"Une fois par an, il expiera pour lui" (Tétsavé 30,10)
-> Il s’agit de l’expiation des fautes, le jour de Kippour.
Mais en réalité, la Torah vient, au passage, faire allusion que ce qui expie aussi beaucoup les fautes que l’on a commises, c’est : l’étude de la Torah.
C’est ainsi que ce verset, qui se dit en hébreu : "a'hat bachana yé'hapér alav"" (אַחַת בַּשָּׁנָה יְכַפֵּר עָלָיו), a pour lettres finales les mêmes lettres que le mot : "Torah" (תורה).
=> On n’estime pas assez la force réparatrice de la Torah, qui permet d’obtenir le pardon même pour des fautes dont l’expiation est très difficile à avoir.
[Tsél aéda]