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"Que le pectoral ne soit pas séparé de l’éphod" (Pékoudé 39,21)

Le Déguel Ma’hané Efraïm pose la question suivante : si la mitsva de ne pas séparer le pectoral de l’éphod compte parmi les 613 de la Torah, comment peut-on l’appliquer aujourd’hui?

Il répond que le mot éphod a la même valeur numérique que le mot pé, bouche. L’essentiel de cette mitsva est donc que le pectoral, c’est-à-dire le cœur, reste toujours sur l’éphod, autrement dit sur la bouche. En d’autres termes, il s’agit d’aligner sa bouche sur son cœur, d’être sincère.

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