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Sarah réussit [à surmonter comme son mari] les 10 épreuves, et elle amena les femmes à reconnaître Hachem, tout comme Avraham l'avait fait pour les hommes.
[midrach Bérechit rabbah 39,14 ]

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-> C'est grâce à cette foi inébranlable que Sarah mérita de devenir plus grande qu'Avraham en matière de prophétie (voir Vayéra 21,12).
De plus, la Torah dit que Hachem se souvint d'elle et lui accorda un fils (Vayéra 21,1), et en cela, elle différait des autres matriarches : dans le cas de Rivka, c'est à Its'hak que Hachem a accédé (Toldot 25,21), et Ra'hel a obtenu la conception grâce au Nom Elokim.
Cependant, Sarah a mérité un niveau supérieur, comme l'enseigne le midrach (Bérechit rabba 53,6) que Hachem Lui-même s'est souvenu d'elle.

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-> Le Abir Yaakov (Pitou'hé 'Hotam - Vaéra) explique que le nom Sarah (שרה) a la même valeur numérique que l'acronyme des 10 plaies : דצ'ך עד'ש באח'ב (détsa'h adach béa'hav). [avec le kollel pour chacun des 3 termes, ainsi qu'un kollel pour les 3 ensemble]
Le mérite de Sarah fut le catalyseur des plaies et rapprocha le moment de la délivrance, comme nous l'enseignent les Sages, qui nous disent que son mérite fut rappelé aux Juifs lors de la sortie d'Égypte.
[voir midrach Chémot rabba (15,12) : "Ils doivent veiller à le manger pendant la nuit, comme il est écrit : "Ils mangeront la viande cette nuit-là, rôtie au feu, en raison d'Avraham, que j'ai sauvé de la fournaise ardente. Les matsot représentent Sarah, qui a préparé des gâteaux sans levain pour les anges, et ils n'ont pas goûté au pain. Le maror représente Yaakov, qui a été poursuivi par Essav tout comme ses fils ont été poursuivis par les égyptiens." ]

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