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 "Si le cœur d’une personne est lourd d’inquiétude, qu’elle se décharge sur une autre personne. "
[guémara Yoma 75a]

Rabbi Tsvi Elimélekh disait que le fait de se décharger de sa peine sur une tierce personne présente, en plus de l’intérêt purement psychologique, un autre avantage.

Il disait que si D. décrète que la personne A doit souffrir.
Si A expose sa situation difficile à une personne B, et que B comprend ce que ressent A, et qu’il s’identifie à lui en partageant sa souffrance, B se mettra alors à souffrir.

Cependant, comme le jugement divin ne destinait pas B à souffrir, la justice exige qu’il soit soulagé de sa peine.
Mais le réconfort de B est subordonné à celui de A.
=> Par conséquent, la justice divine requiert que A soit soulagé de sa détresse afin d’épargner à B une injuste souffrance.

Le Rabbi Tsvi Elimélekh affirmait que l’ingrédient essentiel de cette recette est que lorsque nous écoutons la détresse de quelqu’un, il faut comprendre sincèrement ce qu’il ressent et ressentir sa souffrance comme si elle était la nôtre.

 

"L'un des bien-aimés de D. est celui qui ne montre pas de colère."

[guémara Pessa'him 113b]

"La Torah n'a été donnée à l'humanité pour nul autre objectif que d'affiner les individus."

[Béréchit Rabba 44;1]

"Aujourd'hui [ce monde] est pour l'action ; demain [le monde à venir] est pour la béatitude de la récompense."

[guémara Erouvim 22a]

"Lorsqu'un homme met sa confiance en D., il mérite que D. soit son refuge dans ce monde et dans l'autre."

[guémara Ména'hot 29b]

"Celui qui se met en colère est considéré comme un idolâtre."
(guémara Nédarim 22a)

Selon Rabbi Chnéour Zalman (Séfér haTanya) = "Dès l'instant où il se met en colère, sa foi l'abandonne ; car s'il croyait alors que seul D. lui envoie cette épreuve, il ne s'en irriterait pas."

 "Le peuple juif a 3 signes distinctifs : [ils sont] charitables, humbles et généreux."

[guémara Shabbath 119b]

"Si vous voyez une génération sur laquelle se déversent des souffrances abondantes comme un fleuve, attendez-le [le machia'h]."

[guémara Sanhédrin 98a]

"Quiconque profane le Shabbath est considéré comme reniant toute la Torah."

[Bamidbar Rabba 15,34]

"Les uns se fient à leurs chars, les autres à leurs chevaux, tandis que nous, nous invoquons le nom de D.
Les autres tombent, et nous demeurons debout, plein de forces."

[Téhilim 20]