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"Et voici les noms des enfants d'Israël qui vinrent en Israël avec Yaakov, chacun était venu avec sa maisonnée."  (Chémot 1,1)

"Les dernières lettres des 5 premiers mots de ce verset permettent de former le mot : Téhilim.
On a : וְוְאֵלֶּה, שְׁמוֹת בְּנֵי יִשְׂרָאֵל, הַבָּאִים  => on obtient : תהילים.
[les lettres de Téhilim sont les initiales de : "Téchouat Hachem Lékol Yéhoudi Mévakéch" = le salut de Hachem est pour tout juif qui le demande].

Les dernières lettres des 5 mots suivants dans ce verset permettent de former le mot : Téchouva.
On a :  מִצְרָיְמָה: אֵת יַעֲקֹב, אִישׁ וּבֵיתוֹ  => on obtient : תשובה."
[Rabbi Na'ham de Breslev - Likouté Moharan II,73]

En ce début véritable de notre exil, la Torah nous donne les armes pour nous en sortir : Téhilim (prière du cœur) et Téchouva (dynamique continue d'amélioration personnelle, selon les standards de la Torah).

["Voici les noms des bné Israël qui sont venus en Egypte" (וְאֵלֶּה שְׁמוֹת בְּנֵי יִשְׂרָאֵל הַבָּאִים מִצְרָיְמָה) = les initiales de ces mots forment : "hachavim" (ceux qui se repentent - השבים)]

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Nous pouvons remarquer que le nom de la paracha : שמות (chémot), est l'acronyme de : שנים מקרא ואחד תרגום (chénayim mikra vé'éhad targoum).

C'est l'obligation de nos Sages de lire chaque semaine : 2 fois le texte de la paracha + 1 fois sa traduction par le Targoum Onkelos (Choul'han Arou'h - Ora'h 'Haïm 285).

Le Simchas Aharon nous explique que par le fait de lire 2 fois la paracha, on internalise les leçons de la Torah, puis ensuite on les traduit (targoum) dans notre vie au quotidien, et c'est ainsi que nous pouvons survivre à l'exil avec notre nom, notre essence intacte.

-> Celui qui étudie la paracha, en lisant 2 fois le verset et une fois Onkelos, la chantant d'une belle voix, il va vivre longtemps.
[Baal haTourim - Chémot 1,1]

-> Les 2 premiers mots de Chémot : "véélé Chémot" (וְאֵלֶּה שְׁמוֹת), ont des lettres qui sont l'acronyme de : vé'hayav adam lilmod aParacha, Chnayim mikra véé'had targoum" (l'homme doit étudier la paracha, 2 lectures et une traduction).
Le rav Pin'has Friedman (Shvilei Pin'has) ajoute :
Juste après les termes וְאֵלֶּה שְׁמוֹת, il est écrit : "qui viennent en Egypte" (aba'im mitsrayéma) pour nous apprendre que par l'intermédiaire de la mitsva de "chné mikra véé'had targoum" (2 lectures paracha + 1 lecture du targoum Onkelos), nous sommes aussitôt considérés comme si nous descendions à ce moment précis en Egypte, dans le creuset de fer, afin de nous y purifier.

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-> La source se trouve dans la guémara (Béra'hot 8b) : "rav Houma bar Yéhouda a dit au nom de rabbi Ami : un homme doit toujours achever la paracha avec la communauté en la lisant 2 fois et en lisant la traduction en araméen une fois".
Ainsi, a tranché le Maran dans le Choul'han Aroukh (Ora'h 'Haïm 281).

-> Le Troumat haDéchen explique que d'après le sens simple en procédant ainsi, l'homme se familiarise avec la paracha et comprend plus aisément la lecture faite le Shabbath en communauté.

-> D'après le Sod, le Arizal explique que chacun d'entre nous possède une âme sainte et pure, qui est reliée de façon explicite et par allusion aux versets de la paracha.
Durant toute sa vie, l'homme s'efforce de réparer son âme. Cette double lecture de la paracha ainsi que sa traduction donnent à l'homme la possibilité de réparer toutes les étincelles de son âme.
Comment cela?
Cette mitsva est comparable à un fruit et son écorce. Le verset représente le fruit tandis que la traduction représente l'écorce.
Puisque l'écorce enveloppe totalement le fruit, de même la traduction enveloppe le verset, elle protège son fruit qu'est le verset.
Puisqu'il en est ainsi, les étincelles de l'âme dispersées et enfouies dans chaque verset de la Torah nécessitent une procédure à leur réparation par l'intermédiaire de la lecture de la paracha.
Ensuite, nous mettons en place une protection à l'aide de la lecture de la traduction de la paracha ...
En terminant cette mitsva au plus tard avant le repas du Shabbath matin, le supplément d'âme qu'on recevra le Shabbath sera alors complet.
[Dorech Tsion]

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-> Le nom de la paracha : "chémot" (שמות) fait allusion aux 3 mitsvot : Shabbath, Mila (circoncision), VéTéfilin (Et Téfilin - ותפילין).
Il s'agit des 3 mitsvot dont la Torah fait référence en tant que : "signe" (ot) entre Hachem et nous.
En effet :
- Shabbath : "Vous garderez mes Shabbath, car il est un signe entre Moi et vous pour vos générations" (Ki Tissa 31,13) ;
- brit mila : "Vous circoncirez la chair de votre excroissance, et ce sera le signe de l'alliance entre Moi et vous" (Lé'h Lé'ha 17,11) ;
- Téfilin : "Et ce sera pour toi en signe sur ton bras, et en rappel entre tes yeux" (Bo 13,9)

=> La Torah fait allusion à l'idée que lorsque les juifs entrent dans une terre étrangère (comme ici en Egypte), ces 3 mitsvot ont le pouvoir de les protéger d'une assimilation parmi cette nation.

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-> La guématria du mot : Egypte (mitsrayéma - מצרימה) est de 385, et c'est la même que chacun des mots suivants : chémama (désolation - שממה), miMoché (de Moché - ממשה), ché'hina (présence divine - שכינה), shafa (langue - שפה).

Par le mérite des juifs gardant leur langue, ils ont mérité d'être libérés d'Egypte par le biais de Moché, et de retrouver la présence divine.
Le Zohar dit que la libération d'Egypte était une préparation pour la libération (guéoula) future et ultime.
Par le mérite de Moché rabbénou, la présence divine viendra et entraînera la désolation sur les autres nations du monde, et la totalité du monde ne parlera alors plus qu'une seule langue (l'hébreu). [c'est la guéoula!]
['Hida - Na'hal Kédomim ; Rabbénou Efraïm]

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+ Chovavim :

-> Le Arizal enseigne qu'avec Chémot nous commençons la période de Chovavim (acronyme de : Chemot, Vaéra, Bo, Béchala'h, Yitro, Michpatim), où nous lisons les parachiot abordant l'esclavage en Egypte.
[durant une année bissextile qui contient 2 mois d'Adar, nous ajoutons également les parachiot de Térouma et Tétsavé (on parle alors de : Chovavim Tat)]

- Les 1eres et dernières lettres de : véélé chémo béné (וְאֵלֶּה שְׁמוֹת בְּנֵי - Et voici les noms des enfants d'Israël - v.1,1), permettent de former le mot : Téchouva (תשובה - le repentir).
- De même pour les mots suivants (les 1eres et dernières lettres) : Israël abaïm (יִשְׂרָאֵל הַבָּאִים - Israël qui vinrent), qui permettent de former : mila (מילה).
- Les dernières lettres des 5 mots suivants : mitsrayéma, ét Yaakov ich ouvéto (מִצְרָיְמָה אֵת יַעֲקֹב אִישׁ וּבֵיתוֹ - en Egypte avec Yaakov, chacun avec sa maisonnée), forment : Téchouva (תשובה).
[le Béra'h Moché - Rabbi Moshe Teitelbaum]

=> On voit bien que cette période est propice à la téchouva, particulièrement dans le domaine lié à la mila.
[comme en témoigne le fait que cette notion est prise en sandwich par le repentir!]

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-> Cette période [de Chovavim] est d'une très grande sainteté, d'un niveau similaire à celle des 10 jours de téchouva propice au repentir.
[Toldot Aharon]

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-> "Revenez, ô enfants rebelles (chouvou banim chovavim)! Je guérirai vos égarements" (Yirmiyahou 3,22)

Le rav Elimélé'h Biderman commente :
Le Zohar (126,3a) rapporte que, chaque jour, une voix céleste proclame : "Revenez, enfants rebelles!" Car en tout
temps, Hachem attend que les Bné Israël reviennent à Lui.
Cependant, cette voix céleste a une influence renforcée durant ces jours appelés "Chovavim" où tous ceux qui désirent se repentir bénéficient d’une aide du Ciel particulière.
Nous devons en prendre avantage, et revenir vers papa Hachem ...
Hachem ne nous ferme jamais Sa porte, Sa main droite est toujours tendue, prête à accepter les repentants, par Son amour infini pour Ses enfants, comme l’enseigne le Tana Debé Eliyahou (Rabba - Chap.30) : "J’en prends à témoin les cieux et la terre : Hachem attend Israël plus qu’un père attend que son fils revienne à lui". Ne le décevons pas !

-> Selon le rav Chmouël Rozovski :
En ces jours-ci [de Chovavim], chacun sans exception reçoit une lettre prestigieuse de son Père Céleste, au contenu suivant : "Mon cher et bien-aimé, quel que soit l’endroit où tu es arrivé et où tu te trouves, je désire te rencontrer et discuter avec toi!"
Car quelle que soit la situation où un juif se trouve, Hachem désire qu’il revienne à Lui et Il l’acceptera sur le champ. Il ne nous incombe que de nous rapprocher, et Lui, nous hissera aux plus hauts sommets.

-> Le Rav de Waylednik (Chéérite Israël - Chaar Hachovavim - drouch 1) écrit à propos de l’enseignement de la guémara (‘Haguiga 15a) : "Revenez, enfants rebelles, à l’exception de l’Autre" = ces jours-ci, une porte est ouverte même pour celui qui aurait tellement fauté qu’il est qualifié d’"autre", et qui se trouverait entièrement étranger à tout ce qui est saint. Cette période possède la force d’effacer les fautes commises par la bouche et celles qui concernent la sainteté et la pudeur et même celles que Yom Kipour ne peut expier.

-> Le Yisma'h Israël voit une allusion aux jours des "Chovavim" dans le verset : "Et il montera de la terre" (Chémot 1,10), ce qui sous-entend que même si un homme est plongé entièrement dans les plaisirs terrestres, il peut aussi parvenir à s’élever. C’est pourquoi ces parachiotes sont lues à cette période afin d’évoquer la sortie d’Egypte personnelle de chacun.

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-> Selon certains commentateurs, la période des "Chovavim" est évoquée dans le verset des villes-refuges du meurtrier involontaire : "6 villes de refuge que vous accorderez pour que le meurtrier s’y retire, en outre, vous y ajouterez 42 villes" (Massé 35,6).

Car, au total, les "Chovavim" comptent 6 semaines, soit 42 jours, qui sont à mettre en parallèle avec les 6 villes de refuge et les 42 villes supplémentaires. Cela suggère que cette période est propice pour fuir vers les "villes de refuge" (autrement dit le repentir), et que tout ‘meurtrier’, celui qui aurait fauté (à D. ne plaise), peut alors échapper au yétser ara qui cherche à le faire périr (à l’instar du vengeur de sang qui poursuit le meurtrier involontaire pour le tuer).

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-> Le Pri Mégadim (dans son "haMaguid" - partie III, Chémot) écrit que le mot : "Chovav" (שובב) possède en hébreu 3 significations différentes : 1) rebelle, 2) brisure, 3) répudié/rejeté.
Cela vient nous enseigner que même un fauteur rebelle contre Hachem, qui s'est brisé lui-même et qui est rempli de défauts, à cause de ses fautes, au point d'avoir été rejeté de la proximité d'Hachem, s'adresse la voix Céleste qui appelle : "chouvou banim chovavim (שׁוֹבָבִים)", et alors tout sera expié, pardonné : "Je guérirai vos égarements".

Le Pri Médadim ajoute une 4e traduction à "chovavim".
Cela signifie : "ceux qui ont déjà fait téchouva à de nombreuses reprises".
Ainsi : "chouvou banim chovavim" peut se traduire par : "Faites téchouva, vous les enfants [d'Hachem], qui avaient déjà fait téchouva à de nombreuses reprises."
En effet, les années passées, il y avait déjà les "chovavim", il y avait des Roch Hachana, des Yom Kippour, et pleins d'autres jours où nous avons été inspirés de faire téchouva.
Nous avons fait téchouva, pris des engagements d'agir mieux, mais nous n'avons pas tenu nos résolutions, et nous sommes d'une certaine façon restés les mêmes.
On ressent qu'il est trop tard pour faire encore une fois téchouva.
La voix céleste (bat kol) annonce : "chouvou banim chovavim" = même si vous avez déjà fait téchouva à de nombreuses reprises, "Je guérirai vos égarements" = j'accepterai votre téchouva et je vous guérirai et nettoierai de vos fautes.

La raison pour laquelle nous pourrons toujours faire téchouva est dans le mot : "banim" (enfants - בָּנִים).
Si un esclave faute à plusieurs reprises envers son maître, son maître va le renvoyer, et il ne pourra plus revenir.
Mais lorsqu'un enfant faute envers son père, il pourra toujours revenir.
Hachem dit "chouvou banim chovavim" = nous sommes les enfants d'Hachem, et Hachem nous accorde une nouvelle opportunité de faire téchouva [quoiqu'on est pu faire, nous restons toujours Ses enfants!].

Le rav Elimélé'h Biderman dit que si un diamant tombe dans la boue, sa valeur reste la même.
De même pour un juif. Peu importe où il a pu tomber par ses fautes, il peut toujours retourner vers Hachem.
Un juif a une partie Divine en lui, il sera toujours un fils adoré d'Hachem, ainsi malgré ce qui a pu se produire, sa valeur interne ne peut jamais diminuer.
[Ce n'est pas parce qu'un diamant est entouré de bouse de vache, qu'il perd de sa valeur!]

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-> La guémara ('Haguiga 15a) dit qu'une voix céleste (bat kol) a annoncé : "chouvou banim chovavim 'houts méa'hèr" (שובו בנים שובבים חוץ מאחר).
Le Cha'harit Israël (Chaar Chovavim - drouch 1) explique que l'ajout de "'houts méa'her" (חוץ מאחר) signifie que même pour quelqu'un qui a fauté au point d'être en dehors des limites de la sainteté ('houts méaKédoucha), et qu'il est une personne totalement différente (a'hèr) à cause de ses fautes, néanmoins la voix céleste l'appelle pour qu'il revienne vers Hachem : "chouvou banim chovavim".

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-> Pendant la période des Chovavim, certes nous devons réparer la faute "connue" (occasionnée par un manque de sainteté), mais nous devons surtout réparer la faute "inconnue" qui est commise lorsqu'une personne vexe son prochain et ne se rend même pas compte qu'elle a ainsi commis un véritable meurtre et que celui qu'elle a offensé verse des larmes à cause d'elle et se retourne dans son lit toutes les nuits à cause de la souffrance endurée par l'offense subie.
[rabbi Its’hak de Vork]

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-> Le Arizal (Chaar roua'h haKodech 27) enseigne : "Les parachiot de la Torah traitant de l'exil égyptien, de la sortie d'Egypte et du don de la Torah, ont la capacité de réparer toutes les fautes que l'homme a commises et particulièrement les fautes qui ont endommagé la brit mila".

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Le travail des Chovavim est de retirer le mal, l'impureté de nos fautes, afin d'être purs devant Hachem. Pour cela, de nos jours, on a 2 armes : les Téhilim et la Torah.

-> Les dernières lettres des 5 premiers mots du 1er verset de la 1ere paracha de la période de Chovavim, permettent de former le mot : Téhilim.
On a : וְוְאֵלֶּה, שְׁמוֹת בְּנֵי יִשְׂרָאֵל, הַבָּאִים  => on obtient : תהילים.
Cela fait allusion au fait que les Téhilim purifient pendant les Chovavim.

-> "Plus que tous les jeûnes et toutes les afflictions, rien ne purifie autant que l'étude de la Torah"
['Havatsélet haSharon - introduction]

-> "Venez et voyez le grand pouvoir de l'étude de la Torah. Elle purifie les juifs même s'ils ont adoré l'idolâtrie (avodah zarah)."
[Tana déBé Eliyahou rabba 18]

-> "Nos Sages disent que l'étude de la Torah expie, protège et sauve, et le feu de Guéhinam ne fait pas de mal à ceux qui étudient la Torah ...
Ceux qui étudient la Torah ... cela les purifiera et les expiera, et cela les conduira sur le chemin de la téchouva et du pardon complet."
[Yessod haAvodah 3:5:8]

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-> Le Chem miChmouel (Hochaana Rabba, année 5674) rapporte à ce sujet les paroles de son grand-père, le Rav de Kostk :
"Il est plus facile pour le corps d’accepter toutes les mortifications du monde que d’accepter le joug de la royauté Divine. Il n’y a pas de plus grande peine pour lui que d’être soumis au joug du Ciel, et de se conformer en tous points aux obligations de la Torah.
Ce qui signifie que le tikoun (la réparation des fautes) le plus efficace est de craindre D. et de soumettre son corps et ses membres afin de s’abstenir de tout acte interdit qui serait contraire à la volonté d’Hachem. Il s’agit également de redoubler d’efforts pour préserver ses yeux et sa langue de tout mal, au point de se retenir de fauter même lorsque le désir brûle en lui comme un feu ardent.
Cette "retenue" lui sera comptée alors comme une multitude de jeûnes."

-> Le Gaon de Vilna (Iguéret haGra) écrit :
"Un homme ne devra se mortifier ni par des jeûnes, ni par d’autres souffrances physiques, mais seulement en mettant un frein à sa bouche et à ses désirs matériels."

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-> Le Pri Mégadim (fin Siman 685) enseigne que durant la période des Shovavim (généralement de Chémot à Michpatim) nous allons du début jusqu'à la fin de notre périple en Egypte.
Bien que nous avons été sauvé d'Egypte, une partie de l'impureté d'Egypte reste en nous.
C'est pourquoi une façon de s'en purifier et d'être particulièrement vigilants sur notre lachon ara, pendant cette période.

Il écrit que les chovavim commencent avec la paracha Chémot et les mot : "véélé chémot bné Israël abaïm" :
- le mot : "véélé" (וְאֵלֶּה) est l'acronyme de : avak lachon ara (poussière de lachon ara - אבק לשון הרע), en allusion au fait que nous devons faire attention à même une minuscule quantité de lachon ara.
- les mots "chémot bné Israël abaïm" (les noms des enfants d'Israël qui sont venus - שְׁמוֹת בְּנֵי יִשְׂרָאֵל הַבָּאִים) a pour acronyme : שביה (captivité - chiv'ya). [comme l'écrit le Baal haTourim]
La raison est que nous nous libérons de la captivité et de l'influence mauvaise de l'Egypte lorsque nous sommes vigilants avec notre parole.

[b'h, issu du dvar Torah : http://todahm.com/2021/01/21/chemot-le-lachon-ara ]

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