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"Si un homme a eu l'intention d'accomplir un commandement (mitsva), mais a eu un empêchement, Hachem le lui compte comme s'il avait accompli cette "mitsva".
Par contre, Hachem n'assimile pas une mauvaise intention à une mauvaise action."

[rav Assi - guémara Kidouchin 40a]

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-> Lorsqu'un homme est animé d'une bonne intention pour accomplir une mitsva ou une bonne action, son niveau spirituel augmente.
Si un cas de force majeure l'empêche de réaliser cette mitsva ou cette bonne action, le surplus d'énergie spirituelle développé par sa bonne intention l'aidera à mieux accomplir une autre mitsva qui se présentera à lui, et ainsi sa bonne intention initiale n'est pas perdue.

C'est pourquoi, il est recommandé d'avoir toujours de bonnes intentions, même si elles ne sont pas réalisables dans l'immédiat.
[rav Dessler - Mikhtav méEliyahou - tome.5,p.290-291]

-> Si un homme avait une bonne intention (kavana tova) qu'il n'a pas pu réaliser à cet instant par empêchement, et si plus tard il réalise cette mitsva, mais sans bonne intention (par exemple : mécaniquement ou de façon intéressée), Hachem associera la bonne intention première avec cette action de façon à obtenir une mitsva entière sans défaut.

En effet, toute bonne action créé un Ange défenseur : la bonne intention crée l'âme de cet Ange, et l'action (même de façon intéressée) créé le corps de l'Ange.
Ainsi, du fait qu'Hachem a associé la bonne intention initiale et l'action finale, un Ange défenseur (âme + corps) est créé en faveur de cet homme.
[Hamakné]

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