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"Rabbi 'Hana dit au nom de Rabbi Chimon 'Hassida : 'Tout jeûne auxquels ne participent pas des pécheurs d'Israël n'est pas un (véritable) jeûne, car le galbanum ('helbona) a une mauvaise odeur et pourtant elle est comptée parme les (onze) composants de l'encens (kétorét)'. "
[guémra Kéritout 6b]

Ainsi, lorsque les justes (tsadikim) et les non justes (réchaïm) jeûnent ensemble, cette association (ce klal) confère une puissance d'efficacité à ce jeûne public : c'est une condition pour être exaucés.

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L'ensemble des personnes présent à une prière s'appelle le : tsibour, dont les initiales renvoient à : tsadikim, bénonim et réchaïm.

Prier n'est pas une réunion d'élites, mais c'est une union de tout le peuple ensemble vers un but unique.

-> b'h, voir également : https://todahm.com/2017/09/27/5662-2

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-> Tout jeûne qui n'inclut pas les fauteurs n'est pas agréé par Hachem.
En effet, D. ne veut pas que les réchaïm soient détruits mais qu'ils se repentent.
Il leur donne donc une chance et leur accorde du temps pour changer leurs voies.
Lorsque les réchaïm se repentent, le nom Divin est grandi et sanctifié dans le monde.
Leur jeûne est donc très précieux aux yeux de D.
[rabbénou Bé'hayé]

Nous apprenons cela du fait que Hachem ordonna d'incorporer le galbanum à l'encens malgré son odeur désagréable. Si la personne qui mélange l'encens omet le galbanum, elle mérite la mort.

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-> Il existe une autre raison pour laquelle un jeûne ne rassemblant que des tradikim n'est pas accepté : les jeûnes sont décrétés à cause des malheurs qui s'abattent sur le monde.
Or ceux-ci ne surviennent qu'à cause des mauvaises actions des réchaïm.
Si seuls les tsadikim jeûnent et laissent les réchaïm commettre leurs fautes, à quoi cela sert-il?
Par contre, si les réchaïm sont inclus dans le jeûne communautaire et se repentent, Hachem a pitié du monde.

De plus, si le racha se trouve auprès du tsadik, les qualités de ce dernier seront d'autant plus visibles.
D'autre part, si le tsadik n'a auprès de lui que des personne supérieures à lui, on s'apercevra des qualités qui lui font défaut.
"Il n'y a pas de tsadik dans le monde qui fasse le bien et ne faute jamais" (Kohélét 7,20).
Par contre, quant une bonne personne se trouve aux côtés d'une mauvaise personne, ses mérites sont d'autant plus visibles.
[Méam Loez - Ki Tissa 30,36]

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-> Le Maté Moché fait remarquer une allusion à la nécessité de donner de la tsédaka particulièrement le jour d'un jeûne. Le mot "taanit" (jeûne - תענית) forme les lettres de : tét ani (תת עני - donner au pauvre).

Cela fait référence à la parole de nos Sages : "La récompense principale d’un jour de jeûne est déterminée par le montant de tsédaka donné" (guémara Béra’hot 6b). »

En jeûnant, nous minimisons notre matérialité pour laisser davantage s’exprimer notre spiritualité.
Par ailleurs, nous pouvons également y ressentir la mitsva de : Tu aimeras ton prochain comme toi-même.

De même, qu’il ne nous est pas agréable de devoir nous priver de nourriture, par le fait de devoir jeûner, on peut se rendre compte de la souffrance de nos frères qui sont dans cette situation au quotidien.

Aimer son prochain comme soi-même, c’est vivre son vécu, pour mieux comprendre, ressentir sa douleur physique et psychologique.
Comment alors ne pas donner à la tsédaka, alors que nos frères en sont contraints à quasiment jeûner tous les jours, faute de moyens suffisants?

À chaque minute, D. donne la vie et l'énergie aux êtres qu'Il a créés. Même pendant que quelqu'un commet une transgression, il doit être conscient qu'à ce moment précis, D. le soutient.
Quel est l'intérêt de cette prise de conscience?
Peut-être la honte le forcera-t-elle à renoncer à la transgression. Même si le désir l'emporte et qu'il ne se désiste pas, cette prise de conscience l'aidera à regretter et à se repentir immédiatement après.
[Ben Ich 'Haï - Ben Yéhoyada - guémara Béra'hot 63a]

+ Il est de coutume de ne pas se marier entre Pessa'h et Shavouot, jusqu'à Lag LaOmer. Car pendant cette période, les disciples de Rabbi Akiva sont morts. Il est de coutume de ne pas se couper les cheveux avant Lag LaOmer, car il est dit qu'alors ils ont cessé de mourir. (Choul'han Arou'h -Ora'h 'Haïm 493:1-2)

-> Le Ben Ich 'Haï (Ora'h 'Haïm) enseigne :
Il est interdit de se couper les cheveux pendant la saison où les disciples de Rabbi Akiva sont morts.
Le cheveu pousse à partir de son propre follicule (Nidah 52b). Pourtant, les cheveux de la tête sont si proches les uns des autres qu'il semble que plusieurs proviennent du même follicule.

Nous ferions bien d'imiter les cheveux. Bien que chaque personne ait sa propre maison et ses propres moyens de subsistance, les gens devraient s'unir avec un tel amour et une telle unité qu'il semble qu'ils mangent tous à la même table. La possibilité d'être à proximité les uns des autres est un signe d'amour (voir Sanhedrin 7a).

Rabbi Akiva sont morts pendant cette période en raison d'un manque d'amour entre eux. S'abstenir de couper nos cheveux nous rappelle que nous devons vivre ensemble dans l'harmonie et la proximité.

‘Hanoucca célèbre la Torah

+ 'Hanoucca célèbre la Torah :

=> Pourquoi presque toutes les fêtes juives, par exemple Pourim, Pessa'h et Souccot sont-elles commémorées le jour de la pleine lune ou à une date proche de celle-ci (vers le 15 du mois), alors que Hanouca (25 Kislev) ne l'est pas?
Bien que Roch Hachana (1er Tichri) ne soit pas non plus célébré au moment de la pleine lune, c'est parce que Roch Hachana est un jour de jugement (Roch Hachana 32a) et qu'il est donc naturellement différent.

Pour répondre à cette question, nous devons commencer par un principe : Hachem accomplit des miracles pour l'une des deux raisons suivantes : soit pour nous protéger du mal que nos ennemis souhaitent nous infliger, soit en guise de représailles contre ceux qui essaient de nous séparer de notre Torah. Et ce, même s'ils ne souhaitent pas nous faire de mal physique, comme à l'époque des 'hachmonaïm, lorsque l'objectif d'Antiochus était uniquement de nous faire oublier la Torah, et non de nuire au peuple juif.
Les prières que nous prononçons à l'occasion de Hanouca y font d'ailleurs allusion : "Et par Ta grande miséricorde, Tu les as protégés au temps de leur détresse". En d'autres termes, nous avons été affligés par la campagne de l'ennemi visant à nous éloigner de la Torah, même si l'ennemi ne souhaitait pas nous blesser physiquement.

Or, le verset dit : "Hachem, notre D., est le soleil et le bouclier" (Téhilim 84,12). Contrairement à D., qui est symbolisé par le soleil, le peuple juif est symbolisé par la lune (Zohar 1:236b), car de même que le soleil éclaire la lune, D. éclaire le peuple juif de Sa lumière.
Tous les miracles et les prodiges que Hachem a accomplis en notre faveur, tels que Pourim, Pessa'h et les autres fêtes, ont été réalisés principalement pour empêcher nos ennemis de nous nuire. Par conséquent, les fêtes commémorant ces miracles ont été fixées autour de la date de la pleine lune, afin de faire allusion au peuple juif qui a été protégé.

Mais à Hanouca, le miracle était dirigé contre l'ennemi, dont l'objectif était d'arracher le peuple juif à la Torah, à D. ne plaise.
La Torah n'étant pas symbolisée par la lune, le miracle de Hanouca n'était pas fixé pour être célébré à la pleine lune, au milieu du mois juif.
De même, la fête de Shavouos, qui marque le don de la Torah, n'est pas non plus célébrée au milieu du mois, à la pleine lune. La fête de Hanouca n'est pas non plus célébrée à la pleine lune, mais à la fin du mois, lorsque la lune est décroissante, et au début de sa période suivante de croissance, c'est-à-dire au début du mois suivant.
[rabbi Lévi Its'hak de Berditchev - Kédouchat Lévi - 'Hanoucca]

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=> Les fêtes célébrant notre délivrance physique ont lieu au moment de la pleine lune, car le peuple juif est assimilé à la lune.
En revanche, Hanouca et Shavouot, qui célèbrent la Torah, ne sont pas fixées au moment de la pleine lune.

‘Hanoucca – Des remerciements et des louanges

+ 'Hanoucca - Des remerciements et des louanges :

=> Pourquoi nos Sages ont-ils établi un festin et des réjouissances pour célébrer le miracle de Pourim (Esther 9,22), alors que pour le miracle de Hanouca, ils n'ont prescrit que des actions de grâce et des louanges (c'est-à-dire des ajouts au texte de la prière)?

-> La réponse semble être la suivante :
Le miracle de Pourim a commencé avec le décret d'Haman et d'A'hachvéroch de tuer et de détruire tout le peuple juif (Esther 3,13). Lorsque la nouvelle de ce décret est parvenue aux juifs, ils se sont levés [spirituellement] et ont réveillé leurs cœurs par le jeûne (Esther 4,16) et par l'introspection, en examinant minutieusement leurs actes. Ils ont décidé de servir Hachem avec vérité et dévouement. Par la suite, lorsque D. a réagi en sauvant le peuple juif de la destruction, ils ont vu de façon palpable le grand amour de D. pour eux.

Le miracle de Hanouca, en revanche, s'est produit à la suite du décret des Grecs, qui ont tenté de forcer le peuple juif à abandonner sa sainte Torah (michné Torah - 'Hanoucca 3:1).
Par conséquent, on aurait pu penser que Hachem a sauvé le peuple juif afin de préserver la Torah, qui est bien-aimée devant D., hier comme aujourd'hui. Comme il n'a pas été largement diffusé que ce miracle a été accompli pour l'amour de D. envers le peuple juif, les Sages n'ont établi que des remerciements et des louanges.
[rabbi Lévi Its'hak de Berditchev - Kédouchat Lévi - 'Hanoucca]

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[ alors que Pourim célèbre notre survie physique, Hanouca célèbre notre survie spirituelle. ]

Amalek & Hachem réside à l’intérieur de chaque juif

+ Hachem réside en permanence à l'intérieur de chaque juif :

-> Le midrach (Vayikra rabba 15,9) rapporte que les grecs ont décrété que chaque juif devait écrire sur les cornes de ses bœufs qu'ils n'ont aucune part dans le D. d'Israël.

Le Beit Avraham de Slonim explique que le mot "Amalek" a la même guématria que "safek" (doute).
Cela symbolise la façon dont Amalek a semé le doute dans l'esprit du peuple et l'a poussé à se poser des questions : "Hachem est-il au milieu de nous ou non?"

Il explique que le peuple juif croyait certainement qu'Hachem existait et qu'Il gouvernait et guidait le monde. Cependant, ils doutaient qu'Il soit "au milieu d'eux" ou non. Ils doutaient que Sa présence puisse être trouvée parmi des gens simples, modestes comme eux, et cela les a conduits à tomber dans le désespoir.

En vérité, nous devons tous croire qu'Hachem est avec nous, quel que soit notre niveau. Même si nous sommes impurs, Hachem est toujours avec nous, comme il est dit : "Il réside avec eux, avec toute leur impureté" (A'haré Mot 16,16).
Et puisque la Chékina est avec nous même lorsque nous sommes impurs (suite à nos fautes), nous savons que nous pouvons toujours être élevés, quel que soit le niveau de bassesse auquel nous nous trouvons.

A 'Hanoucca, les grecs voulaient que peuple juif ait de tels doutes. C'est pourquoi ils ont fait écrire aux juifs qu' "ils" n'ont aucune part dans le D. d'Israël. Ils leur ont permis de croire qu'Hachem existe, mais leur ont fait dire qu'Il n'était pas avec eux parce qu'ils n'en étaient pas dignes.
Les 'Hachmonaïm ont lutté contre cet état d'esprit et ont enseigné qu'Hachem est toujours avec chaque juif (quoiqu'il ait pu faire comme faute, même les pires).
A cette fin, ils ont instauré 8 jours de 'Hanoucca pour remercier et louer Hachem afin de renforcer notre émouna en Hachem et de reconnaître qu'Il est avec nous à tout moment.

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[c'est l'arme principale de notre yétser ara, qui constamment essaie de nous dévaloriser (moins on se sent important, moins on a d'ambition spirituelle pour nous), et surtout il essaie de nous faire croire que Hachem est loin de nous, que nous ne sommes pas important à ses yeux, ... (il éteint notre feu interne d'une relation d'amour avec papa Hachem! ) ]

Le lien entre la paracha Mikets et ‘Hanouka

+ Le lien entre la paracha Mikets et 'Hanouka (par le Zéra Chimchon) :

-> 'Hanouka tombe toujours dans la semaine de la paracha Mikets. Les séforim établissent de nombreux liens entre les deux. Le Zéra Shimshon propose le lien suivant.

-> Le Mégalé Amoukts (252 Ofanim 66, 213) écrit que pendant le règne de Yavan, le péché de la vente de Yossef par les frères a été ravivé.
On trouve une allusion à cela dans le fait que le mom אנטיוכס (Antiochus) a la même guématria que יוסף (Yossef), ainsi que מלך יון (mélé'h yavan - le roi de la Grèce, chacun étant égal à 156.

=> Qu'est-ce qui a réveillé la faute de la vente de Yossef, en particulier pendant le règne de Yavan (la Grèce)?

-> Le Zéra Shimshon explique :
Lorsque les juifs sont revenus d'exil et que le 2e Temple a été construit, la faute de la haine était malheureusement toujours répandu parmi eux. Cette haine a ravivé la faute originele de la vente de Yossef, puisque c'est la haine qui a provoqué la vente de Yossef.
[nous devons garder à l'esprit que nous discutons des saintes Shévatim et que les termes "haine" ne peuvent et ne doivent pas être pris au pied de la lettre.]
Cette situation se poursuivit jusqu'à ce que, en 213e année du 2e Temple, Hachem fit en sorte que les Grecs persécutent les juifs par des décrets sévères jusqu'à ce qu'ils fassent téchouva.
Les trois décrets que les Grecs imposèrent aux juifs étaient de ne pas respecter : le Shabbath, Roch 'Hodech et la Mila (circoncision). Ces 3 mitsvot sont toutes liées à Yossef.

Shabbath : Le Zohar écrit que la punition pour avoir vendu Yossef a été l'exil forcé en Egypte.
Le Zéra Shimshon ajoute que même après que les juifs aient quitté l'Egypte, il était encore nécessaire de rectifier cette faute et c'est pourquoi, juste après avoir quitté l'Egypte, les juifs ont reçu le commandement de garder le Chabbath. C'est parce que le Shabbath est l'attribut de Yossef.
[le Zéra Shimshon n'explique pas pourquoi. Peut-être ses paroles sont-elles basées sur le midrach (Béréchit rabba 14,2) qui dit que le verset : "Qui m'a précédé (Hachem), je peux le récompenser" (Iyov 41,3), se réfère à Yossef qui a précédé le commandement de la Torah et a gardé le Shabbath avant qu'Hachem ne donne effectivement au peuple juif cette mitsva. Pour expier sa vente, nous l'honorons en gardant "sa" mitsva. ]

Par conséquent, tant que le peuple juif a observé le Shabbath, il n'a pas été envoyé en exil. Cependant, dès qu'il commença à profaner le Shabbath, il fut exilé à Bavel (voir Yirmiyahou 17,21).
Cela s'explique par le fait que la punition pour la faute de la vente de Yossef était l'exil et que le respect du Shabbath a sauvé le peuple juif d'un nouvel exil. Une fois que le Shabbath n'a plus été observé, le peuple juif a été renvoyé en exil.

Roch 'Hodech : le jour de Roch 'Hodech, nous offrons une chèvre en guise de korban. Cela permet d'expier le fait que les frères ont trempé le manteau de Yossef dans le sang d'une chèvre pour feindre sa mort (Vayéchev 37,31).

La circoncision (Mila) : C'était la mitsva de Yossef, depuis son éloignement de la femme de Potifar jusqu'à la circoncision de tous les égyptiens.
Ainsi, c'est la haine qui a réveillé la faute de la vente de Yossef et les décrets qui ont été mis en place pour que les juifs se repentent sont les trois mitsvot qui sont fortement liées à Yossef.

L'année au cours de laquelle cela s'est produit y fait également allusion. Comme nous l'avons mentionné, il s'agissait de la 213e année du 2e Temple. Le mot ריב (riv - une dispute), a la valeur numérique de 212, ce qui indique que ce sont les combats et la haine qui ont entraîné les décrets de l'année suivante , la 213e.

"Le miracle de la fiole d'huile n'est là que pour montrer aux juifs à quel point D. les aime."

[Pné Yéhochoua]

"Que signifie 'Hanoucca?
Le don de soi.
Si notre néchama ne s'allume pas en allumant les bougies, que valent-elles?!
[...]
Si les 'Hachmonaïm avaient été nonchalants en disant : "Ce n'est pas à nous de faire ce travail", le Temple ne serait pas resté intact sur sa base pendant encore 210 ans"

[Rabbi Nissim Yaguen]

=> A mon niveau, que puis-je faire afin d'éclairer un peu plus mon intériorité, mon entourage ...

La leçon du candélabre pur

+ La leçon du candélabre pur (Rabbi Nissim Yaguen) :

-> "Durant Lag baOmer, nous allumons des feux pour nous souvenir du feu qui était descendu du ciel le jour du décès du Tana Rabbi Chimon Bar Yo'haï.
En revanche, le jour de 'Hanoucca, nous n'allumons pas de feux ...
Nous allumons des petites lumières, pour apprendre et nous souvenir que le but n'est pas d'obtenir une grande quantité, dans le bruit et les chants, mais plutôt la meilleure qualité dans le silence!
Même la plus petite flamme, si elle est de qualité, est suffisante pour accomplir la Torah dans sa pureté parmi le peuple d'Israël.

De plus, si nous réfléchissons, nous trouverons que les Grecs n'ont pas renversé l'huile pure ... Ils ne l'ont pas détruit ... Ils l'ont impurifiés!

Les Grecs n'étaient pas contre l'allumage du candélabre, comme au début, ils n'étaient pas contre l'étude de la Torah en soi ...
Leur problème était le candélabre pur, avec la Torah dans sa pureté!

Ils voulaient que le peuple d'Israël reste lié à la Torah, mais aussi avec les autres "sagesses" et les "loisirs", et alors la pureté s’effondrera, celle de la Torah et celle du peuple d'Israël."