Quand on dit le vidouï, on doit penser : il y aura un autre moment où je dirai le vidouï, après mon décès, quand je me tiendrai devant la Cour céleste. Je porterai mon talit et mon kittel (habit blanc) et je me confesserai, comme je le fais maintenant. Mais alors, cela ne servira à rien.
Ce n'est que maintenant, dans ce monde, que mon vidouï peut vraiment réparer.
[Yisma'h Israël ]