Pâtisserie spirituelle depuis 5771 - b'h
 

Le Ohr ha'Haïm haKadoch (Emor 22,12) écrit qu'à un certain niveau, une faute obscurcit la lumière de notre âme, lui causant une terrible honte. Il existe également un niveau supérieur de l'âme, qui ne peut être affecté par la faute, mais qui, pour éviter ce dommage, doit quitter le corps du fauteur. Cela aussi est une honte pour l'âme, comparable à une personne qui invite le roi chez elle et le chasse ensuite.

<--->

-> Lorsque les juifs se sont tenus au mont Sinaï, la nation dans son ensemble a juré de respecter toutes les mitsvot de la Torah. (guémara Nédarim 8a : midrach Bamidbar rabba 9,47)
Au niveau individuel, le même vœu est fait par chaque personne avant sa naissance, lorsqu'elle doit jurer d'être un tsadik et non un racha. (guémara Nida 30b)
Bien que notre âme ait été présente au mont Sinaï et qu'elle y ait déjà fait ce vœu, elle le fait à nouveau, afin de nous encourager et de nous donner les moyens de remplir notre engagement. (Maharcha - Nédarim 8a)

<--->

-> Les mitsvot ont été écrites dans la forme grammaticale du temps futur, au lieu d'être écrites comme un commandement. Ceci pour nous enseigner qu'Hachem sait parfaitement qu'aucun juif ne fautera jamais, et que si un juif faute, ce n'est que par une mésaventure irréfléchie (Rama miPano - maamar 'Hikour Din IV, chap.9).

-> La capacité d'un juif à se rappeler qu'une défaillance momentanée ne représente pas son essence profonde et que c'est un vent de folie (roua'h shtout) qui l'a empêché de penser correctement, comme il est dit : "Un homme ne peut fauter que si un esprit de folie pénètre en lui" (guémara Sotah 3a). [je n'étais pas moins même]

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *