+ "Hachem bénit le 7e jour" (Béréchit 2,3).
De prime abord, le Shabbath ne semble pas "béni", puisque c'est le jour de la semaine où il ne tombait pas de manne (voir Béchala'h 16,26).
Mais en réalité, la bénédiction se répand, grâce au Shabbath, sur les autres jours. C'est pourquoi, l'homme de foi doit faire un bon repas le vendredi soir et le Shabbath matin, pour que sa table soit bénie le reste de la semaine, car la bénédiction ne réside pas sur une table vide.
[...]
Le Shabbath, il faut se délecter par un 3e repas (séoudat chlichi) pour être rassasié ici-bas et pour que les bénédictions se déversent sur les autres jours de la semaine ; de plus, celui qui manque l'un de ces repas [de Shabbath] porte atteinte aux mondes Supérieurs.
[Zohar - Yitro p.88a]