Même les paroles insignifiantes d'un homme sont inscrites et lues devant lui au moment de sa mort.
Quand on n'étudie pas la Torah, il faut rester silencieux et serrer les lèvres pour ne pas dire un mot, car tous les mérites d'un homme ne suffisent pas à contrebalancer les fautes qu'il peut commettre en parlant.
[rav 'Haïm Vital - Chaaré Kédoucha 2,5]