de mieux gérer le yétser ara à l'avenir.
... le yétser ara répond à Yaakov dans le verset cité : contrairement à toute créature, je ne peux être défini par un nom, car je n'ai aucune réalité et je ne suis qu'illusion et imagination.
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-> Une grande signification relative à l'avenir de l'enfant est représentée par le nom que ses parents ont décidé de lui donner ...
Des parents qui nomment leur enfant selon un être impropre et impur, qu'ils ne s'étonnent pas qu'en grandissant leur fils se comporte comme un animal ...
Le nom a un impact majeur sur l'avenir de l'enfant, il faut le choisir avec soin, car il reflète nos aspirations sur son éducation futur et le chemin qu'il va emprunter.
[rabbi Nissim Yaguen - Nétivé Or]
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-> Dans la guémara (Sotah 34b), selon rabbi Its'hak, les noms des explorateurs qui ont fait à leur retour une description négative de la terre d'Israël, ont un rapport avec leurs actes et leur manque de confiance en Hachem.
C'est ainsi, que "Sétour fils de Mikhal", chef de la tribu d'Acher, s'appelait ainsi parce qu'il a réfuté et dérangé (satar) l'oeuvre de Hachem et parce qu'il a ainsi "affaibli" Hachem (makh El).
De même, d'après rabbi Yo'hanan, Na'hbi fils de Vofi, chef de la tribu de Naftali, prote ce nom parce qu'il a caché les paroles de Hachem (il ne les a pas dites telles qu'elles étaient) et il a piétiné (pissa) les dessins de Hachem.
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-> La guémara (Yoma 83b) rapporte que rabbi Méïr, rabbi Yéhouda et rabbi Yossi voyageaient ensemble, et qu'arrivés à une auberge, ils demandèrent à l'hôte : "Quel est ton nom?"
L'hôte répondit : "Mon nom est : Kidor".
Rabbi Méïr s'est dit : "Ce nom me fait augurer que c'est un méchant homme" ...
Rabbi Yéhouda et rabbi Yossi confièrent leur bourse à l'hôte (à la veille de Shabbath), et rabbi Méïr ne la lui confia pas, mais il alla enfouir sa bourse dans la tombe du père de l'hôte ...
Le lendemain, rabbi Yéhouda et rabbi Yossi demandèrent à l'hôte de leur rendre leurs bourses ; ce dernier répondit : "Vous ne m'avez rien confié!"
Rabbi Méïr leur dit alors : "Pourquoi ne prêtez-vous aucune attention aux noms (des gens)?"
Ils répondirent : "Pourquoi ne nous as-tu pas averti, maître?"
Rabbi Méïr répondit : "Je n'avais qu'un soupçon, mais pas une certitude (de méchanceté de Kidor)."
[Une personne est impactée par son prénom, ce qui lui confère une tendance naturelle plus forte à quelque chose (de positif ou négatif), mais le libre arbitre demeure.
En cas d'impact négatif, il lui sera uniquement plus difficile d'agir convenablement/positivement, pour compenser cette tendance naturelle négative, et ce surtout au début, jusqu'à corriger sa nature autant que possible.]
Les 3 rabbanim entraînèrent alors leur hôte dans un bistrot (et le soûlèrent).
Ils virent des lentilles sur sa moustache. Ils allèrent demander à la femme de leur hôte de leur restituer les bourses (soit disant à la demande de son mari) en lui précisant le signe des lentilles (que son mari avait mangé ce jour-là).
Ils récupèrent ainsi leurs bourses.
Lorsque l'hôte revint chez lui, il tua sa femme.
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-> Malgré le libre arbitre d'une personne, son nom a un effet sur son comportement naturel et joue un rôle important dans son caractère.
[Maharam 'Haviv - Tossefos Yom HaKippurim - Yoma 83b).
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-> "Ceci aussi, c'est pour le bien" (gam zou létova)
[Na'houm Ich gam zou (un des maîtres de rabbi Akiva) - guémara Taanit 21a]
Le 'Hida enseigne :
La valeur numérique de l'expression : gam zou létov (גם זו לטוב) est de : 103, qui devient : 104 en ajoutant l'expression elle-même (avec le kollel). C'est la même guématria que celle de : Na'houm (נחום).
Donc, lorsque le père de Na'houm l'a nommé ainsi, le jour de sa circoncision (brit mila), il a été inspiré par le Ciel de choisir ce prénom associé à la qualité future de son fils de pouvoir dire en toutes circonstances "gam zou létov".
De même, chaque père est inspiré par le Ciel dans le choix du prénom de son fils qui définit son intériorité.
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-> 52 ans après la destruction du 1er Temple de Jérusalem par Névou'hanétsar, le roi Koréch (ou Cyrius - כורש) ordonne la reconstruction du Temple.
Ce roi était vertueux et convenable (kasher - כשר) ; son attitude louable était en allusion dans son nom כורש qui contient les lettres כשר.
[Rachi - guémara Roch Hachana 3b]
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-> A l'inverse, le nom du fils du roi David : Avchalom (אבשלום) est composé de 2 mots : av (אב - père) et Shalom (שלום - paix), pour nous enseigner qu'il était prévu initialement qu'il soit uni et en paix avec son père David.
Cependant, il a choisi la haine et la séparation en se révoltant contre son père.
[rav Lumbroso]
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-> "Et quel que soit le nom que donnera l'homme à chaque espèce vivante, tel sera son nom" (Béréchot 2,19).
Le Arvé Na'hal écrit :
Il faut savoir que le nom contient l'essence même de la vie d'une personne.
Les lettres qui forment le nom de l'homme sont des tuyaux par lesquels un flux d'abondance de vie lui parvient. Ainsi, il reçoit sa vitalité par l'intermédiaire des lettres de son nom, et c'est le sens de : "néfech 'haya ou chémo" (chaque espèce vivante, tel sera son nom) = c'est-à-dire toutes les forces vives de l'homme : "sera son nom".
-> Le Arvé Na'hal enseigne : [version plus longue du commentaire précédent]
Lorsque l'âme quitte le corps de l'homme, un ange se présente devant le défunt et lui demande son nom. Si l'homme était un impie durant sa vie, il ne se souvient pas de son nom et l'ange se met à le frapper.
Pourquoi un impie oublierait-il soudainement son nom?
Nous devons comprendre que le nom d'un homme est la racine de son âme et chaque lettre qui le constitue est un canal par lequel descend l'abondance au cours de sa vie. Ainsi, toute la vitalité de l'homme lui parvient grâce aux lettres de son nom et c'est le sens du verset : "Et quel que soit le nom que donnera l'homme à chaque espèce vivante, tel sera son nom" (Béréchit 2,19).
Lorsque l'homme emprunte le chemin de la Torah et des commandements, il augmente l'abondance qui descend dans sa vie et lui ajoute de la force.
A l'inverse, un homme qui n'emprunte pas la voix de la Torah, que D. nous en préserve, verra le contraire s'accomplir. Plus il commettra de fautes, plus l'abondance de vie va diminuer jusqu'à détériorer les canaux vecteurs de cette abondance que sont les lettres de son nom. C'est pourquoi un impie ne se souvient plus de son nom lorsqu'il est dans sa tombe car les lettres qui le formaient ont été effacées à cause de ses actes et c'est la raison pour laquelle l'ange le frappe.
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-> Le Rabbi Tsvi Hirch de Ziditchov (Atéret Tsvi) nous enseigne :
"L'essentiel du néfech et de la néchama se trouve dans le nom de l'homme. La force des lettres qui s'assemblent pour composer son nom sont venues réparer le monde".
Le rav Pin'has Friedman (Shvilei Pin'has) commente :
Ce n'est pas uniquement le nom de l'homme qui prodigue les forces de vie mais plutôt l'assemblable des lettres de son nom qui contiennent en allusion le but et le sens de sa venue sur terre.
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-> Lorsque les parents donnent un nom au nouveau-né, ils n'ont pas conscience que ce nom n'est pas fortuit ou bien le fruit d'un choix personnel, mais bien l'expression de la Volonté du Créateur de donner à cet enfant le nom qui convient à la racine de son âme. Ce nom est inscrit sur le Kissé haKavod dans les mondes supérieurs, et c'est la raison pour laquelle Rabbi Méïr déduisait du nom de la personne sa personnalité (guémara Yoma 83b).
[Tsor ha'Haïm - Pin'has]
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-> "Je suis très étonné à propos des tsadikim que sont les enfants de Lévi qui ont appelé leur fils Kora'h, qui était le nom d'un des chefs d'Essav.
Les Sages (guémara Yoma 38b) ne nous ont-ils pas enseigné : "Nous ne nommons pas nos enfants avec des noms de réchaïm".
Nous voyons les conséquences désastreuses de ce qui lui est arrivé. C'est pour cette raison que le verset (Kora'h 16,1) énumère son ascendance depuis Lévi pour nous enseigner que même s'il avait la force d'une corde à trois fils, il s'est malgré tout effondré rapidement car il fut nommé par le nom d'un racha.
C'est le sens de "Kora'h prit" : son nom a pris toute la sainteté qu'il avait hérité de Yitsar, de Kéhat et de Lévi."
['Hatam Sofer - drachot Kora'h]
-> Le 'Hatam Sofer (Toldot 120) écrit : "La valeur numérique du nom de Essav (עשו) est de 376 comme celle du mot Shalom (שלום) car Essav détenait l'attribut de la paix dans l'impureté. C'est la raison pour laquelle il est considéré comme haïssant la paix."
=> Par conséquent, Kora'h qui portait le nom d'un racha fut vaincu par l'influence de la klipa d'Essav qui déteste la paix. Il contesta donc le statut d'Aharon en tant que Cohen Gadol car Aharon était la quintessence de la paix du côté de la sainteté.
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Le Bné Yissa'har (Sefer Maayan Ganim, ch.3) explique que Pharaon n'a pas simplement changé les noms de Yo'hévet et Myriam pour les noms égyptiens de Shifra et Pouah afin de refléter leurs nouvelles positions royales (à l'image de Yossef renommé : Tsafnat-Panéa'h), mais plutôt que Pharaon avait un plan sinistre. Il avait compris un secret profond concernant le nom d'une chose : cela reflète la nature intérieure d'une personne et forme la racine de son essence fondamentale.
Par conséquent, en changeant leurs noms en noms égyptiens, Pharaon espérait leur inculquer une mentalité égyptienne, les débarrassant ainsi de leur nature miséricordieuse.
Comment, alors, Yo'hévét et Myriam ont-elles pu surmonter leur nouvelle nature pour résister à la pression interne qui les poussait à se conformer aux instructions de Pharaon?
Bien que leur nature ait pu être affectée par ce changement de nom constituant alors une immense épreuve personnelle, leur libre arbitre n'a jamais été totalement restreint.
En fait, il ressort implicitement du midrach (Bamidbar rabba 16,10) qu'il est toujours possible de s'élever au-dessus de la disposition négative que le nom d'une personne peut posséder, même si cela s'avère difficile, comme l'a dit le célèbre Rav Yisrael Salanter : "Il est plus facile d'apprendre tout le Talmud que de changer un seul trait de caractère".
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-> Le séfer Noam Elimélé'h (paracha Lé'h Lé'ha) enseigne que lorsqu'une personne est appelée par le nom d'un d'une personne juste, le nom lui-même l'influence en bien.
Voici ce que le Noam Elimélé'h dit :
"Par exemple, quelqu'un dont le nom est "Avraham" et qui souhaite servir Hachem, ce nom l'incite et l'aide à devenir juste"