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Si une personne ressent le désir de s'attacher à Hachem, même s'il n'a pas réellement réussi à se rapprocher de Lui, malgré tout il est déjà apprécié par Hachem.
Le simple fait de vouloir et d'aspirer s'attacher à Hachem, cela est déjà très précieux.
[Divré Sofrim]

Bien que notre conduite laisse à désirer, nous pouvons susciter les bontés de D. en étant bons et généreux envers nos prochains.
[Méam Loez - Eikha 3,22]

Sans aucun doute, nous devons pleurer amèrement le 9 Av pour la destruction du passé.
Mais ensuite nous devons mettre de côté notre douleur et réconforter Hachem avec une promesse joyeuse de l'avenir glorieux que nous allons construire ensemble.
[Maggid de Kozhnitz]

"Même par le fait qu’un seul juif se repent totalement, on peut rapprocher la gueoula"
[Pélé Yoets]

Le Shabbath est la vitamine la plus puissante que l'on peut imaginer. Il ne nourrit pas seulement le corps, il guérit vraiment l'âme.
[rabbi Shlomo Carlebach]

"L'essence du Shabbath est de connaître et de ressentir l'amour d'Hachem"
[rav Noa'h Weinberg]

La téchouva c'est autant retourner vers [son vrai] soi-même, que retourner vers Hachem.
[Rav Avraham Its'hak Kook ]

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-> "N'aspire pas à devenir un tsadik [un "produit" fini].
Aspire à ETRE un baal téchouva [à toujours vouloir s'améliorer!]"
[rav Tsadok haCohen]

En ce sens, le rabbi Mena’hem Mendel de Kotzk disait : "Une pensée de téchouva est un signe que nous sommes toujours en vie".
[nous ne sommes pas des anges, et tant qu'il y a de la téchouva, il y a de la vie! Quelqu'un qui se voit comme un tsadik, comme une personne parfaite, alors il ne fait plus téchouva, et il n'est plus vraiment vivant!]

"Le peuple juif ne sera délivré que par le mérite du Shabbat"
[midrach Vayikra Rabba 3,1]

Lorsque nous éprouvons de la peine pour la destruction du Temple que nous avons causée par nos fautes, nous ne devons pas déplorer notre situation dramatique, mais considérer la peine du Créateur qui est immense ...
Ceci peut être comparé à un fils qui a tant irrité son père qu’il se voit contraint de le quitter. Si le fils aime réellement son père et lui est fidèle, il ne s’apitoiera pas sur son propre sort, mais plutôt sur la peine qu’il a suscitée à son père.
[Pélé Yoets]

Quand l’homme rencontre des épreuves [dans sa vie], il doit réfléchir et se dire que ce ne sont que ses propres actions qui lui ont amené cela, et il doit revenir à Hachem Qui prendra pitié de lui.

[Rabbénou Yona - Chaaré Techouva 2,2]